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Blog politico-juridique

AFRIQUE/MONDE: LE PASSÉ GLORIEUX DE L’AFRICAIN ET RENAISSANCE KEMITE [7].

Publié le 21 Octobre 2014 par Nick de Bessou

 

AFRIQUE/MONDE: LE PASSÉ GLORIEUX DE L’AFRICAIN ET RENAISSANCE KEMITE [7].

 

 LE MOIS DE L’HISTOIRE AFRICAINE (INITIATIVE DU FDRC)

[DOSSIER EXCLUSIF DU FDRC]

 

[SEPTIÈME PARTIE].

 

(Ames sensibles et paresseux intellectuels s’abstenir, svp).

 

Le continent noir est de très loin l’un des continents le moins développé en tout et particulièrement en matière d’éducation. Il n’existe pas réellement un système éducatif africain mais plutôt un système éducatif occidental africanisé. C’est d’ailleurs dans pareil système éducatif que les élevés et étudiants évoluent ou apprennent à s’identifier comme tel ou tel. Nous avons par exemple, les auteurs africains dont les ouvrages sont régulièrement utilisés dans le cursus scolaire, histoire de donner une sorte d’importance à la culture locale ou autochtone. Ainsi, nous avons eu le plaisir de lire les Sembène Ousmane, Camara Laye, David Diop, Bernard B Dadié, Ki-Zerbo, Cheick Anta Diop, Ahamadou Kourouma,  Laurent Gbagbo et bien d’autres.

Ces ouvrages sont pour la plupart uniquement connus et utilisés en Afrique. Aucun élève ou étudiant occidental ne peut réellement identifier un tel ou un autre, à part les plus célèbres parmi les auteurs occidentaux ou quelques rares africains tel le savant Anta Diop, pour avoir révolutionné l’anthropologie, la linguistique ancienne égyptienne et donner un avant-goût du passé glorieux du noir.

Il est donc négativement célèbre, car il fut l’une des rares têtes africaines à apporter la contradiction aux enseignements ou découvertes erronées des occidentaux.

Il est négativement célèbre, car les occidentaux tentèrent de le ridiculiser pour la couleur de sa peau ou ses origines africaines ou pour la qualité de ses découvertes.

En d’autres termes, ses contemporains et collègues occidentaux ne partagèrent point la thèse d’une Afrique glorieuse ou industrieuse ou pensante. Pour ces anthropologues et autres hommes de sciences, l’Afrique est certes le berceau de l’humanité mais sans plus. Si elle se trouve partiellement développée ou par endroits, c’est bien grâce à l’apport des occidentaux ou des personnes de couleurs assimilées (indiens, arabes, chinois…).

En clair, l’africain même moderne est incapable de dépasser l’intellect du blanc. Pour pouvoir dépasser l’intellect d’un caucasien, il vous faut être un humain et ensuite avoir un repère historique.

Or, dans  le cas des africains, l’histoire falsifiée et malicieusement contenue dans les livres d’histoires et autres produits par les occidentaux, ignore ou nie catégoriquement un quelconque passé glorieux du noir.

Si un être humain est incapable de produire quelque chose à partir de son intellect, il n’est plus un être humain même si ce dernier a toute la physiologie ou le physique d’un humain. La différence entre cet humanoïde et l’être humain, c’est bel et bien l’Intellect ou le (IQ).

En clair, seuls les occidentaux peuvent produire des œuvres intellectuelles et l’humanoïde, tel un robot, être instruit ou encore recevoir le téléchargement des données de base en laboratoire.

En d’autres termes, comme des singes, nous singeons le maitre. Comme le chien, nous lui sommes très loyaux. Nous sommes incapables de lui apporter une quelconque contradiction encore moins créer ou inventer quoi que ce soit.

Une pareille attitude ne peut qu’étaler la suprématie occidentale et nier tout passé glorieux aux autres, particulièrement aux africains. Par conséquent, il est aisé de comprendre pourquoi les auteurs africains ne sont point connus hors du continent sauf dans la diaspora africaine et pourquoi nous sommes encore victimes du système éducatif occidental.

Ainsi posée, il transpire la thèse selon laquelle la civilisation occidentale est la meilleure, car elle permet aux humanoïdes ou indigènes ou nègres de s’exprimer au moins dans une langue occidentale ou de savoir lire et écrire et finalement de se faire couronner en fin de cycle académique par un diplôme ou doctorat ou agrégation.

UN EXTRAIT DU LIVRE DE NICK DE BESSOU SUR LE PANAFRICANISME :

[Les travaux du savant et Egyptologue africain Cheikh Anta Diop : « La réfutation du concept de race au sens de l'idéologie occidentale dominante

L’étude de l’Afrique était abordée avant Cheikh Anta Diop avec un préjugé racial. En effet, la notion de race telle qu’elle est conceptualisée par nombre de philosophes, les anthropologues et les ethnologues occidentaux depuis le Siècle des Lumières, établit des corrélations entre le type physique (que les spécialistes dénomment phénotype : couleur de la peau, nature des cheveux, prognathisme, etc.) et les capacités intellectuelles des individus [Théophile Obenga, Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx, Paris, Présence Africaine/Khepera, 1996 ; Claude Liauzu, La société française face au racisme – De la Révolution à nos jours, Paris, Editions Complexe, 1999 ; Dominique Schnapper, Sylvain Allemand, Questionner le racisme, Paris, Gallimard Éducation, 2000].

Blanc est devenu synonyme d’intelligence, de rationalité, de créativité, Noir synonyme de bestialité, de paresse, d’émotivité. Il découle de cette conception de la communauté humaine l’existence d’une hiérarchie entre les différentes races. 

 

L’ethnologie et l’anthropologie occidentales appréhendent les sociétés africaines à travers ce découpage vertical de l’humanité.

 

Dans un tel cadre de pensée, un Nègre n’a jamais créé de civilisation, ou bien n’a jamais été l’auteur d’une quelconque découverte ou innovation.

 

Ceci explique la “naissance du mythe du Nègre [Cheikh Anta Diop, Nations nègres et Culture, 4ème édition, p. 49] et la notion de “vrai Nègre” [Jean Vercoutter, L'Égypte et la Vallée du Nil, Paris, PUF, Nouvelle Clio - L'histoire et ses problèmes, 1992, p. 39] sorte d'outil méthodologique conçu par des spécialistes occidentaux pour étudier l’histoire des peuples africains afin de ne jamais être en contradiction avec leur propre conception hiérarchisante de la race :

 

"Les anthropologues ont inventé la notion ingénieuse, commode, fictive du "vrai Nègre" qui leur permet de considérer au besoin tous les Nègres réels comme de faux Nègres se rapprochant plus ou moins d'une sorte d'archétype de Platon, sans jamais l'atteindre" [Cheikh Anta DIOP, Antériorité des civilisations nègres – Mythe ou vérité historique ?, Paris, Présence africaine, 1967, 1993, p. 24.]

 

La “mécanique” du mythe du Nègre/“vrai Nègre” fonctionne de la manière suivante :

 

-       tout fait de civilisation mis au jour en n’importe quel endroit du continent africain, est l’œuvre d’un non-Nègre.

 

-       tout  peuple Nègre responsable d’une civilisation est en fait un peuple Blanc, quitte à être un peuple Blanc à peau noire !  Tel est le cas des Égyptiens, des Nubiens, et de tous les autres Négro-Africains responsables des constructions anciennes du Zimbabwe, de l’architecture soudanaise de Djenné et de Tombouctou, de l'impluvium yoruba, etc.

 

L’étude de la société Baoulé par Maurice Delafosse dans son article “Sur des traces probables de civilisation égyptienne et d'hommes de race blanche à la Côte d'Ivoire [L'Anthropologie, tome 11, Paris, 1900], et les considérations de Félix Dubois sur la civilisation Songhaï dans son livre Tombouctou la Mystérieuse, publié en 1897, sont des illustrations typiques du mythe du Nègre à l'œuvre dans les “Études africaines”.

 

Dans le premier cas, seuls des Blancs (introuvables) ont pu apporter les éléments de la civilisation aux Nègres Baoulés, et dans le second, les Soudanais, auteurs des œuvres architecturales des cités du Niger, Djenné, Tombouctou, ... bien que noirs de peau et crépus de cheveux, ne sont pas des Nègres ».

 

Les préjugés sont même encore vivants de nos jours. Les Egyptologues occidentaux refusent de reconnaitre le génie et talent des africains de l’ère pharaonique. Ils continuent d’attribuer la paternité des œuvres pharaoniques à la présence massive des blancs en Egypte. Les travaux des africains, hommes de sciences et experts en Egyptologie sont rejetés ou critiqués sans jamais y apporter d’éléments scientifiques. Je vous propose un extrait des critiques à l’endroit des travaux de Cheikh Anta Diop :

«On fuit le débat scientifique d’une façon qui ne trompe personne lorsqu’on substitue à la réfutation des arguments une explication “psychologique“ de la motivation d’une œuvre. Nous assumerons toujours allègrement la somme des qualificatifs divers par lesquels on peut décrire le flux et le reflux de nos états d’âmes de “colonisés” ou d’ex-colonisés “en situation de”, etc.

Mais on peut rappeler à tous ces psycho-sociologues de circonstance ou de métier qu’ils dissimulent  leur dérobade car les raisons qui poussent à écrire n’ont rien à voir avec la véracité ou l’exactitude de ce que l’on écrit. Or, c’est sur ce terrain qu’ils sont invités à se prononcer. Car il est le seul qui soit vraiment intéressant et accessible à une science objective.» [Cheikh Anta Diop, Antériorité des civilisations nègres –Mythe ou vérité historique ?, op.cit., p. 11.]

Odile Biyidi relève la nature pathologique de certaines critiques : « … Les réactions quasi névrotiques de la critique à son égard [Cheikh Anta Diop] sont venues corroborer ses dires. Autant “on” accorde généreusement au Noir une émotion animale, un sens “inné” du rythme, autant d'inquiétantes résistances psychiques, déguisées en objections “scientifiques” empêchent d'admettre qu'il ait pu être l'artisan d'une des plus brillantes civilisations de l'Antiquité. » ["Cheikh Anta Diop", in Dictionnaire des Littératures de la langue française (J. P. Beaumarchais, D. Couty, A. Rey), Paris, Bordas, p. 658 ; voir aussi Alain Anselin, "L'adieu aux hiéroglyphes de Jean Yoyotte (1927-2009)", in Montray Kréyol, 16 juillet 2009] ».

Les occidentaux prétendent aussi avoir été les premiers à lire et à écrire. L’écriture selon les racistes et esclavagistes européens, serait leur invention. L’écriture a vu le jour dans la vallée du Nil avec les Hiéroglyphes. Selon le dictionnaire en ligne Egyptos : « Système graphique composé de signes phonétiques et d'idéogrammes qui composait l'écriture des Egyptiens anciens.

Apparus vers la fin du IVème millénaire avant J.C., ils subsistèrent jusqu'aux premiers siècles de notre ère. On en dénombre un peu plus de 700 et ils peuvent être lus indifféremment de droite à gauche, de gauche à droite, de haut en bas ou de bas en haut.

Les dernières inscriptions hiéroglyphiques ont été faites dans l'île de Philae et datent de 394, où ils n'étaient plus utilisés que par des religieux ».

Ecriture et archives pharaoniques : «Le prêtre égyptien Hellénesé Manéthon, à qui Ptolémée II (-282/246) avait demandé de rédiger en grec une histoire de l’Egypte ». Son œuvre suppose que les Egyptiens conservaient déjà les archives des temples des listes royales remontant aux origines de la monarchie égyptienne.

L’époque de Ptolémée (-242/246) fut l’époque où les grecs et romains visitaient l’Egypte en quête de savoir. Ils n’avaient pas d’écriture ou un semblant d’écriture à cette époque. Ils étaient encore à l’état semi-animal, sauvage, sans culture, sans repère historique, sans repère religieux, sans connaissance.

L’Egypte a tout donné aux Grecs à commencer par leurs philosophes et mathématiciens. Comment alors fut-il possible pour ces gens sans repère historique, d’écrire et d’inventer des théorèmes ? L’Egypte leur a donné l’écriture, qui fut à son tour transformée pour donner le grec. Du Grec sont parties toutes les autres formes d’écriture européenne.

Selon Antoine Fabre D’Olivet, Histoire philosophique du Genre humain, de l’état social de l’Homme, ou Vues philosophiques sur l’histoire du Genre Humain, Tome I, Paris 182.

« Je vais me transporter à cette époque assez reculée de celle où nous vivons ; et raffermissant mes yeux, qu’un long préjugé pourrait avoir affaibli, fixé, à travers l’obscurité des siècles, le moment où la race blanche, dont nous faisons partie, vint à paraitre sur la scène du monde. A cette époque, dont plus tard je chercherai à déterminer la date, la race blanche était encore faible, sauvage, sans lois, sans art, sans culture d’aucune espèce, dénuée de souvenirs, et trop dépourvue d’entendement pour concevoir même une espérance.

Elle habitait les environs du Pôle Boréal (Pôle nord), d’où elle avait tire son origine.

La race noire, plus ancienne qu’elle, dominait alors sur la terre, et y tenait le sceptre de la science et du pouvoir : elle possédait toute l’Afrique et la plus grande partie de l’Asie (…) ».

  1. Antoine Fabre D’Olivet fut un auteur français, poète et compositeur dont les écrits bibliques et philosophiques influencèrent beaucoup d’occultistes tels Eliphas Lévi, Gérard Encause et Edouard Schuré. Antoine F. D’Olivet est né le 8 Décembre 1767 et meurt le 27 Mars 1825.]

 

Le système éducatif occidental, particulièrement le système éducatif occidental africanisé, le résidu nocif du premier, est la véritable source de la transformation du noir en humanoïde, le deshumanisant, le dénaturant, l’humiliant, le réduisant au rang de primates ou de descendant de primates, d’indigène ou de nègre.

Ainsi, la transformation du noir lui retire tout courage intellectuel afin de s’opposer aux enseignements erronés transcrits dans tous les outils et suppôts éducatifs, lesquels outils ou instruments lui retirant ou niant tout passé glorieux, fierté africaine, dignité africaine, histoire africaine, repère historique et présence politique ou Independence ou  souveraineté et enfin droits de l’homme.

L’absence de souveraineté signifie l’absence d’indépendance politique, sociale, culturelle, économique, académique et militaire. Si ces éléments ne sont point réunis concernant un peuple ou une communauté, cette communauté ne peut prétendre ou bénéficier des droits accordés ou attribués aux humains.

Si une communauté humaine ne peut bénéficier de droits de l’homme, par exemple, il n’est point reconnu par l’organisation universelle, l’ONU, et celle-ci ne peut lui apporter secours, assistance ou une quelconque reconnaissance.

C’est exactement le cas du continent africain dans les faits de toujours, encore considéré comme un vaste territoire sauvage, totalement libre et ouvert pour toutes annexions ou exploitations aux mains des anciens colons, même 54 ans après les indépendances. Ainsi, il est aisé de comprendre l’attitude de l’ONU, incapable d’appliquer les textes même vétustes, archaïques de 1945, particulièrement la Charte des nations.

Le droit d’existence ou le droit à l’existence ou de souveraineté d’un état est uniquement accordé aux états indépendants et souverains ou ne dépendant point de l’occident en matière de budgets de souveraineté, assistance économique, décisions politiques, assistance médicale, assistance militaire… Or, les pays africains trainent jusqu’à nos jours le poids intolérable des dettes coloniales remontant à la période du Plan Marshall.

En d’autres termes, pour la reconstruction de l’Europe ou de l’ancienne métropole, la plupart des états africains y ont contribué avant même d’être pour certains indépendants et tristement, ils continuent de payer ses dettes illégales et injustes.

Ces grosses dettes pour certains ou larges capitaux pour d’autres, si elles furent réellement contractées par les états africains eux-mêmes pour la construction ou l’industrialisation des états africains, auraient de nos jours, pu sortir le continent du marasme économique et  politique dans lequel il est. Les états africains sont très pauvres, car ils soutiennent à plus de 69% à l’économie des états occidentaux. Les 21% représentent la valeur des ressources disponibles aux états africains pour leur survie.

Comment peut-on développer une quelconque politique  sociale ou économique à partir de 21% de ressources économiques, lorsque ces mêmes 21% sont aussi menacés ou abusivement utilisés par la nouvelle élite africaine installée par l’occident ?

Ceci explique pourquoi les populations africaines sont réellement les plus grandes victimes de cette injustice. La pyramide du partage des biens n’atteint point la base, représentant les populations, mais elle s’arrête plutôt au milieu de la pyramide, représentant l’élite africaine, élite éduquée et formée en occident et partageant les mêmes pratiques avec l’ancien maitre. Ces pratiques sont le maintien des populations dans l’ignorance la plus abjecte, l’exploitation abusive et la répression des populations ou des récalcitrants ou des opposants.

En clair, les populations africaines sont privées de tout pour le bonheur des multinationales occidentales et de sa propre élite dirigeante, ironiquement cette élite qu’elle a envoyée en occident  afin d’étudier, puis revenir en Afrique pour enfin la sortir de la misère, de la servitude et de l’esclavage culturel.

Cette élite africaine, est essentiellement composée d’intellectuels ou de diplômés de grandes écoles les plus prestigieuses de notre planète, des académiques, des docteurs, des enseignants, des hommes de sciences et des finances, des historiens, des anthropologues…incapables d’appliquer les théories apprises ailleurs ou encore donnant l’impression d’ouvrir les yeux et l’esprit des populations avec des faux sentiments de supériorité, de passé glorieux trop glamourisé, donnant l’impression aux africains modernes ou à la jeune génération une fausse identité africaine ou le kemitisme beat, avec des enseignements et autres outils ethniques ou afro-centristes, tels les communautés dites kemites, avec un code vestimentaire, une philosophie erronée, des publications trop spectaculaires ou niant toute existence aux autres groupes ethniques ou race.

Cette philosophie ou l’afrocentrisme, est la plus pernicieuse des doctrines, car elle  crée subtilement une sorte de ségrégation raciale, un fossé entre les différentes races et leurs interactions ou connections. Au lieu de rassembler les races sur la base de leurs  différences culturelles, linguistiques, historiques ou anthropologiques, elle les sépare sur la base du statut ancien du continent comme l’unique source de connaissances, savoir, civilisation, vérité, fortune et richesse confirmant par des tournures maladroites le statut de berceau de l’humanité.

L’afrocentrisme soutient uniquement la thèse selon laquelle, les autres peuples ne peuvent point se développer ou exister sans réellement avoir hérité une quelconque base africaine ou si les autres sont émergents ou des puissances, c’est bien grâce aux premières communautés africaines. Par conséquent, le retour au kemitisme ou  la civilisation kemite, serait pour ces intellectuels africains, l’unique voie offerte pour la libération totale du continent noir, un continent évoluant en roue libre ou ne partageant rien en commun ou de près ou de loin avec les autres, un continent auto-suffisant, un peu à l’image de la philosophie soutenant la Nation d’Islam.

Or, il est virtuellement impossible de prétendre s’auto-suffire car nos besoins sont multiples et ne peuvent être uniquement satisfaits par les ressources seules d’un continent. En clair, pour ceux parmi nous, habitués à la cuisine chinoise ou italienne ou française ou encore de la technologie médicale, militaire et même dans le domaine de la construction des bâtiments et autres édifices, seront lésés ou frustrés qu’on leur retire une part de leur mode de vie ou routine ou habitude. Par exemple, la Chine vient de construire un pont en plein mer…. Permettant de décongestionner les embouteillages et désengorger les grandes villes. Si nous décidons d’évoluer solo, nous n’aurons jamais accès à cette nouvelle technologie pour le bonheur de nos états. En d’autres termes, selon la citation zougloutique : La main a cinq (5) doigts, tous différents les uns des autres, mais jouant chacun sa propre partition. ». Peut-on de nos jours évoluer loin des autres communautés humaines ? Telle est réellement  la question à laquelle ces afrocentristes manquent de courage et d’honnêteté intellectuels, afin d’éclairer leurs bataillons de kemites égarés.

L’Afro-centrisme ou  le Kemitisme béat : Danger permanent pour le continent noir !

Les intellectuels africains et surtout les afrocentristes constituent réellement un danger permanent pour nos états ou pour notre continent. Ils nous donnent l’impression  d’être des avocats ou défenseurs pour l’émergence de nos états ou pour le bien-être de nos populations, favorisant ou orchestrant les révolutions au sein de nos états afin de chasser le Maitre d’hier, pour ensuite le remplacer à la tête des états africains. Une fois au pouvoir, ces derniers sont les mêmes qui maintiennent plus ou moins leurs propres populations dans la servitude  la plus abjecte et n’hésitent même pas à sauvagement les réprimer chaque fois que celles-ci tentent de manifester leur mécontentement ou critiquer leur conditions de vie.

La stratégie souvent utilisée par ces afrocentristes est la pire des distractions et l’expression manifeste de la malhonnêteté intellectuelle. Ils ramèneront tout à l’Afrique, tentant dans la mesure du possible d’ouvrir partiellement les esprits ou les yeux de leurs frères noirs, à travers des publications révélant certains aspects historiques ou anthropologiques du continent. Aussi, ils développent une stratégie de communication consistant à faire une fausse publicité de l’africanisme ou du kemitisme ou l’afrocentrisme avec des effets ethniques en termes de tenues vestimentaires, langage, comportement ou attitude, religion et une éducation sélective consistant à critiquer vertement la culture occidentale au profit d’une soit disant culture kemite, culture passant pour une civilisation glorieuse, donnant l’impression aux concernés recevant ces enseignements, une sorte de supériorité ou de sentiment de fierté.

En réalité, ces afrocentristes se servent de l’ignorance de leurs propres frères et sœurs afin d’en faire leur armée personnelle, armée d’intellectuels, de frustrés, de désœuvrés pouvant les hisser au pouvoir en créant toutes les conditions pour la résistance ou  l’hostilité à l’ endroit de tout ce qui représente l’occident. Leur intention n’est point de réveiller les consciences africaines comme ils le prétendent et les maintenir éveillées. Leurs intentions se limitent uniquement à réveiller partiellement les populations afin de créer la rébellion ou la révolution politique ou pour un changement politique à la tête de nos états. Ils se privent de maintenir les populations éveillées par des enseignements pertinents ou contradictoires pour la création d’un état panafricain ou un super–état africain. Ils s’opposent farouchement à la création d’un état panafricain, car ils sont incapables de prédire ou d’anticiper sur la nature ou l’identité des futurs dirigeants de ce super état. Ces afrocentristes ont une peur bleue d’être exposés pour des fraudes, car pour la création d’un super état, l’on nécessite la participation de tous les états et des différentes sensibilités intellectuelles au sein de ces états concernés.

Le continent noir compte des milliers de hauts diplômés, d’agrégés et d’enseignants ou d’académiques pouvant apporter des contradictions ou des remarques pertinentes à l’endroit de ces faux intellectuels, en réalité des loups vêtus de peau de brebis dont l’unique objectif est le pouvoir, mais de façon subtile, usant des sensibilités ou frustrations des africains afin de les distraire, maintenir dans l’ignorance ou le sommeil afrocentriste pour en faire des soldats et autres troupes pour leur existence et prise de pouvoir, évitant du coup une confrontation directe avec l’ancien maitre.

Ces afrocentristes ont même récemment créé sur les réseaux sociaux, grand nombre de sites ou de groupes afin de constituer le gros de leurs armées de fanatiques. Ils ne sont point pour la libération totale de nos états et pour la création d’un gouvernement  panafricain. Ce sont ceux-là même qui minent ou sabotent tous les efforts de nos organisations régionales ou continentales, freinant ou ralentissant l’essor de l’Afrique ou l’émergence de nos états ou encore la création ou la réalisation des concepts panafricains de nos devanciers tels Kwamé Nkrumah, Modibo Kéita, Sylvanus Olympio…..expliquant du coup pourquoi les africains sont encore inscrits à la même enseigne, pays pauvres, pays très endettés, pays dominés et dirigés depuis l’extérieur…Ironique n’est-ce pas ?

Les états africains ont généreusement distribué des bourses d’études à bon nombre de fils et filles du continent, pensant les éduquer ailleurs et qu’ensuite ils reviendraient au bercail afin de tenir tête aux anciens colons et délivrer nos états du marasme économique et de la  servitude négrière.  Cela fut l’une des plus grosses erreurs des états africains !

En réalité, ces derniers, une fois éduqués et de retour au bercail, sont ceux-là mêmes qui entretiennent le flou, la distraction et le mystère autour de leurs soit disant hauts diplômes, entretenant un culte de personnalité non-mérité autour de leur propre personne ou un certain mystère ou mystification pour mieux assujettir  leurs propres frères. Leur langage n’est point abordable pour le reste des populations, souvent analphabètes. C’est en exprimant leur langage pédantesque, créant une sorte de mystère et mystification qu’ils arrivent subtilement à contrôler les esprits et les cœurs de leurs propres populations, les maintenant encore captifs dans une ignorance intellectuelle et sélective en lieu et place d’une éducation pertinente pouvant apporter des enseignements contradictoires, pertinents et des outils aux populations afin que celles-ci prennent leur destin en mains et au besoin décider de l’orientation de la politique économique, sociale, éducative les concernant. Telle est la différence entre nous, fervents disciples de l’éducation pertinente et les afrocentristes, disciples d’une éducation sélective ou ramenant tout à l’Afrique. L’éducation pertinente réveille et tient éveillées les populations. L’éducation sélective réveille partiellement les populations. Tel est le véritable danger qui guette de nos jours les africains modernes, ayant embrassé de tout cœur l’afrocentrisme ou le kémitisme béat.

Nous sommes nos propres bourreaux !

Le procès ou l’audience de confirmation ou infirmation des charges pesant contre le Ministre Charles Blé Goudé, a introduit de façon brutale ces aliénés culturels prétendant être des intellectuels et autres afrocentristes « défendant les intérêts des noirs ou des africains ou de la race noire ». Nous fûmes témoins de la présence de Dame Fatou Bensouda, Procureure de la CPI, le Lundi 29 Septembre 2014 et le fameux Juge ivoirien et pro-Ouattara, présenté abusivement comme un « indépendant », le Jeudi 02 Octobre 2014. Ce sont là les véritables ennemis des noirs ou de la cause pour la race noire. Leurs frères et sœurs africains les regardent avec fierté et admiration pour les postes qu’ils occupent tant au niveau national ou international.

Cependant, ce sont « des messagers des grands de ce monde », afin de faciliter et assouplir le message cru et révoltant, venant de là-haut en termes beaucoup plus accessibles, acceptables et ne faisant point de frustrés parmi les populations africaines.

Ces personnes sont uniquement chargées de distraire leurs propres frères et sœurs quant à leur soit disant intégrité ou leur soit disant engagement pour la cause africaine ou noire. A y voir de très près, ce sont eux-mêmes qui cautionnent les abus de toutes sortes exercées sur leurs propres populations.

Comment comprendre qu’une africaine, bon teint comme Fatou Bensouda, puisse faire une sélection au niveau des victimes de la crise ivoirienne ? Pourquoi uniquement les victimes ou soit disant victimes du camp Ouattara, lorsque c’est ce même camp qui dès le 19 Septembre 2002, ouvra les hostilités et endeuilla tout le pays ?

Comment peut-elle catégoriser les victimes en « victimes de crimes contre l’humanité » et en« victimes de dégâts collatéraux » ? Sur quelle base, tient-elle cette posture ? Sur quel document international ? La Convention de 1951 ou le Traité de Rome de 1998 ? Un code secret comme le Code noir du 18e siècle ? Là, se trouve toute la problématique ! Qui servent-ils réellement ? L’Afrique ou l’Occident ou eux-mêmes ?

Pour notre part, ils ne sont absolument rien sans l’aval ou l’appointement des grands de ce monde.

L’afro-centrisme n’est point pour l’esprit communautaire mais plutôt pour une communauté ségréguée ou séparée des autres ou évoluant totalement et indépendamment des autres communautés. L’afro-centriste est celui-là même qui travestit nombreuses notions positives afin de réduire ses propres populations en populations ignorantes et captives, avec un faux sens ou sentiment de supériorité, un faux sentiment d’originalité, un faux sentiment propre d’identité culturelle, philosophique, religieuse voire vestimentaire.

L’afro-centriste puise ses notions philosophiques du passé glorieux du Noir afin de l’endormir pour mieux l’exploiter après avoir réussi le pari d’éjecter l’ancien maitre ou l’ancienne équipe dirigeante.

L’afro-centriste s’oppose catégoriquement au panafricanisme ou à l’esprit communautaire ou à la création d’un super-état panafricain. Ce sont ces derniers qui sabotent de l’intérieur toutes les grandes décisions panafricaines pouvant faciliter l’avènement d’un super-état panafricain. Ils donnent l’impression d’être pour le continent et pour la cause de la race noire. Mais en réalité, ils sont uniquement intéressés par leur propre position au sein de la communauté, leur propre statut social et fortune. Pour y arriver, ils se mystifient et mystifient tout autour d’eux.

L’afro-centriste refuse d’accorder des droits quelconques à ses propres populations, les maintenant dans un semi-coma, intellectuellement paralysées et uniquement sous leur emprise, comme des captifs, des esclaves d’une tradition ou civilisation ou une philosophie qui ne fut jamais.

Le kemitisme est certes une réalité, mais sa présentation et sa vulgarisation actuelles sont très loin de donner une quelconque fierté aux africains modernes. L’afrocentrisme n’apporte rien, absolument rien aux africains, sinon que pure distraction par nos propres frères et sœurs prétendant être des intellectuels et guides éclairés.

En réalité, ils représentent le plus grand danger pour les africains eux-mêmes, car ils s’invitent subtilement dans nos cœurs et esprits afin de mieux nous maintenir dans une fausse connaissance, connaissance partielle ou sélective, connaissance n’arrangeant plus son concepteur que les personnes ou populations auxquelles ces connaissances sont dédiées ou véhiculées. Ils sont réellement plus pernicieux, hypocrites et dangereux que l’ancien Maitre. Entre l’ancien maitre et l’afrocentriste, c’est plus une question du niveau de risque permanent ou danger permanent pour nos jeunes états d’être dirigés par des fils et filles du continent ne partageant point sa misère, sa servitude et l’exploitant abusivement pour ses propres intérêts ou son bien-être social et politique ou encore pour lui, son entourage et la royauté politique ou Présidence à vie, politique contre-nature et contre les valeurs démocratiques  instaurées en Afrique, politique égoïste et individualiste qu’ils tentent désespérément d’imposer à nos populations en violation flagrante des acquis démocratiques des années 90. Par conséquent, l’ancien Maitre représente le Loup et l’Afrocentriste représente le Dragon car, il sera celui-là même qui brulera tout le continent. C’est d’ailleurs le cas en Afrique, car la plupart de nos états sont dirigés par ces soit disant intellectuels ou grands diplômés des écoles et universités occidentales, mais maintenant leurs propres populations dans la misère la plus abjecte.

Nous vous proposons quelques exemples pervers de l’afrocentrisme :

« LA FRANCE LIVRE DES CONTAINERS D’ARMES ET DES HÉLICOS AU PORT AUTONOME D’ABIDJAN ABIDJAN

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ABIDJAN ; Chaque coup tordu de la France en Côte d’Ivoire est toujours précédé quelques jours avant d’un débarquement de matériel lourd de guerre en provenance de la France, c’est connu de tous. « Le Chien ne change jamais sa manière de s’asseoir », a dit le sage.

Ce mardi 14 octobre 2014 aux environs de 10h, en provenance de Toulouse, des containers d’armes et des hélicoptères de reconnaissance et de combats ont été livrés par la France au Port autonome d’Abidjan. Selon nos sources, ce matériel servira d’une part a renforcé les capacités de frappe des soldats français positionnés en Côte d’Ivoire et, d’autre part à protéger le pouvoir Ouattara en proie à des affrontements entre ses chefs de guerre.

Pourquoi la France s’entête-t-elle à maintenir au pouvoir le régime moribond de Ouattara qui n’arrive ni à maîtriser, ni à désarmer ses propres criminels de guerre utilisés pour porter le glaive dans les entrailles de la Côte d’Ivoire ? Si l’objectif de la France est de maintenir son poulain ultra-minoritaire au pouvoir pour mieux piller les richesses de la Côte d’Ivoire, il faut dire tout net que la France joue à un jeu dangereux et hideux.

 

Livraison d'armes française à Abidjan, Armes en provenance de Toulouse livrées à Ouattara. Livraison d'armes au Port Autonome d'Abidjan, Mardi 14 octobre 2014, des containers d'armes et des hélicos, en provenance de Toulouse, livrés par la France. Cliquez sur l'image pour voir le détail de cette image!

Source : lafriquepuissancemondiale2050
Alain Doh Bi »

 

vendredi 26 juillet 2013
Le SIDA et d'autres virus ont bien été créés en laboratoire par les Etats-Unis dans un but génocidaire
17:41

Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d'immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quant à elles qu'aucun virus VIH n'a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d'autres qu'il s'agit d'un virus crée en laboratoire. Tout cela n'est pas très clair. Alors qu'en est-il vraiment?

Cet article retranscrit essentiellement les recherches du Dr Boyd Graves s'étant penché réellement sur la question sans passer par le prisme de la pensée unique. Une vidéo du Dr Horowitz et divers documents déclassifiés du gouvernement viennent confirmer ses dires. Le Dr Graves décédera le 18 Juin 2009 d'une infection par la bactérie Escheria Coli. Les plaintes en justices engagées contre le gouvernement des Etats-Unis ont été à chaque fois étouffées.

(Voir l'organigramme plus en détail).

Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux. Ils parlent précisément des armes biochimiques US (l'aspartame y serait d'ailleurs mentionné mais difficile de vérifier parmi les 5000 pages).

L'histoire du développement du SIDA

Le Dr Boyd E. Graves 28 septembre 2002

Extrait du livre «State Origin: The Evidence of the Laboratory Birth of AIDS"

"La véritable histoire de l'origine du sida peut être retracée tout au long du 20ème siècle en commençant par 1878. Le 29 Avril de cette année les Etats-Unis ont adopté une «Loi fédérale de quarantaine".

Les Etats-Unis ont fait un effort significatif pour enquêter sur les «causes» des épidémies. En 1887, l'effort a été renforcé grâce au «Laboratoire d'hygiène". Ce laboratoire était dirigé par le Dr Joseph J. Kinyoun, un raciste pur et dur, qui servait l'idéologie eugéniste.

Deux ans plus tard, en 1889, nous avons pu identifier les "mycoplasmes", un agent transmissible, qui est maintenant considéré comme étant le cœur des maladies humaines, y compris le SIDA.

En 1893, nous avons renforcé la Loi fédérale sur la quarantaine et tout à coup il y a eu une explosion de la polio.

En 1898, nous savions que nous pourrions utiliser des mycoplasmes pour provoquer des épidémies, parce que nous étions en mesure de le faire chez les bovins et dans les plants de tabac.

En 1899, le Congrès américain a commencé à étudier la lèpre aux Etats-Unis.

En 1902, nous avons organisé un "observatoire d'évolution expérimentale" et avons pu identifier les maladies de nature ethnique.

En 1904, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les chevaux.

En 1910, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les volailles.

En 1917, nous avons formé la «Fédération de la Société Américaine pour la Biologie Expérimentale» (FASEB).

En 1918, le virus de la grippe tue des millions de gens sans crier gare. C'était un virus de la grippe modifié avec un mycoplasme aviaire pour laquelle les primates humains n'avaient aucune "immunité acquise".

En 1921, le théoricien de l'eugénisme Bertrand Russell, soutient publiquement la «nécessité d'organiser des "fléaux" contre la population noire.

En 1931, des tests sont faits secrètement sur les Afro-Américains et nous expérimentons le SIDA sur les moutons.

En 1935, nous apprenons que l'on pourrait cristalliser le mycoplasme du tabac et qu'il resterait infectieux.

En 1943, nous commençons notre programme de guerre biologique. Peu de temps après, nous étudions les mycoplasmes chez les humains en Nouvelle Guinée.

En 1945, nous assistons au plus grand afflux de scientifiques étrangers de l'histoire dédiés au programme biologique américain. L'Opération Paperclip restera dans les annales comme étant l'un des programmes les plus sombres d'un gouvernement parallèle véreux faisant une fixation sur le génocide.

En 1946, la marine américaine engage le Dr Earl Traub, un biologiste raciste notoire. En mai, une séance de la Commission des Finances confirme l’existence d’une arme biologique « secrète ».

En 1948, nous savons que les États-Unis ont confirmé l'approbation de «l'élaboration d'un projet" dans lequel la question de la surpopulation de certains groupes raciaux est évoquée.

Un mémo de George McKennan du Département d'État permet de mettre en exergue le mensonge eugéniste nécessaire au génocide de millions d'innocents.

En 1949, le Dr Bjorn Sigurdsson isole le virus VISNA. Visna a été créé par l'homme et partage une partie de l'ADN du VIH. Voir, Proceedings of the United States, NAS, Vol. 92, pp. 3283 - 7, (11 Avril, 1995).

En 1951, nous savons maintenant que notre gouvernement a mené sa première attaque de virus sur les Afro-Américains en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, des cageots sont infectés afin de découvrir combien de manutentionnaires noirs en Virginie seraient atteints d’un virus placebo. Ils ont également infecté expérimentalement les moutons et les chèvres. Selon l'auteur Eva Snead, la première conférence mondiale sur un virus semblable au SIDA a lieu.

En 1954, le Dr Bjorn Sigurdsson publie son premier article sur le virus Visna et s'impose comme le "grand-père du virus du sida." Il va rencontrer la concurrence du Dr Carlton Gajdusek.

En 1955, ils réussissent à créer artificiellement le virus de la mosaïque du tabac. Les Mycoplasmes seront toujours au cœur du programme de guerre biologique US.

En 1957, le futur président américain, Gerald Ford (ndlr: un franc-maçon du 33e degré, autant dire un sataniste pur et dur contrairement aux FM de premiers degrés) et quelques autres donnent au Pentagone la permission de déployer des agents biologiques pathogènes. Il n'y a pas de cas signalés de SIDA avant 1957, date de la création du "special operation x" (La SOX), programme qui a servi de prototype pour le programme du "virus spécial" qui commencera en 1962.

En 1960, Nikita Khrouchtchev était au courant de l'arme biologique. Sa déclaration de 1960 restera longtemps le reflet de l'arrogance de la collusion secrète entre le communisme et la démocratie. Les deux pays s'accordent en Novembre 1972 pour la réduction de la population noire.

En 1961, le scientifique Haldor Thomar publie que les virus provoquent le cancer.

En 1995, lui, Carlton et Gajdusek informent la National Academy of Sciences que «l'étude sur le visna sur les moutons serait le meilleur essai pour d'éventuels médicaments contre le HIV."

En 1962, sous couvert de recherche sur le cancer, les États-Unis tracent le chemin pour commettre des meurtres prémédités, le programme "Spécial Virus" commence le 12 Février. Dr. Len Hayflick met en place un laboratoire de mycoplasme à l'Université de Stanford. On pense que le programme "Spécial Virus" a commencé en Novembre 1961 avec un contrat de Pfizer.

À compter de 1963 et les années suivantes, le programme "Spécial Virus" menait des compte rendus annuels au Hershey Medical Center, Hershey, en Pennsylvanie. Les réunions annuelles sont emblématiques de la nature agressive de la recherche des E.U. sur le développement du SIDA.

En 1964, le Congrès des États-Unis a donné son plein appui à la recherche sur le virus de leucémie / lymphome (SIDA).

En 1967, l'Académie nationale des sciences a lancé un assaut à grande échelle sur l'Afrique. La CIA (Division Technical Services) accepte son programme secret d’inoculation.

En 1969, 18 Juillet, Fort Dietrick informe des scientifiques dans le monde et le Pentagone demande davantage d’argent, ils savent qu’ils peuvent fabriquer le SIDA. La note de service secrète sur le « Surpeuplement » de Nixon au Congrès marque le début de la chaîne de l’holocauste du SIDA.

En 1970, le président Nixon signe PL91-213 et John D. Rockefeller III (ndlr: illuminati), devient «tsar de la population." Le Mémo de Nixon relatif à la sécurité nationale ne laisse aucun doute quant à la nature génocidaire du dépeuplement.

En 1971, Sortie du Compte Rendu n°8. L’organigramme (p.61) reste à tout jamais l'acte de naissance du SIDA en laboratoire .Le rapport d'avancé n ° 8 est délivré. Au fil du temps, le programme Spécial Virus produira 15 rapports et plus de 20.000 notes scientifiques. L’organigramme constitue le lien entre tous les documents scientifiques, l’expérimentation et les contrats des Etats-Unis. Il restera « manquant » jusqu’en 1999. Les scientifiques du monde entier sont stupéfaits. L’organigramme prendra tout son sens au cours du 21ème siècle. Il apparaît aussi que les expériences poursuivies dans la Phase IV-A de l’organigramme offrent la meilleure piste vers une thérapie plus efficace pour les porteurs du VIH/SIDA. Les 60 premières pages du Compte Rendu n°8 du programme Spécial Virus dévoilent de façon probante le but de l’opération. En Juin 1977, le programme Spécial Virus avait produit 66 000 litres de SIDA. Le virus du SIDA était ajouté aux vaccins envoyés en Afrique et à Manhattan. Cependant, grâce à la franchise d’auteurs tels que le Dr. Robert E. Lee, nous apprenons que le Laboratoire de Mycoplasmes de Stanford publie un des premiers rapports incluant le terme SIDA dans son titre : « Infections Virales chez l’Homme Associées au Syndrome d’Immunodéficience Acquise ». Le scientifique initial, le Dr. Thomas Merigan, était « conseillé » dans le programme Spécial Virus
https://www.youtube.com/watch?v=pB8g0b-FkW0
https://www.youtube.com/watch?v=i3SvvjeFkcU

Le compte rendu n ° 8 page 104-106 prouve que le Dr Robert Gallo travaillait secrètement sur le développement du virus avec le plein appui du secteur du gouvernement américain qui cherchait à tuer ses concitoyens. Dr Gallo ne peut pas expliquer pourquoi il a exclu son rôle de «chef de projet» pour le programme Spécial Virus dans sa bibliographie. Les premiers travaux et découvertes du Dr Gallo peuvent être mis en relation avec l'organigramme de 1971. Nous savons maintenant comment chaque expérience s’y imbrique. La logique de recherche est une preuve irréfutable de l’existence d'un "Manhattan Project" visant à élaborer un cancer contagieux qui tue sélectivement. Le document de 1971 du Dr Gallo est d'ailleurs identique à son annonce faite en 1984 sur le SIDA.

Le compte rendu n ° 8 page 273-286 prouve que nous avons inoculé le sida à des singes. Depuis 1962, les Etats-Unis et le Dr. Robert Gallo ont infecté des singes et les ont relâchés dans la nature. Ainsi, même des scientifiques du gouvernement sont stupéfaits de constater l’apparition soudaine du HIV-1 et HIV-2 chez deux espèces de singes d’origines différentes, au cours des cent dernières années. Une étude japonaise de 1999 révélera finalement l'origine anthropique du virus du SIDA chez les singes. Les résumés des expériences faites sur les singes prouvent définitivement que le virus d'immunodéficience simienne est également fabriqué par l'homme.

En 1972, les Etats-Unis et l'Union soviétique signent un accord biologique qui signe l'arrêt de mort de la population noire. L'accord de 1972 pour la collaboration et la coopération dans le développement d'agents biologiques offensifs fait toujours partie de la politique des Etats-Unis.

En 1973, le scientifique de renommée mondiale, Garth Nicolson fait un rapport sur son projet, «Rôle de la Surface Cellulaire pour Échapper à la Surveillance Immunitaire » (Role of the Cell Surface in Escape From Immunological Surveillance).

 

Son rapport est accompagné de sept articles publiés. Le Dr. Nicolson a travaillé en collaboration avec le programme Spécial Virus de 1972 à 1978. Il est considéré par certains comme étant le collaborateur de la côte ouest du Dr Gallo. Il est fortement suspecté qu'en raison du Dr. Nicolson, le Dr Robert Gallo et le Dr Luc Montagnier se seraient secrètement rencontrer en Californie du Sud pour se mettre d'accord sur ce qu'ils pourraient dire et ne pas dire sur le programme de développement du "spécial virus".

En 1974, Henry Kissinger (ndlr: Franc-maçon de 33ème degrés également) produit son NSSM-200 (plan américain de lutte contre la surpopulation). Il est le seul sujet de discussion lors de la Conférence mondiale de la population à Bucarest, en Roumanie. Les hommes de l'ombre avaient gagné, tout le monde était d'accord pour secrètement abattre la population africaine. Aujourd'hui, c'est l'Afrique et d'autres qu'ils considèrent indésirables. Demain, cela pourrait être vous.

En 1975, Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger.

En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme "Spécial Virus". Le rapport prouve l'existence d'accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais. Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commençe, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA. Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noir.

En 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l'Afrique et le vaccin expérimental de l'hépatite B pour Manhattan. D'après les auteurs June Goodfield et Alan Cantwell, le lot n° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes. Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol sociale, l'humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement. Les hommes de l'ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez pas de la mort de noirs et d'homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d'un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. "Bientôt, il n'y aura plus de population noir ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n'auraient toujours rien compris." Cela vous permettra peut-être de mieux comprendre la situation.

Cette vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo.

Soudain, tout comme le président Nixon l'avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, ....
"Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains ...."Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA.


Davantage de détails sur l'histoire du programme de virus secret peut être trouvés dans les archives du Dr. John B. Moloney. L'examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d'identifier d'autres dates et archives qui correspondent à l'une des plus grandes proliférations de maladie dans l'histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique de recherche d'un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l'ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson. Connaissant parfaitement les mécanismes d’attaques par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique.

Aider ceux d'entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive. Nous sommes tous un même peuple.

Le 28 Septembre 1998, j'ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA. Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement »."

 

Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l'organigramme du gouvernement.

On m'a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI. Le sigle MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA. La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie "NAOMI" signifie "les noirs ne sont que des individus temporaires." (Negroes are Only Momentary Individuals). Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires. À l'heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités. Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d'indignation dans l'opinion public. Nous ne pouvons pas permettre à l'Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution. Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d'Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs. Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu'ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu-là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l'organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l'existence d'un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire.

Cette compilation de documents judiciaires et de correspondances est l'accomplissement du véritable effort d'un homme afin de résoudre le mystère de l'origine du sida. Nous avons trouvé l'origine du SIDA, c'est nous.
~ Boyd 'Ed' Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009

L'origine du SIDA est aussi à l'origine de presque tous les virus du cancer qui existent. Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d'une longue liste de maladies crées par l'homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l'armée. En 1971, Fort Dietrich changea de mains, et sous le couvert de l'Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l'arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l'appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire "pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenu".

L'OMS est dirigée par l'ONU et à son tour, l'OMS répercute les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions de pandémie.

Si vous n'êtes pas déjà au courant du but de l'ONU, l'OTAN, l'OMS, l'AMA (American Medical Association), faites des recherches, l'information n'est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

l'AMA a été créée pour stopper les établissements d'enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu'il ne soit possible de se former que dans les universités. C'est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l'oxygène et la vraie santé et ne connaissent pas grand-chose comme remèdes.

Comme Hippocrate le disait: "soyez votre propre médecin".

Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu'il n'y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer crée par l'homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d'options, qui sont tenue à l'écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu»."

Conclusion:
Que dire si ce n'est que ce médecin a tout compris. Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l'élite qui nous gouverne ne datent pas d'hier. Méfions-nous de leurs manigances. Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l'article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l'OMS ne s’intéresse pas à notre santé.
 

Sources:

http://www.boydgraves.com/flowchart/
http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline
http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090
http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.htm

Liens connexes:

In Lies We Trust: The CIA, Hollywood and Bioterrorism (documentaire complet du Dr Horowitz sur le bio terrorisme d'état. Jamais sous-titré à ce jour mais très incessant)
Ces "élites" qui considèrent que les humains sont une plaie sur terre
Ebola: une arme biologique américaine

Traduction / Synthèse:
Fawkes News

 

10 scientific arguments why HIV can NOT cause AIDS (Dr. Duesberg)

www.youtube.com

 

Le virus HIV n'a jamais été trouvé ni par Luc Montagnier (Français) ni par Robert Gallo (Américain).

« La France et les USA utilisent cette maladie fabriquée de toutes les pièces de mensonges comme fonds de commerce.

 

C'est pour cela ils font tuer tous ceux qui disent qu'ils peuvent guérir les personnes souffrant de cette maladie » Source : http//www.facebook.com/bridiseraphin.kouassi

 

L’Etat et la question du développement en Afrique subsaharienne

Kevin R. Cox and Rohit Negi

« (…) au sens marxiste du terme, l’Afrique a souffert, non d’avoir été exploitée, mais de n’avoir pas été suffisamment exploitée. L’investissement du capital n’y a pas été suffisant, trop peu d’Africains ont travaillé et gagné suffisamment pour produire une plus-value relative. Le surplus réinvesti a été insuffisant » (Leys et Saul, 1999).

·         1  Par exemple: Chabal 1998; Chazan 1994; Diamond 1988.

1La faiblesse des institutions politiques constitue une des représentations les plus courantes concernant l’Afrique subsaharienne. Les chercheurs parlent d’États faibles, sinon « échoués », marqués par le tribalisme, les guerres civiles, ainsi que par une nette disjonction entre le caractère formel des institutions démocratiques, dans la mesure où elles existent, et la conduite de la politique. La conséquence, prétend-on, est le retard matériel du sous-continent : un manque de développement. Ces représentations sont très courantes et les réflexions des chercheurs contribuent à leur donner une certaine légitimité. Selon eux, le problème fondamental vient de l’État et de son rapport à la société : c’est la faiblesse de l’État, et la vacuité des institutions démocratiques, qui produiraient le sous-développement1.

2Dans cet article, nous contestons cette interprétation. En ce qui concerne le problème du développement en Afrique, la littérature actuelle privilégie les interprétations « individualistes » (par exemple, l’absence d’esprit entrepreneurial), culturelles ou institutionnelles. Nous souhaitons au contraire mettre l’accent sur les obstacles structurels au développement capitaliste en Afrique. A notre avis, les observateurs ont pris les effets pour les causes. Au contraire, la raison pour laquelle l’Afrique subsaharienne (à quelques exceptions près qui confirment la règle) a des institutions politiques faibles est le sous- développement et la faiblesse du développement capitaliste en particulier.

3Le développement capitaliste facilite la construction d’États forts en même temps qu’il produit la seule classe sociale capable d’engendrer la démocratie universelle, même dans les contraintes d’un État bourgeois : la classe ouvrière. Nous affirmons que, compte tenu de la géographie actuelle de la production en Afrique, un transfert généralisé vers un développement de type capitaliste est improbable. A partir de ces hypothèses, les pays africains sont face à deux choix. Première possibilité, les élites gouvernantes choisissent la route du développement capitaliste, ce qui entraîne des transformations sociales de grande ampleur, et appelle la mise en place d’un programme vigoureux que Marx appelle l’étape d’accumulation primitive. En toute probabilité, cette voie est complètement opposée aux intérêts des défavorisés ; aussi, provoque-t-elle inévitablement une marée de contestations populaires. En fait, et jusqu’à présent, seuls les États autoritaires comme la Corée du Sud, Singapour et Taiwan, qui peuvent ignorer les pressions populaires, ont réussi à promouvoir la transformation capitaliste. Par ailleurs, on voit également des États autoritaires, comme l’Indonésie, qui se sont servi du discours sur le développement afin de légitimer la répression et la corruption. On peut donc se méfier de tels efforts.

4La deuxième possibilité pour les élites gouvernantes est l’abandon de l’objectif du développement de type capitaliste parce qu’il représente une utopie impossible en raison des obstacles structurels identifiés plus haut et de la place ténue que l’Afrique occupe dans la structure du capitalisme mondial. Au lieu de cela, elles se focaliseraient alors sur une politique plus autonome et créative en se servant des conditions actuelles (cf. Bernstein, 2001 ; Saul, 2006).

5Nous commencerons ici par interroger les principaux arguments concernant la faiblesse des institutions étatiques et de la démocratie en Afrique subsaharienne. Ensuite, nous en ferons une critique et suggérerons une interprétation différente, qui se fonde sur les faiblesses du développement capitaliste en Afrique et sur l’absence des prérequis nécessaires à la séparation des producteurs et des moyens de production (ici, le sol). Le développement capitaliste produit une classe ouvrière dont la résistance nécessaire entraîne, de manière dialectique, l’approfondissement du premier. Par ailleurs, l’émergence d’un mouvement ouvrier suscite des changements politiques, car celui-ci exerce une pression en faveur de la représentation de la classe ouvrière au niveau de l’État. De son côté, et partiellement en conséquence, l’État accroît sa capacité de fonctionnement, étape essentielle de la division sociale du travail. Il s’agit là du processus classique du développement capitaliste dans tous les pays où il a réussi à s’enraciner. Mais cet enracinement s’est fait de manière inégale et « dénivelée ». Dans la troisième partie de l’article, nous discuterons de la façon selon laquelle ce « dénivelé » a touché l’Afrique. Nous démontrerons qu’il existe, dans cette région, des causes spécifiques expliquant la faiblesse de la propriété foncière – facteur important du développement capitaliste – qui sont notamment liées à la géographie historique de l’expansion européenne en Afrique subsaharienne. S’il a eu lieu, le développement de la propriété privée du sol est, en grande partie, le résultat d’une dépossession des indigènes par les colons — ce qui fut par exemple le cas en Afrique du Sud.

6Il existe trois thèses principales concernant l’État en Afrique subsaharienne : celle de Jean-François Bayart (1993), celle de Patrick Chabal et Jean-Pascal Daloz (1999), et celle de Mahmood Mamdani (1996). Les deux premières sont largement de type culturaliste, la troisième est plus étatique. Toutes sont instructives, même si, en fin de compte, elles restent peu convaincantes.

7P. Chabal et J.-P. Daloz s’intéressent à la faiblesse de l’État africain et au manque concomitant d’institutions représentatives. Selon eux le problème immédiat, mais pas fondamental, provient de l’incapacité à différencier l’État du reste de la société. Les cadres officiels, élus et nommés, le traitent comme s’il était une ressource privée. Cela révèle l’ampleur de la corruption, du népotisme, de l’escroquerie et du détournement des ressources allouées théoriquement au renforcement de ces institutions étatiques. Selon eux l’explication fondamentale de cet état de fait est d’ordre culturel et spécifiquement africain : il est dû à l’omniprésence du caractère patrimonial de la société. Les fonctionnaires et les élus conservent leurs positions et leur légitimité par la création de réseaux personnels avec leurs clients. Ces réseaux s’organisent selon des critères comme l’ethnicité, la parenté, et les affinités locales. On les considère comme de Grands Hommes en échange d’un partage plus large des richesses qu’ils détournent.

8Par conséquent, là où l’on trouve des institutions démocratiques formelles, il faut rester prudent sur leur signification réelle. En effet, la position de l’individu au sein de ces institutions ne s’inscrit pas dans le cadre d’un programme politique répondant à des intérêts sociaux – intérêts qui n’existent pas au niveau individuel mais plutôt à celui d’un parti politique. Or, les élections ou les nominations à des positions officielles désignent toujours des individus particuliers, derrière l’étiquette partisane. Ce sont les « Grands Hommes » [Big Men] qui sont dorénavant responsables face aux électeurs qui les ont élus, ou qui ont voté en faveur du parti qui les a nommés. L’idée de responsabilité s’applique presque exclusivement aux individus et non pas aux partis. L’État et ses institutions ne possèdent pas de légitimité. Celle-ci est plutôt l’affaire des patrons et, de leur côté, leur légitimité dépend de leur capacité à irriguer leurs réseaux respectifs avec les richesses qu’ils ont réussi à capter.

De cette interprétation culturelle, P. Chabal et J.-P. Daloz déduisent plusieurs hypothèses sur le faible développement économique du continent. Ainsi, l’absence d’un État autonome vis-à-vis de la société, et relativement impartial, accroît les avantages que l’on tire de la participation aux réseaux de pouvoir. Le résultat du nécessaire investissement dans les réseaux clientélistes pour les « Grands Hommes » est que cet argent n’est pas investi dans les entreprises. Certes, la participation aux affaires de l’État facilite l’acquisition ou la gestion d’entreprises, mais celles-ci sont utilisées par ces « Grands Hommes » moins comme moyen d’accumulation que comme moyen de maintenir leur légitimité dans leurs réseaux. Il ne s’agit d’ailleurs pas seulement de distribuer des richesses mais également de consommer à la manière d’un « Grand Homme » afin de satisfaire ce que Chabal et Daloz appellent le besoin d’« émerveillement » des clients devant le patron … ce qui peut être également défini comme une ressource politique (p.107)2.

La position de Bayart sur l’État subsaharien est similaire: l’Etat est une ressource permettant le pillage des richesses à des fins privées. Il met au centre de son analyse le même type de facteur, à savoir le caractère patrimonial de la société, qui est un élément clé de l’interprétation de Chabal et Daloz. Il utilise des arguments culturels similaires en parlant des Grands Hommes ou de ceux qu’il appelle « ceux aux grands ventres » – expression inspirée du sous-titre de son livre (Bayart, 1993) : « Un homme de puissance qui a la capacité d’amasser les richesses et de les redistribuer devient “un homme d’honneur.” Dans ce contexte, la prospérité matérielle est une des vertus politiques principales et elle ne suscite pas de désapprobation » (p.242). Toutefois, il ajoute que cette redistribution des richesses est nécessaire pour que celles-ci soient considérées comme légitimes. On doit cependant remarquer maintenant quelques différences.

Tout d’abord, Bayart attribue un rôle éminent au fait que les États de l’Afrique subsaharienne ont toujours été faibles. En essayant de l’expliquer, il recourt à un déterminisme environnemental très critiquable. Il affirme ainsi que la construction des États était difficile pour deux raisons. D’une part, la faible densité de la population qui facilite le déplacement, ce qui permet aux gens de ne pas avoir à se subordonner à un dirigeant en particulier. D’autre part, la technologie agricole – en particulier l’absence de la roue, et ses implications en ce qui concerne la mobilisation de l’énergie éolienne et hydraulique, et l’utilisation des animaux de trait – qui impose des limites sévères en termes de productivité. Or, cette faible productivité est un défi pour extraire le surplus dont l’État dépend. Ensuite, il fait référence à l’absence de droit foncier formel et à ses conséquences sur les rendements agricoles. C’est l’avènement des empires européens qui a permis la centralisation de l’accumulation, et l’établissement d’institutions qui, dans un contexte postcolonial, vont permettre le pillage du surplus minier et agricole voué à l’exportation. Mais, en accord avec ses croyances déterministes, il indique que l’accroissement de la densité de population peut faire la différence à l’avenir :

« Prédominance des stratégies d’extroversion et d’évasion, manque de surexploitation, faiblesse d’accumulation, sous-production dans l’économie, évaluation de la richesse en termes d’hommes plutôt que de biens et de sol, représentation de l’espace en termes de mobilité, conception plurielle du temps : toutes ces caractéristiques doivent probablement beaucoup à une faible pression démographique. De fait, et à la lumière d’un changement démographique rapide et les changements sociaux qu’il accompagne ou qu’il suscite — urbanisation accélérée, instabilité économique et financière, spoliation de l’environnement écologique, remaniement des rapports entre l’individu et l’espace et le temps — on se demande sur le futur. Rien ne nous prévient d’imaginer que ces forces produisent à l’avenir une augmentation de l’exploitation économique et de la domination politique, donnant lieu à une institutionnalisation des processus qui est plus proche à l’idéal de Max Weber d’un État bureaucratique » (Bayart, p.264 ; souligné par les auteurs) ». Source : http://espacepolitique.revues.org/1287?lang=en

 

Les afrocentristes sont ceux-là même qui nient tous les outils nécessaires aux populations africaines, avec leur système éducatif occidental africanisé ou sélectif, faisant des populations africaines des personnes ignorantes avec l’impression  ou le sentiment d’une supériorité ou dignité ou fierté africaine.

A quoi cela sert-il d’être fier et digne d’être africain lorsque  l’on est encore en captivité, ignorant et sans la perspective afin d’améliorer ses propres conditions de vie ou offrir de nouvelles opportunités à nos états en termes d’Emergence ?

Côte-d’Ivoire ne pas confondre Elsa Koffi avec Traoré Eva «affaire 3000 dollars à l’assistante»

Mis en ligne par La Rédaction | Mardi 21 octobre 2014

Dans un récent article intitulé «Quand Ouattara recadre ses ministres sur les frais de déplacement à l’étranger», Jeune-Afrique rapportait les confidences d’un conseil des ministres tenu le 16 octobre dernier. « …Des ministres étaient logés dans des suites présidentielles, et une assistante d’un ministre percevait 3 000 dollars de frais par jour. Le président était ulcéré que certains voyages soient à la fois pris en charges par les pays hôtes et encore par l’État ivoirien» avait confié à Jeune Afrique une source proche de la présidence ivoirienne.
Depuis, la polémique sur les frais de déplacement exorbitants des membres du gouvernement Ouattara, impliquant en premier lieu le Premier ministre Kablan Duncan, a fini par rattraper le ministre des Energies et du Pétrole, Adama Toungara. En effet, une certaine rumeur reprise en boucle depuis quelques jours, semble indexer une certaine Eva Traoré, la chef du service communication du ministère de Toungara, comme la bénéficiaire des 3000 dollars payés par jour.

Selon nos informations, il s’agirait plutôt d’une assistante du ministre Toungara, du nom d’Elsa Koffi. Une fille métissée qualifiée «d’arrogante» selon nos sources.
Eva Traoré, connue à la Primature sous Ahoussou Kouadio Jeannot dont elle est la nièce, était effectivement des récents voyages d’Adama Toungara à Atlanta et Houston, tout comme Elsa Koffi «la vraie bénéficiaire des 3000 dollars».

 

C’est cela le véritable danger ! C’est cela notre combat, aussi dirigé contre cette élite africaine hypocrite, irresponsable, incompétente notoire, égoïste et vantarde.

La Zougloutique et préceptes zougloutiques :

Nos états sont faibles parce que les populations sont en grande partie analphabètes, ignorantes et les leaders sont eux aussi victimes du système éducatif occidental, leur retirant toutes notions en ce qui concerne la bonne gestion d’un état, la bonne gouvernance, la démocratie, le respect des institutions, de la constitution et des décisions de ces mêmes institutions ou les autorités politiques et/ou administratives, l’état de droit, les droits de l’homme, la sécurité des biens et des personnes, la sécurité territoriale et la sécurité des frontières, des ressources naturelles, du système routier ou ferroviaire, la sécurité ou la stabilité de l’économie ou une monnaie indépendante, avec une banque centrale, une culture démocratique et politique, un esprit communautaire, une fierté africaine, une loyauté maladive uniquement au continent et à ses propres populations.

Ces anomalies ne peuvent que fragiliser nos institutions africaines, d’où leur faiblesse.

Un peuple éduqué, informé et donc responsable, mature et intellectuellement présent pour les grands défis du continent,  est une armée puissante et très redoutable afin de secourir ou soutenir toutes les décisions au sommet de la pyramide et enfin apporter sa caution indéfectible, loyauté et même au prix de leur vie. Ceci est réellement la base qui fait gravement défaut au sein de nos états africains.

Les populations africaines sont plutôt instrumentalisées ou manipulées par les politiques africains et les occidentaux ou par d’autres intellectuels pour leur propre survie politique et fortune au détriment de l’esprit communautaire. Par conséquent, les institutions de ces états reflèteront uniquement la volonté politique ou la philosophie doctrinale ou idéologie des dirigeants et leur entourage.

Comment dans pareilles circonstances, espérer avoir l’approbation ou le secours ou le soutien ou  la loyauté des populations en cas de frou-frou avec l’occident ?

Nous n’avons pas encore atteint l’esprit collectif et communautaire ou pour la création d’une nation regroupant toutes les sensibilités politiques, sociales, religieuses, ethniques etc., pour en faire une seule et unique entité, un bloc homogène et impénétrable. Pour que l’on arrive à cela, il nous faut uniquement extirper et uniquement retenir les bienfaits du système éducatif occidental à savoir imposer par des lois suivies de sanctions même pénales, l’éducation obligatoire pour tous jusqu’à l’âge de 18 ans. Ensuite il nous faudra  élargir le système éducatif actuel en apportant des éléments nouveaux ou découvertes et pertinents afin d’en faire ou aboutir à l’éducation pertinente, ouverte, contradictoire et donnant des outils nécessaires aux populations africaines elles-mêmes.

En d’autres termes, responsabiliser nos propres populations plutôt que de les infantiliser, comme c’est malheureusement le cas depuis les indépendances à nos jours.

Le véritable pouvoir exécutif, provient uniquement des populations elles-mêmes d’où les consultations périodiques de celles-ci avant les élections générales ou législatives ou autres. Par conséquent le chef d’état, représente uniquement les intérêts de la base, c’est-à-dire les populations, représentant réellement le pouvoir exécutif et l’employeur et non l’employé ou la main d’œuvre ou l’esclave comme c’est tristement le cas en Afrique.

Ce sont ces anomalies qu’il faudra très rapidement corriger afin de solidifier ou fortifier nos états et leurs institutions.

En clair le système éducatif pertinent comme le suggère la Zougloutique, offrira un bataillon de leaders forts, instruits, éduqués, responsables pouvant ou capables de soit créer ou diriger nos institutions selon l’unique volonté de nos propres populations, donc des institutions fortes. En d’autres termes, ce qu’il faut au continent noir, c’est un système éducatif pertinent, des leaders forts et des institutions fortes. C’est la combinaison magique pour l’affranchissement du continent, de la création d’un état panafricain et l’émergence du continent.

Nous sommes encore et tristement au stade de l’esprit individualiste, égoïste, choses nocives, tirées de la civilisation dite occidentale.

C’est cela la particularité de l’africain moderne ou de l’africain- post-indépendances ou la politique du « chacun pour soi, Dieu pour tous ! ».

Cependant, tout n’est point totalement négatif concernant l’africain moderne. Il  existe heureusement des vrais fils et des vraies filles dignes du continent, descendants d’africains à travers la diaspora qui manifestent leur ardent  désir ou souhait de transformer notre terre ancestrale commune en un véritable paradis pour tous sans exception, comme cela fut l’unique volonté d’Amon ou de Dieu.

Selon la Zougloutique, Amon est le père de toutes les races vivant sur les différents  continents. C’est donc un père polygame (plusieurs épouses /continents) dont les fils et filles (les différentes races) sont tous issus ou partageant le même père biologique. Ces enfants de mères différentes (différents continents) sont contraints de vivre en parfaite harmonie et suivre religieusement la discipline, les lois, les règles, les moadim ou enseignements divins afin de maintenir la cohésion, la paix, la sécurité pour tous et le bonheur pour tous.

Ainsi, une communauté parfaite ou vivant en parfaite harmonie ou symbiose, ne peut que produire un système parfait en ce qui concerne la division du travail.

Nous sommes sur terre afin de nous parfaire pour une vie éternelle et ambitieuse, car nos talents, expériences et expertises acquis sur terre nous serviront dans notre prochaine mission à travers toute la galaxie, galaxie appartenant  également à Amon.

Par conséquent, pour aller loin, il faut ménager sa monture ! C’est cela la nature de notre existence sur terre, acquérir les connaissances et l’expertise dans nos différentes professions et aussi se soumettre stoïquement à la stricte discipline des statuts sociaux  ou politiques ou fortune personnelles de certains membres de la communauté ou se soumettre uniquement à la volonté d’Amon de faire d’un individu un prolétaire et d’un autre une personne fortunée. C’est pour notre propre formation et bien-être que ce choix est ainsi opéré par le créateur lui-même. Il nous voue une confiance illimitée car il est certain que nous avons en nous des talents et qualités endormis afin de transformer notre misère en bonheur, si et seulement si nous prenons connaissance de notre propre existence (Cogito ergo sum ! Je pense, donc je suis) et décidons de rester connecter à la racine divine ou aux enseignements divins, dans la stricte des disciplines et/ou avec un courage légendaire ou avec stoïcisme.

C’est justement parce qu’Amon nous aime, qu’il nous met très souvent à l’épreuve afin de nous former, de nous donner une certaine personnalité, présence physique, autorité, responsabilité, dignité, honneur et fierté. En retour, il nous bénit abondamment comme c’est le cas de nos savants et génies faisant la fierté de notre race, savant et génies délibérément et malicieusement écartés ou effacés des livres d’histoire et d’anthropologie afin de réduire le noir à l’esclavage permanent et perpétuel.

Un individu qui reçoit la même information ou désinformation de façon régulière sur son incapacité à faire ceci ou cela,  finit un jour par perdre toute confiance en soi-même et croire bêtement tout ce qui se raconte à son sujet, comme des choses réelles ou la vérité.

En réalité, c’est cela l’objectif visé (des occidentaux et autres suprématistes à deux balles).

Faut-il tomber dans leur jeu démoniaque ou leur apporter la réplique intellectuelle, comme tente de le faire le FDRC ? Là, se trouve toute la question valant un million de Dollars. Sommes-nous des ETRES PENSANTS ou DES HUMANOIDES ?

La dernière partie du dossier sur notre passé glorieux sera exclusivement réservée aux savants et génies africains ou de descendances africaines et pourquoi ces derniers ne font toujours pas l’actualité ou encore illustrés dans ces livres et autres outils occidentaux servant de moyens d’éducation et de formation de l’africain moderne.

 

LISTE DES FILS ET FILLES DU CONTINENT FAISANT LA HONTE DE NOTRE CONTINENT ET DE NOTRE RACE :

 

  1. JEAN PING (GABON) : ANCIEN PRÉSIDENT DE LA COMMISSION DE L’UNION AFRICAINE.
  2. NELSON MANDELA : ANCIEN PRISONNIER POLITIQUE DE L’APARTEID ET FAUSSE ICÔNE AFRICAINE POUR LES LIBERTÉS INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES DES NOIRS.

 

 

  1. L’EX PRÉSIDENT (DU ZAÏRE OU DE LA RDC) MOBUTU SESE SEKO, L’HOMME QUI FACILITA L’ASSASSINAT DE SON PROPRE FRÈRE, LE PREMIER MINISTRE PATRICE LUMUMBA.

 

  1. L’EMPEREUR JEAN BEDEL BOKASSA (CENTRAFRIQUE), UN IDIOT AUTREFOIS AU POUVOIR EN AFRIQUE CENTRALE.

 

 

  1. LE TORTIONNAIRE ET LIBERTICIDE ALASSANE DRAMANE OUATTARA (HAUTE-VOLTA) : PRÉTENDU ANCIEN FONCTIONNAIRE DU FMI ET CHEF D’ÉTAT IVOIRIEN PAR FRAUDE, DÉCEPTION ET GUERRE CIVILE.

 

  1. LE PUTSCHISTE ET DÉSTABILISATEUR EN CHEF DES ÉTATS DE LA SOUS-RÉGION OCCIDENTALE, LE VOLTAÏQUE BLAISE COMPAORÉ, CHEF D’ÉTAT DU BURKINA FASO.

 

 

  1. AIMÉ HENRI KONAN BÉDIÉ (CÔTE D’IVOIRE), EX-PRÉSIDENT, UNE ERREUR POLITIQUE ET CALAMITÉ DE LA NATURE HUMAINE ET POLITIQUE.

 

  1. LE REBELLE ET GÉNOCIDAIRE JOSEPH KABILA, CHEF D’ÉTAT DE LA RDC.

 

 

  1. LE PRÉSIDENT PAUL BIYA (CAMEROUN), L’UN DES VIEUX DICTATEURS AFRICAINS ENCORE AU POUVOIR DEPUIS DES DECENNIES.

 

  1. LE JEUNE TYRAN ALI BONGO (GABON), HÉRITIER POLITIQUE DE SON PÈRE BIOLOGIQUE, L’EX PRÉSIDENT FRANÇAFRICAIN, OMAR BONGO.

 

 

  1. LE PRÉSIDENT DENIS SASSOU NGUESSO (CONGO-BRAZZA), UN AUTRE VIEUX DICTATEUR ET FOSSOYEUR EN CHEF DE L’ÉCONOMIE DE SON PROPRE PAYS.

 

  1. LE PRÉSIDENT ROBERT MUGABÉ (ZIMBABWÉ), UN PRÉSIDENT PRÉTENDANT DÉFENDRE LES INTÉRÊTS DES NOIRS.

 

 

  1. LE PRÉSIDENT BOUTEFLIKA (ALGÉRIE), UN AUTRE VIEUX DICTATEUR S’ACCROCHANT AU POUVOIR MALGRÉ DES DECENNIES AU POUVOIR ET SON ÉTAT DE SANTÉ ALARMANTE.

 

  1. LE PRÉSIDENT OMAR BEN BECHIR (SOUDAN)

 

 

  1. LE DÉSTABILISATEUR DE LA RÉGION MINIÈRE DU KIVU, L’EST DE LA RDC, LE PRÉSIDENT PAUL KAGAMÉ (RWANDA)

 

  1. LE SOIT DISANT PHILOSOPHE, LE PERROQUET FRANÇAFRICAIN DE SERVICE, FRANCLYN NIAMSY (CAMEROUN), PORTE-PAROLE DU REBELLE ET GÉNOCIDAIRE SORO GUILLAUME (PAN CÔTE D’IVOIRE) ET PATRON DU SITE GUILLAUMESORO.CI

 

 

  1. LE PRETENDU JOURNALISTE OU CORRESPONDANT DE BBC (BE BRAVE AND CORRUPT [BBC]), LE FAUSSAIRE SAÏD PENDA (CAMEROUN).

 

  1. LA PROCUREURE DE LA CPI, FATOU BENSOUDA (GAMBIE), CELLE QUI TORT LE COU AU DROIT INTERNATIONAL AFIN DE PUNIR SES PROPRES FRÈRES AFRICAINS.

 

 

  1. L’INDÉCIS PASCAL AFFI N’GUESSAN, INTÉRIMAIRE A LA TÊTE DU FRONT POPULAIRE IVOIRIEN (FPI), LE PARTI POLITIQUE DU PRÉSIDENT LAURENT GBAGBO, ILLÉGALEMENT ET INJUSTEMENT PRIVÉ DE TOUTES LIBERTÉS. L’HOMME PAR LEQUEL LE FPI PERDIT SA RÉPUTATION INTERNATIONALE ET SA FOUGUE COMBATTIVE.

 

  1. LE PREMIER MINISTRE KENYAN, RAILA ODIGA, L’UN DES ENNEMIS DE LA SOUVERAINETÉ DES ÉTATS AFRICAINS (CAS DE LA CÔTE D’IVOIRE PENDANT LA CRISE POST-ÉLECTORALE DE 2010/2011

 

 

  1. LE PRÉSIDENT MUSEVI (OUGANDA), UN DES VIEUX DICTATEURS AFRICAINS ET DÉSTABILISATEUR EN CHEF DE L’ETAT FRÈRE DE LA RDC.

 

  1. L’ÉVÊQUE DESMOND TUTU (AFRIQUE DU SUD), GRAND AVOCAT ET PROMOTEUR EN CHEF DE L’HOMOSEXUALITÉ EN AFRIQUE, CONTRAIREMENT A LA TRADITION POLYGAMIE DES AFRICAINS Y COMPRIS DES SUD-AFRICAINS EUX-MÊMES.

 

 

  1. LE FONCTIONNAIRE ONUSIEN, AÏCHATOU MINDAOUDOU (NIGER), PATRONNE DE L’OPÉRATION DES NATIONS UNIES EN CÔTE D’IVOIRE (ONUCI), INCAPABLE DE SANCTIONNER LES DÉRIVES TOTALITAIRES DES CRIMINELS SOLDATS DE LA GESTAPO DU GÉNOCIDAIRE FRAULEUX ET FAUSSAIRE ALASSANE DRAMANE OUATTARA.

 

  1. DOUDOU DIÈNE (SÉNÉGAL), PRÉTENDU EXPERT INDÉPENDANT DES NATIONS UNIES SUR LA SITUATION DES DROITS DE L’HOMME EN CÔTE D’IVOIRE, INCAPABLE DE SÉVÈREMENT CRITIQUER ET SANCTIONNER SON ALLIÉ FRANCAFRICAIN, ALASSANE DRAMANE OUATTARA.

 

 

  1. Me ABDOULAYE WADE (SÉNÉGAL), EX-PRÉSIDENT-ROI DU SÉNEGAL, TENTANT DE S’IMPOSER ET SE MAINTENIR AUX AFFAIRES PAR LA FRAUDE  ET GRAND AVOCAT DE LA SUCCESSION ÉTATIQUE DE PÈRE DE LA ROYAUTÉ POLITIQUE OU LE POUVOIR A VIE.

 

[Fin de la Septième partie].

 

« L’IGNORANCE MÈNE A LA PEUR,

LA  PEUR MÈNE A LA HAINE,

LA HAINE CONDUIT A LA VIOLENCE,

VOILA L’ÉQUATION ! » - IBN ROCHID (AVERROÈS)


ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE !

TEAM G.O.D THE LIGHT!

 

Fait à Londres le 21 Octobre 2014.

 

Nick De Bessou                                                  

Juriste & Anthropologue Politique.

Président du FDRC.

[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises].

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