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Blog politico-juridique

AFRIQUE/MONDE: LE PASSÉ GLORIEUX DE L’AFRICAIN ET RENAISSANCE KEMITE [3].

Publié le 19 Septembre 2014 par Nick de Bessou

AFRIQUE/MONDE: LE PASSÉ GLORIEUX DE L’AFRICAIN ET RENAISSANCE KEMITE [3].

 

LE MOIS DE L’HISTOIRE AFRICAINE (INITIATIVE DU FDRC)

 

[DOSSIER EXCLUSIF DU FDRC]

 

[TROISIÈME PARTIE].

 

(Ames sensibles et paresseux intellectuels s’abstenir, svp).

 

Dans notre Edition précédente, nous vous entretenions sur la publication d’un livre dit révolutionnaire, inédit, spectaculaire, bouleversant…, en réalité un livre-mensonges, truffé de contre-vérités et de falsifications de faits et personnages biblico-historiques, pour l’unique propagande suprématistes hébraïque suite aux attaques ou débats contradictoires et intellectuels de nombreux afro centristes, eux-mêmes des anthropologues, historiens et autres professionnels apportant une bonne dose d’humilité aux soit disant maitres de notre univers pour leur soit disant statut de peuple élu de Dieu.

Depuis près d’une décennie, la publicité adverse générée par ces sionistes et autres suprématistes hébreux a fini par convaincre les uns et les autres de la nécessité de remettre en cause tout, alors là tout, sur cette prétendue communauté, prêchant une chose et faisant une autre, surtout dans le conflit long d’un demi-siècle les opposant à leurs frères, cousins arabes, autrefois les véritables autochtones, devenus depuis la création de l’état d’Israël, des réfugiés sur leur propre terre ancestrale.

C’est exactement cette image ternie ou ternissant jusque-là, la soit disant posture suprématiste des juifs au sein de nos communautés, hommes de Dieu ou serviteurs de Dieu ou conseillers religieux et mieux, eux-mêmes membres d’une communauté dite élue de Dieu, avec une thèse aussi fantaisiste que comique d’une quelconque « promesse de terre » faite à ce peuple n’ayant point mériter une quelconque position dans le classement des races ou des groupes ethniques ou des groupes religieux ou de par une quelconque position ou place de choix en qualité d’ainée des races ou de précurseurs de religion dite révélée…

Nous vous proposons un extrait du livre-mensonges ou grotesque des frères Messod et Roger Sabbah, suivi de nos commentaires et autres tentatives de rétablissements des faits anthropologiques et historiques.

« [HISTOIRE] ON A DÉCOUVERT LE MESSAGE CACHÉ DE LA BIBLE !

LES HEBREUX ETAIENT DES EGYPTIENS ADORATEURS DU DIEU ATON !

C’est ce qu’on découvert deux chercheurs français. Une hypothèse présente pressentie, au siècle dernier, par Champollion.

Cette découverte fera du bruit. Elle agace, déjà, le milieu scientifique –historiens et archéologues – et trouble le monde religieux.

Le bruit court que les agents de Steven Spielberg en ont eu vent Outre-Atlantique et que le grand cinéaste pourrait porter à l’écran « LES SECRETS DE L’EXODE », l’ouvrage des deux chercheurs hébraïsants.

LES INTUITIONS DE SIGMUND FREUD

Que nous disent Messod et Roger Sabbah ?

Ce que le Lotois Jean-François Champollion avait, bien avant eux, probablement pressenti- il est mort trop tôt pour aller au bout de ses convictions. Ce que le psychanalyste Sigmund Freud avait, il y a soixante ans, géniale intuition, soupçonné en évoquant, dans ses écrits, l’hypothèse d’une transmission aux hébreux, par Moïse l’Egyptien, de sa propre religion, celle du Dieu Aton. Messod et Roger Sabbah vont plus loin encore en soutenant que tous les hébreux sont des descendants des anciens égyptiens.

Ils s’appuient d’abord sur un constat : il n’y a aucune preuve archéologique de l’existence de ces hébreux tels qu’ils sont décrits dans la Bible. Pour la plupart des savants, ils seraient vaguement assimilés, faute de mieux, aux « Apirous », peuple semi-nomade aux contours flous.

Aussi s’interroge-t-on depuis des lustres : Comment une population ayant vécu près d’un demi-millénaire en Egypte, forte de près de deux millions d’âmes, a-t-elle pu fuir le pays, l’armée du Pharaon à ses trousses, puis s’installer en « Terre Promise », alors administrée par l’Egypte, sans qu’aucune trace ne subsiste ni de leur long séjour, ni de leur exode ?

Pas de trace non plus d’Abraham – inconnu au bataillon pour les scientifiques. Pas d’inscription, pas de récit, rien dans les temples, rien sous le sable du désert.

L’OBSCUR PHARAON  AÏ :

Nos deux chercheurs fondent ensuite leur hypothèse sur une troublante étude comparative des écritures, l’hébraïque et les hiéroglyphes.

Dans  le tombeau de Toutankhamon, ouvert en 1923, figuraient les inscriptions rédigées en hiéroglyphes insolites. Certaines lettres ressemblant à s’y méprendre – forme, prononciation, valeur symbolique – à l’alphabet hébreu.

La coïncidence, à l’époque, n’émut personne ! Pas plus que celle-ci : Sur un mur du tombeau, le double « cartouche » (la signature gravée), d’un obscur pharaon, AÏ, dont le nom, en hiéroglyphes, ressemble à celui, dans la Bible araméenne, de Dieu, prononcé ADONAÏ (Aton-AÏ), et à l’entrée de la salle du trésor, gardant la tombe, couché sur un coffre, le chien Anubis (ou Anapi) : en hébreux « nabi » signifie « gardien de la Loi ».

Chien et coffre étant recouverts d’un tissu sacré rappelant le Châle de Prières des hébreux. Le coffre à brancards, lui, pourrait s’apparenter à « L’arche d’Alliance », telle qu’elle est décrite dans la Bible.

Arguant de ces similitudes – il y en a d’autres -, les frères Sabbah ont relu de fond en comble les textes. Ils en ont déduit que la langue hébraïque était issue des hiéroglyphes stylisés.

Et, dès lors, tout s’est éclairé : les énigmes de la Bible, les noms aux consonances étranges parce qu’étrangères, les personnages, l’histoire.

Remontons 3350 ans en arrière. Akhet-on, capitale de l’Empire d’Egypte – connue sous le nom de Tell El Amarna -, est la ville du Pharaon Akhenaton « Je suis le soleil vivant » et de la Renie Néfertiti. C’est une cité d’or et de la lumière, située au nord de l’actuel Assiout, sur le Nil, c’est la cité sainte du Dieu, Aton, « le Dieu unique », créateur du Ciel et de la Terre.

Akhenaton a rompu, en effet, avec les divinités du Panthéon. Il y règne en maitre absolu. Quand il meurt, AÏ, qui n’est encore que grand prêtre – plus tard, il sera Pharaon sous le nom du « Divin Père AÏ »-, prend les rênes du pouvoir, assurant la régence en attendant que Toutankhamon (il n’a que huit ans), grandisse.

Alors, tout s’effondre : le culte ancestral d’Amon, Dieu multiplie, est rétabli, c’est le retour à l’orthodoxie. AÏ et Toutankhamon vont faire en sorte que soit effacé tout vestige de cet Akhenaton de malheur qui laissait le reste du pays sombrer dans la misère, et de ce Dieu Aton qui proclamait que les hommes étaient égaux et que seule la méchanceté les différenciait.

La ville, cet Eden (s’agit-il là du biblique « paradis perdu ? », va être rapidement désertée, avant d’être, ultérieurement, totalement détruite. Tout le monde est chassé : Les prêtres d’Aton, les « Yadoudaé », qui vont former le royaume de Juda, les scribes, les notables, l’élite et, avec eux, le petit peuple, « la tourbe nombreuse », dont parle la Bible, le futur Israël (en égyptien « fils de Râ et de Dieu »), qui entrera en conflit avec Juda.

Dans leurs bagages, ils emportèrent leur foi monothéiste – la première de l’histoire humaine, leurs traditions. Après des années d’errance et de querelles, ces « égyptiens » vont adopter leur écriture « hébraïco-hiéroglyphique » et conserver le souvenir de l’âge d’or. AÏ a fait d’une pierre deux coups : il s’est débarrassé de ces encombrants monothéistes et les bannis lui servent de « zone tampon » contre les Hettites, l’ennemi du nord.

 

CHASSÉS « DU PARADIS »

Épisode annexe de ce grand départ, la fuite, vers le sud, de la Police pharaonique composée de Nubiens, les « Medzaï » (fils d’AÏ). Au Kenya, note-t-on, les Masaï se réclament aujourd’hui d’un Dieu unique, évoquent leur âge d’or, au nord, et portent des ornements qui ne sont pas sans rappeler les symboles sacrés de l’Egypte ancienne…

Bien des siècles après cette épopée, nous disent Messod et Roger Sabbah, les scribes, lors de l’exil à Babylone, ennemi juré de l’Egypte vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, ou ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, ou les noms sont maquillés, inventés donc, Abraham, inventée sa naissance en Mésopotamie !

Sarah, c’est Néfertiti !

Et tout concorde, pour nos deux chercheurs : la chronologie des Pharaons, leurs vies, leurs actions, la Bible et l’histoire égyptienne -  Abraham (« Ab-Rah-Am »), père du Dieu Ra et Amon ? C’est Akhenaton lui-même : d’un côté l’Abraham biblique a qui Dieu parle, qui rejette le polythéisme et égorge en lieu et place de son fils Isaak (le Pharaon Semenkharé, en égyptien, Saak-Ka-Ra ?) ; de l’autre Akhenaton, qui converse avec Aton, rompt avec les divinités, sacrifie le bélier (Amon). Sarah, c’est la belle Néfertiti. Agar, c’est Kiya, la seconde épouse de Moïse (« Mésés ») ? C’est Ramsès 1er, homme de guerre, impulsif, Aaron ? C’est Horemheb, Général puis Pharaon, Joseph ?  C’est AÏ : L’un et l’autre ont été enterrés en « Pharaons d’Egypte » et leurs momies ont disparu…

Pas de peuple réduit en esclavage, pas de « peuple élu », pas de Terre Promise par Dieu :

Si elle les a étourdis-on le serait au moins – cette découverte n’a pas fait chanceler la foi de Messod et Roger Sabbah, issus d’une lignée de rabbins : ils assurent être toujours croyants.

« LES SECRETS DE L’EXODE » MESSOD ET ROGER SABBAH, EDITIONS JEAN-CYRILLE GODEFROY, 556 PAGES, 185F/28 EURO.

PHILIPPE BRASSART.

« ABRAHAM = AKHENATON ».

 

Nous vous proposons notre version des faits anthropologiques et historiques du continent noir et des personnages bibliques ayant vécu ou ayant été inventés par l’établissement occidental afin de nier toute civilisation, histoire, talent, génie et religion aux premières communautés humaines en l’occurrence les noirs africains, les nubiens, les kemit, les maures,  Sarazins et sumériens.

  1. Faits historiques et anthropologiques grossièrement falsifiés (Par les frères Sabbah).

Le livre des frères Sabbah est une grosse fraude : Ce n’est point une véritable découverte mais plutôt la réédition de ce qui existait déjà et l’ajout de nouveaux mensonges et contre-vérités, habilement présentés comme une découverte révolutionnaire, scientifique voire inédite ou encore comme le reporter français, Philippe Brassart, le décrivait : « Cette découverte fera du bruit. Elle agace, déjà, le milieu scientifique –historiens et archéologues – et trouble le monde religieux ».  

En réalité il n’en est rien sauf que perturber la quiétude spirituelle de millions de fidèles tant au sein de sa propre confession qu’au sein des autres confessions, confessions qui furent au passage royalement ignorées ou subtilement diabolisées. De là, nous pouvons déduire sans ambages, le parti pris des frères Sabbah (travail ou recherches subjectives ou suprématistes), leur intention ou mauvaise intention de nous faire avaler une grosse couleuvre par ces temps qui courent, temps d’ailleurs qui ont fini par exposer toute la laideur de cette communauté de barbares, de menteurs, de corrompus, de vaniteux, prétentieux, arrogants, orgueilleux, maladivement fière d’une tradition qui est loin d’être la leur ou de leur propre invention ou de la volonté unique d’Amon ou de Dieu dont ils prétendent se réclamer.

Les frères Sabbah finalement reconnaissent que les hébreux sont des anciens égyptiens. Ceci est en soi-même un aveu de taille après maintes tentatives des afro centristes et autres archéologues afin de rétablir la vérité pour le bien-être de l’humanité toute entière. Longtemps, ce peuple se faisait passer pour le peuple élu, un peuple exceptionnel à cause de leur statut social, prestige et autres atouts.

En réalité, ils ne sont point des juifs au sens plein du mot, car les sionistes sont tous d’origine caucasienne, une région de l’ex fédération de la Russie (la Caucase) et d’autres régions de l’Europe de l’Est. Ce peuple s’est reconverti au judaïsme, tradition juive noire ou Falasha longtemps avant l’invasion indo-européenne du VIIe siècle.

Par conséquent, ils ne sont point nés des juifs mais plutôt devenus des juifs comme un chrétien peut devenir un bouddhiste ou musulman ou protestant.

Cependant, le comble est que ce peuple sans repère historique, tente par déceptions de s’approprier le Judaïsme et ses livres saints à savoir la Torah et le Talmud, niant dans le même processus les véritables héritiers de cette longue tradition africaine, d’origine éthiopienne. De nos jours, les Falashas sont violemment écartés du Judaïsme comme un poids encombrant ou gênant ou encore sont très souvent victimes de discrimination et de racisme pur et dur aux mains des nouveaux convertis devenus Juifs Ashkénazes ou Sionistes. C’est ce groupe de malfaiteurs qui tente désespérément de se faire passer pour la crème de la crème au sein des groupes ethniques ou encore prétendre être le peuple élu de Dieu avec la promesse ferme de Dieu lui-même, d’un territoire comme héritage divin (Israël).

Il  est à noter que les véritables enfants d’Amon sont de teint très foncé ou ébène à cause des rayons du Dieu Râ, ou communément appelé le Dieu du Soleil, Aton.  

 

Osiris ou la fabrication gréco-romaine de Jésus-Christ, roi des juifs :

Osiris (du grec ancien : Ὄσιρις) est un dieu du panthéon égyptien et un roi mythique de l'Égypte antique. Inventeur de l'agriculture et de la religion, son règne est bienfaisant et civilisateur. Il meurt noyé dans le Nil, assassiné dans un complot organisé par Seth, son frère cadet. Malgré le démembrement de son corps, il retrouve la vie par la puissance magique de ses sœurs Isis et Nephtys. Le martyre d'Osiris lui vaut de gagner le monde de l'au-delà dont il devient le souverain et le juge suprême des lois de Maât.

Au Moyen Empire égyptien, la ville d'Abydos devient la cité du dieu Osiris. Elle attire ainsi de nombreux fidèles en quête d'éternité. La renommée de cette cité repose sur ses festivités cultuelles du Nouvel An et sur une sainte relique, la tête du dieu.

Durant le Ier millénaire avant notre ère, Osiris conserve son statut de dieu funéraire et de juge des âmes. Cependant, ses aspects de dieu des flots du Nil et, par là-même, de dieu de la fertilité, acquièrent la primauté, augmentant ainsi sa popularité auprès de la population nilotique. Des colons grecs installés à Memphis adoptent son culte dès le ive siècle avant notre ère sous sa forme locale d’Osiris-Apis, le taureau sacré mort et momifié.

Les souverains lagides importent ce culte dans leur capitale Alexandrie sous la forme de Sérapis, le dieu syncrétique gréco-égyptien. Après la conquête de l'Égypte par les forces romaines, Osiris et Isis s'exportent vers Rome et son empire. Ils s'y maintiennent, avec des hauts et des bas, et ce jusqu'au ive siècle de notre ère (interdiction du paganisme en 392 par l’empereur Théodose) pour finalement être évincés par le christianisme. Le culte osirien, actif depuis le XXVe siècle avant notre ère, durera jusqu'au vie siècle de notre ère, quand fermera vers 530 le temple d'Isis de l'île de Philæ, le dernier d'Égypte, fermeture ordonnée par l'empereur Justinien ».

Source : Wikipédia.

 

Dans le récit qui précède, vous avez une partie du Livre de Genèse décrivant le crime fratricide de Caïn le frère ainé sur Abel, représenté ici par le complot mortel organisé par Seth, son frère cadet. Cependant, la résurrection n’est point accordée à Abel (personnage biblique) mais plutôt à Jésus-Christ ou Osiris grâce à l’intervention divine de ses sœurs Isis et Nephtys. Isis est aussi retrouvée dans le nom ISRAEL, en réalité « ISIS RÂ El AMON », devenu plus tard « ISRAEL ». Isis est une des filles d’Amon au même titre que la princesse Saha, fille de Râ dont le nom fut plus tard associé au désert subtropical du même nom, le Sahara. Sahara signifie « fille de Râ ».

Toujours selon les arguments ou recherches erronées des frères Sabbah, Néfertiti serait Sarah, l’épouse d’Abraham.

Neferneferuaten Néfertiti serait née autour de 1370 et 1330 avant J. C. Elle fut l’épouse royale d’Akhenaton, un Pharaon égyptien.

Néfertiti et son époux furent connus comme une révolution religieuse, dans laquelle ils adoraient un Dieu unique, Aten ou Aton ou le Soleil.

Ces personnages de l’Egypte ancienne sont d’une époque très lointaine d’Abraham, de Sarah et d’autres personnages bibliques cités par les frères Sabbah.

Abraham dont le nom signifie dans l’ancienne langue égyptienne, encore présente dans la langue Bantou, « le père de la multitude ». Aussi tous ces personnages furent des noirs ou des anciens colons noirs tels les Sumériens, les Sarazins ou les Maures, tous des anciens descendants d’égyptiens noirs ou d’africains noirs.

La question que nous souhaitions poser aux frères Sabbah est la suivante : De quelle Egypte parlent-ils ? L’Egypte pharaonique noire d’avant l’invasion indo-européenne ou de l’actuelle Egypte blanche suite à l’invasion de -545 avant JC ?

La précision est de taille car la confusion a fini par gagner tout le monde concernant la soit disant origine des juifs Ashkénazes ou sionistes à peau blanche comme leurs cousins, les égyptiens actuels !

L’Egypte fut au début une communauté à prédominance noire, éburnéenne ou kamit ou de peuples aux teints foncés, aussi appelés les Coptes.

La classification des races n’existait point à cette période. Il fallut attendre le 18e siècle pour une classification des différentes races, produit d’un négrier suprématiste français, du nom de Bernier.

Aussi, la langue officielle fut à cette époque-là, celle des Pharaons ou l’ancien égyptien avec une écriture distincte, les hiéroglyphes. Les Sumériens, partis de l’Afrique à la conquête du reste du monde, trouvant refuge en Mésopotamie, reprirent les hiéroglyphes en les transformant avec les dialectes locales et/ou étrangères.

L’on a tendance à croire ou encore les occidentaux continuent de prétendre que les écritures de la Mésopotamie précédèrent les hiéroglyphes, s’attribuant par ricochet une sorte de supériorité intellectuelle et/ou académiques. Tout ceci fut en réalité de la pure propagande suprématiste occidentale afin de nier aux noirs toute gloire ou civilisation ou génie créateur. Les premiers habitants de la Mésopotamie furent des noirs, communément appelés les SUMERIENS. Il est très bon à le savoir au passage !

En clair, le livre-spectacle et comique des frères Sabbah fut une grossière et grotesque tentative de falsifier des faits anthropologiques et historiques voire bibliques afin de faire passer des minables pour la crème de la crème sans réellement le mériter.
Pourquoi se donner tant de mal afin d’induire tout le monde en erreur ? A quelle fin ? Que recherchent-ils les frères Sabbah ? Pourquoi le livre-poubelle apparait-il maintenant et créant plus de confusions plutôt que d’apporter des solutions ou des vérités longtemps voilées ?

 

Il se dégage cependant dans cet essai d’amateurs-chercheurs, bon nombre de vérités longtemps sues par les africains eux-mêmes, mais longtemps niées ou réfutées par les suprématistes et leur cortège de leaders religieux, politiques ou communautaires : Il n’y a jamais eu de Terre Promise, en tout cas pas en Palestine actuelle, car l’état d’Israël actuel est plutôt un arrangement  politique datant  de 1948, très loin d’être la réalisation ou l’exécution de la volonté Divine.

Aussi, le faux mythe attaché au peuple juif, consistant à faire d’eux, le Peuple Elu de Dieu est aussi une grosse invention des sionistes et propagandistes hébraïco-occidentaux.

En clair, les frères Sabbah reconnaissent en toute franchise que leur peuple occupent  illégalement des terres et refusent  de les restituer aux autochtones musulmans, sous de fallacieux prétextes souvent tirés de leurs fausses Bibles ou de la Torah, des livres saints eux-mêmes falsifiés, comme nous le soutenions dans nos communications précédentes et comme le soutiennent les frères Sabbah eux-mêmes : « les scribes, lors de l’exil à Babylone, ennemi juré de l’Egypte vont rédiger un texte, la Bible, maintes fois remanié, ou ne figure plus cette lointaine et gênante origine égyptienne, ou les noms sont maquillés, inventés donc, Abraham, inventée sa naissance en Mésopotamie! ».

Finalement, peut-on soutenir l’existence d’une langue propre aux hébreux ou est-il approprié de soutenir que la langue hébraïque tire toutes ses racines de l’ancienne Egypte ou des hiéroglyphes ? N’est-il pas intellectuellement malhonnête de la part de nos chercheurs endimanchées de soutenir que la langue hébraïque actuelle est un hiéroglyphe stylisé ?

 

Prenez toutes les langues ayant soit des racines latines (français, latin, espagnol, portugais) ou des racines germaniques (Allemand, Anglais, Suédois…), ces langues varient d’un endroit à un autre et évoluent également selon les temps et/ou les époques. Le Français ou l’Anglais  du temps de Molière et de Shakespeare est drastiquement diffèrent de ces langues actuellement écrites et parlées. Ainsi l’ancien égyptien a connu des ramifications, des changements syntaxiques et autres pour devenir le Bamiléké au Cameroun et l’hébreu en Israël. La racine de ces deux langues parte toutes de l’ancien égyptien.

En ce qui concerne la malhonnêteté intellectuelle des frères Sabbah, c’est aussi le fait de ne point mentionner Ismaël, le frère ainé d’Isaac, celui-là même qui perdit son droit d’ainesse au profit de son cadet, sous de fallacieux prétextes, source de division des descendants directs d’Abraham et de la création de deux différentes tribus religieuses à savoir la branche d’Ismaël pour les Musulmans et la branche d’Isaac pour les juifs ou sionistes de nos jours. Cette incongruité ou mieux cette injustice est encore source de tensions graves, d’affrontements armés et meurtriers aussi connu comme le conflit israélo-palestinien ou l’Intifada.

Les frères Sabbah ont même le toupet de mentionner Agar, devenue subitement et par miracle, Kiya. Selon ces deux fraudes, Agar n’est point une servante comme initialement décrite ou dépeinte dans la Bible mais plutôt « la seconde épouse d’Abraham », Abraham lui-aussi devenu le Pharaon Akhenaton ou Dieu lui-même.

Pour clore l’insolence, la bêtise intellectuelle et le manque de considération à notre égard, le sacrifice d’Abraham, le Bélier est Amon, c’est-à-dire, Dieu fut le Bélier du sacrifice et non le Bélier, un animal en lieu et place de la vie humaine, car Dieu ne saurait tolérer l’immolation d’un de ses propres fils.

Le récit quasi-hollywoodien des frères Sabbah n’a réellement rien apporté de scientifique, de spectaculaire, d’inédit, de bouleversant sinon que de perturber ou distraire les dogmes et autres enseignements divins en place, enseignements, dont nous soulignons au passage sont eux-mêmes corrompus et grossièrement suprématistes.

Il  serait dans l’intérêt de l’humanité toute entière d’exiger des leaders religieux de faire découvrir la vérité, toute la vérité ou toute la lumière sur les zones d’ombres ou les contre-vérités distillées çà et là, afin de mettre un terme aux préjugés les plus fallacieux ainsi que toute la violence inouïe crée de toutes pièces par nos propres attitudes moins éclairées ou  interprétations des relations ou interactions d’avec les autres, à savoir le racisme, le fascisme, la suprématie occidentale ou occidentalisée pour une société beaucoup plus informée, pertinemment éduquée, responsable, tolérante, généreuse, fraternelle et communautaire, selon l’unique volonté de Dieu.

 

En clair, Nous devons mettre un terme au système éducatif occidental pour un autre, beaucoup plus pertinent afin de sortir toute l’humanité de son ignorance congénitale et lui donner la chance de découvrir les motivations d’Amon ou de Dieu pour la différence installée au niveau des couleurs des races humaines.

Nous sommes tous issus du même père (Amon ou Dieu) mais de mères différentes (Continents).Par conséquent, nous devons être liés de par notre Père-Créateur et s’accepter mutuellement avec nos différences raciales, ethniques, religieuses… Il est grand temps de rassembler la grande famille d’Amon (toutes les races) afin qu’elle le serve, lui et lui seul.

Notre passage ici-bas est pour une mission ou un ministère particulier. Nous avons tous une mission au sein de la Division du Travail. Il est de notre bien-être et notre prérogative de nous découvrir et ensuite rétablir les liens longtemps perdus avec notre Créateur, Amon ou Dieu, pour plus de stabilité, paix, cohésion…

Au titre des mensonges distillés par ces leaders religieux, prétendant être les premiers à expérimenter Dieu ou à détenir le secret des religions dites révélées, nous vous proposons l’histoire d’Osiris, (Dieu de la Mort, Vie et Résurrection) s’apparentant curieusement à celle d’un personnage biblique créé dans la pure tradition judéo-chrétienne voire gréco-romaine : Jésus –Christ de Nazareth.

Osiris serait-il Jésus-Christ ou encore Jésus-Christ serait-il lui aussi une invention judéo-chrétienne ?

 

Épithètes d’Osiris

Osiris est un dieu complexe dont la présence est attestée sur tout le territoire égyptien. Ce dieu regroupe en son sein plusieurs facettes. Ses aspects de dieu funéraire sont bien connus. Mais Osiris est aussi une divinité qui veille au bon fonctionnement de l'univers. Son action bienfaisante est ainsi à l'œuvre dans le défilé des étoiles ou dans le cycle saisonnier de la végétation18. Par conséquent, Osiris se présente à ses adorateurs sous une multiplicité de noms. Des litanies sont psalmodiées à « Osiris sous tous ses noms ». Très tôt, Osiris est doté de l'épithète « Celui qui a beaucoup de noms » (ash renou). Cette accumulation d'épithètes et de noms apparaît dans le chapitre 142 du Livre des Morts. Ce texte permet au défunt d'accéder à la vie éternelle à l'image d'Osiris. Pour ce faire le défunt énumère une liste de 115 épithètes attachées au nom d'Osiris. Plus le fidèle énumère de noms, plus il reconnaît et accepte la puissance de la divinité invoquée19. Les différentes fonctions du dieu et les différentes villes où son culte est présent s'enchaînent pêle-mêle, sans ordre logique :

 

Osiris Ounnefer,
Osiris vivant,
Osiris maître de vie,
Osiris maître de l'Univers, (...),
Osiris qui préside au grain,
Osiris Orion, (...),
Osiris maître des millions d'années,
Osiris âme des deux dames,
Osiris-Ptah maître de vie,
Osiris qui préside à Ro-Sétaou,
Osiris régent des rives, qui réside à Bousiris, (...),
Osiris dans son palais à Ro-Sétaou,
Osiris dans le nôme d'Abydos,
Osiris dans Nedyt,
Osiris qui préside à sa ville,
Osiris le souverain, (...),
Osiris dans le ciel,
Osiris dans la terre,
Osiris l'intronisé, (...)
Osiris qui régit l'éternité à Héliopolis,
Osiris engendreur,
Osiris dans la barque de la nuit, (...),
Osiris qui préside à l'Occident,
Osiris dans toutes ses places, (...)

(Extraits du chap.142 du Livre des Morts. Traduction de Paul Barguet)

Source : Wikipédia

 

Abraham

L’explication biblique/talmudique du conflit Israélo-Palestinien, depuis la naissance d’Isaac (père de Jacob), tous deux considérés comme des prophètes juifs selon les sionistes ou Juifs Ashkénazes jusqu’à l’expulsion d’Agar la servante (mère d’Ismaël et d’origine égyptienne) :

EXTRAIT DU LIVRE DE NICK DE BESSOU SUR LE PANAFRICANISME : [Genèse 21, 8-9. Ismaël se moque?

En Genèse 21, 8-9 je lis : "L'enfant grandit et fut sevré, et Abraham fit un grand festin pour le jour où l'on sevra Isaac. Or Sara aperçut le fils né à Abraham de l'Egyptienne Agar, qui jouait..." Cher inconnu, pour votre information, j'ai vérifié la traduction du verset 9 dans plusieurs sources. Il y a d'ailleurs plusieurs sites en ligne qui donnent des traductions différentes de ces versets de la Bible (faciles à retrouver via les moteurs de recherche...).

Je cite ici quelques traductions trouvées: • "Sara aperçut le fils né à Abraham de l'Égyptienne Agar, qui jouait avec son fils Isaac." •

"Un jour Ismaël, l'enfant que l'Égyptienne Agar avait donné à Abraham, était en train de jouer." (Suivi de "Sarah le vit et dit à Abraham: chasse etc...") •

"Sara vit s'amuser le fils que Hagar l'Egyptienne avait donné à Abraham." • "Sara vit rire le fils qu'Agar, l'Égyptienne, avait enfanté à Abraham." • "Sara voit rire le fils qu’Agar, la Misrit, avait enfanté à Abrahâm." • "Sarah vit que le fils d'Agar l'Égyptienne, que celle-ci avait enfanté à Abraham, se livrait à des railleries."

On voit donc que les traducteurs ne sont pas tous d'accord et hésitent entre plusieurs versions depuis celle qui dépeint une mère qui n'apprécie pas que son fils puisse jouer avec celui de l'Égyptienne jusqu'à la version qui explicite que Ismaël se livre à des railleries. Dans tous les cas, le verset suivant est la demande de Sarah de chasser Ismaël et Agar. Par ailleurs, si on s'intéresse au texte en hébreu (qui est la langue de départ), le verbe utilisé est, dans sa forme conjuguée: "מְצַחֵק" qui se lit "Metsa'hek". On y reconnait la même racine de mot que dans le nom hébreu de Isaac, "יִצְחַק" qui se lit "Yits'hak". Le texte hébreu parle donc bien de "rire" (Isaac avait été appelé ainsi parce que sa mère avait ri en apprenant qu'elle allait tomber enceinte à 90 ans...) et non de "jouer". Si le texte avait voulu signifier "il a ri", le mot correct aurait été יִצְחַק-Yitzhak comme pour le rire de Sarah, mais au contraire dans ce verset, le texte utilise מְצַחֵק-Metsahek qui est une forme plus insistante du verbe hébreu. C'est pour cela que cela donne lieu à des interprétations plus poussées où Ismaël "se moque" ou "raille". BneiMaimon 11 février 2006 à 21:58 (CET)

J'ai mis "se moquer". Mais vous pouvez mettre "rire". L'important est qu'il y ait une raison à la décision de Sarah de chasser Ismaël et Agar.

Un texte du Talmud dit ceci : Trois maîtres veulent expliquer pourquoi Sarah, voyant rire Ismaël, a pu demander une chose aussi terrible à Abraham : expulser Agar et Ismaël ! (...) Et Rabbi Shimon bar Yochaï, qui cite ces trois maîtres, déclare qu'il est étonnant que dans la maison de ce Juste (Abraham), quelqu'un puisse agir ainsi. Il explique le rire d'Ismaël comme une moquerie (...)].

 Soutiennent-ils aussi les frères Sabbah que Moïse fut aussi un caractère biblique invente ?

Les contre-vérités des livres saints (Bibles, Torah, Talmud et Coran)

EXTRAIT DU LIVRE DE NICK DE BESSOU SUR LE PANAFRICANISME :

[L’histoire de Moise selon la tradition africaine : Le nom de ce personnage biblique vient de l’ancien égyptien et du Bamiléké, langue africaine du Cameroun, en Afrique de l’ouest. Ce n’est point un nom Juif car il n’avait jamais existé avant ce personnage biblique.

Selon Tehuti Research Foundation : « MOSES ou Moïse Dans le livre de Ruth Anthelme & Stéphane Rossini dont le titre est « Hieroglyphies Handbook », p. 9, le mot « Moses » est défini littéralement comme, Moses (Moïse en français) signifiant être né, ou donner naissance.

En Bamiléké, le mot « Moses » signifie son par son, « Mo » enfant, « Se » ou « Ze » = donner naissance. L'autre double signification du mot « Se » ou « Ze » est : l'eau. Le son « Se » ou « Ze » doit être prononcé avec un léger accent. « Se' » = l'eau ou « shi' » = l'eau.

La signification littérale mis ensemble avec le mot « Moses, (moïse) », dans la langue bamiléké- ancienne égyptienne, « mose »= un enfant né dans l'eau ou un enfant de l'eau. La signification littérale correspond à l'histoire de Moise. Il aurait été trouvé dans une corbeille, flottant sur le Nil par la fille du pharaon. Ainsi l'enfant de l'eau, l'enfant né de l'eau, ou l'enfant trouvé dans l'eau est la signification figurative.

La signification littérale bamiléké apporte plus d'informations. Les sons « Moïse » ou « Mose » sont les mêmes sons.

On retrouve ces sons dans les noms de Ramose (Ramsès) et Thoutmosis. L'appellation de Ramsès et Thoutmosis est issue des mots transformés afin que celle- ci soit accommodante pour les égyptologues modernes occidentaux. L'écriture la plus juste de ces noms, proche du son originel sont pour Ramsès : Ra' Mo' Ze ou Ra' Mou' Ze et pour Thoutmosis : Thu'thmo'ze ou Thot Mou' Ze. Si l'on lit le nom de Ramsès de bas en haut, nous serons plus proches de la prononciation originale de son nom. Cela donnera : Ze Mo Ra à la place de Ra' Mo'Ze qui a constitué le nom de Ramsès.

Cette suggestion peut être trouvée dans le livre de Lucia Ghalin, p.75, ou elle dit : « …un des noms que le roi a pris à sa naissance, parmi les cinq autres noms était « Semora » qui signifie le fils de « Rê. »

Plusieurs livres sur l'Egypte ancienne ont mentionné Semora à la place de Ramose ou Ramsès. Mais Ramsès semble avoir emporté l'assentiment auditif des traducteurs occidentaux modernes grécisant ».

Il est donc évident que l’origine de Moise est africaine plutôt que juive comme les livres saints chrétiens et juifs tentaient de nous le faire croire. Moise est donc le nom que les anciens égyptiens donnaient aux enfants abandonnes et trouves au bord de l’eau.

En Afrique, les noms des individus ont une portée significative. Par exemple mon nom est ÔBOU, signifiant le « bouillant » ou « le volcan ». En d’autres termes, une force naturelle dévastatrice. Mes amis et proches soutiennent que mon nom décrit mon tempérament bouillant voire volcanique. Je n’ai pas la langue dans la poche et je détruis tout sur mon passage. Cela veut dire que je détruis toutes les fausses thèses comme le volcan détruisant toute trace d’une civilisation.

Comme vous pouvez le constater, les noms des africains décrivent leur personnalité, leur tempérament, leur sagesse etc. Seuls les africains ont encore conservé cette tradition.

Moïse n’est pas un nom hébreux encore moins Abraham. Ce sont des noms empruntes aux africains. Il faut le souligner au passage.

Pour la petite histoire, Moise est retrouvé près du Nil par la fille du Pharaon. Elle l’épargne sachant qu’il est d’origine juive donc fils d’esclaves. Aussi, si Moïse est abandonné par ses parents, c’est probablement pour échapper à une mort certaine, en partie due au décret du Pharaon de tuer tous les premiers nés. Bithiah, la fille du Pharaon le savait si bien.

Cependant, elle fut prise de compassion pour cet enfant. Elle demanda à une juive de lui donner du lait. Curieusement, cette jeune juive est la sœur ainée de Moïse. Elle s’appelait Myriam.

Que sont-ils devenus les parents de Moïse ?

Moïse étant épargné et protégé par la fille du Pharaon, pourquoi Myriam ne le retourne –t-il pas à la maison ? Pourquoi Myriam continuait-elle à prétendre ne pas connaitre Moïse ?

La raison est que Moïse n’était pas le premier né. Myriam était l’ainée de Moïse. Le décret ne parlait pas de tuer les garçons mais plutôt les premiers garçons nés.

La colère de Pharaon étant passée, car ayant accepté Moïse dans son palais, Myriam aurait pu révéler l’identité de son frère. Elle ne l’a jamais fait. C’est aussi similaire à une autre histoire d’un autre juif, Abraham, faisant passer son épouse comme sœur afin de bénéficier des grâces du Pharaon.

En d’autres termes, ces juifs furent des malhonnêtes, des menteurs, des corrompus et des criminels. Les trois offres de Satan faites à Jésus sur la montagne, fut aussi faite aux juifs de l’époque d’Abraham et de Moïse. Ils avaient accepté pour Dieu, le Satan. Il leur avait promis le pouvoir, l’argent et bien d’autres choses. Vous serez situés dans un instant.

Il est aussi raconté que le jeune Moïse avait un penchant pour le pouvoir et les pierres précieuses. Cette version est aussi soutenue dans la version occidentale de Wikipédia :

« Un célèbre midrash raconte qu’un jour Moïse jouant sur les genoux du pharaon lui dérobe sa couronne. Y voyant un mauvais présage, les mages du monarque suggèrent à celui-ci la mise à mort immédiate de l'enfant. Cependant, Jethro, prêtre de Madian, propose de mettre à l'épreuve ce qui n’était peut-être que jeu d’enfant, et fait placer Moïse devant un plateau de diamants et de braises ardentes. Moïse se précipite vers le plateau de diamants, mais trébuche (à la suite de l’intervention de Gabriel) vers les braises ardentes. Dans sa frayeur, il porte ses doigts à la bouche et se brûle la langue et les lèvres. C’est de là que vient le bégaiement de Moïse. Le bout de sa langue est brûlée vive. Quant à sa bouche, un pansement y est mis. Quand celui-ci est retiré, il perd un morceau important de sa lèvre ».

Il était clair que l’histoire de l’enfant abandonné ne tenait plus. Moïse fut envoyé vers le Pharaon afin de le dérober et occuper sa place. Pour que cela puisse se faire, ses parents ont préféré l’abandonner près du Nil, sachant que la jeune princesse se baignait là de façon régulière. Les parents de Moïse savaient que cette jeune fille sauverait ou épargnerait la vie de Moïse et l’introduire au palais. Au palais, Moïse serait traité comme un enfant de la maison, du palais royal. En Afrique un enfant adopté est considéré comme un enfant de la famille. Il recevra les mêmes honneurs que les fils biologiques du père.

Les Juifs le savaient, car Pharaon n’avait pas d’héritier mâle. Moïse était donc le candidat approprié pour la succession du Pharaon. Moïse avait un frère, Aaron.

Cependant, ce dernier ne faisait pas partie du palais royal. Il vivait avec ses parents biologiques Amram et Jocabed. Pendant tout le temps de Moïse au palais, Aaron prétendait ne pas connaitre son frère. Il menait sa vie d’esclave comme la majorité de ces contemporains. Il était l’un des prêtres d’une secte satanique communément appelée le VEAU D’OR.

Quand Pharaon s’est rendu compte de la supercherie, il bannit Moïse du palais. Moïse se retrouve un jour dans une carrière où les esclaves juifs travaillaient la pierre pour la construction des édifices comme les pyramides.

Selon la version juive, il fut dégoutté par le traitement inhumain de ses frères de sang. Il assassina le seul garde de la carrière, en présence d’un autre juif, une supposée victime de maltraitance. En principe, un individu qui tue pour sauver une autre vie humaine, est perçu comme un héros. Contrairement à ce que l’on peut imaginer, la victime ira dénoncer Moïse, son sauveur. Moïse s’enfuit donc de l’Egypte pour échapper à la vindicte populaire.

Les actes criminels de Moïse ne s’arrêtent pas là. La version hébraïque soutient qu’il fut aux prises avec des bandits s’attaquant aux filles de Jethro, un riche berger de la région de Madian. En récompense et par gratitude, Jethro lui donne sa fille Sephora.

En réalité, tout ceci fut minutieusement préparé par Moïse. Etant arrivé dans la région de Madian, sans argent et sans abri, il lui fallait créer la diversion afin de rentrer dans les bonnes grâces de Jethro. Il simula une sorte d’attaque des bergères afin qu’il en sortît victorieux. Ces soit disant bandits de l’attaque, furent des juifs esclaves ayant échappé à la servitude en Egypte. Moïse les convainc facilement en leur annonçant être poursuivi en Egypte pour avoir tué un garde. Pour ces juifs, Moïse était un héros et ils feraient tout pour lui faciliter et réaliser son projet machiavélique. Il n’a jamais été mentionné nulle part dans la Bible ou la Torah, d’une force extraordinaire qualifiant Moïse comme ce fut par exemple le cas de Samson].

[Lorsque Dieu frappa l’Egypte, les juifs furent épargnés car des païens et esclaves. La loi ne s’appliquait pas encore à eux. Pendant que l’Egypte agonisait sous la douleur, les juifs ont littéralement pillé leurs maitres, impuissants de défendre leurs biens. Il était virtuellement impossible de voir un esclave en possession d’une petite quantité d’or. L’or était très précieux.

Cependant, les juifs eurent en quantité abondante jusqu’en faire un veau en or massif. De nos jours, l’on peut estimer à plusieurs lingots d’or afin d’obtenir un veau en or massif.

La réalité fut que les juifs, ayant pillé leurs maitres, jubilaient comme tout voleur l’aurait fait. Leur joie fut de courte durée, car Moïse avait d’autres plans. Exposer une telle richesse pour des esclaves « affranchis », attirerait trop de suspicions. Le massacre de 2000 juifs ne fut pas pour des raisons religieuses mais plutôt de survie. Ils devaient prétendre être des esclaves affranchis, des nomades à la recherche de la terre promise.

Dieu n’a jamais promis une quelconque terre aux juifs en tout cas pas à Moïse. La terre promise par Dieu fut faite à Abraham. Cette terre se trouve en Egypte et non en Palestine actuelle. D’ailleurs les récits bibliques soutiennent ceci] :

Selon Wikipédia : « Au fil des miracles, Dieu affermit l’autorité de Moïse sur le peuple, prouvant ainsi qu’il est bien son envoyé. Pourtant le peuple n’a de cesse de murmurer contre Moïse et contre Dieu, répétant qu’au moins en Égypte il vivait mieux. Ensuite, le peuple arrive devant la Terre promise et Moïse envoie douze espions pour reconnaître le pays (Nb XIII).

Dix d’entre eux découragent le peuple d’attaquer le pays malgré le soutien de l’Éternel. Dieu se fâche et décide de les faire marcher dans le désert encore quarante années, afin qu’aucun de ceux qui étaient sortis d’Égypte n’entre dans la Terre promise hormis Josué et Caleb, les deux espions favorables à la conquête ».

Moïse a pris une destination autre que celle décidée par Dieu, à travers sa promesse faite a Abraham. Etant en territoire inconnu, il créa l’ancêtre de la Mossad, une équipe d’espions afin de vérifier la forteresse et le nombre de soldats sur le territoire de son choix. Encore une fois, animé de ses intentions déstabilisatrices, il tentait de donner l’assaut contre les populations locales.

La tradition judéo-chrétienne parle de conquérir le territoire ou de conquête.

Comment une terre promise par Dieu aux juifs dit-elle être conquise ? N’est-il pas vrai que Dieu connait chaque millimètre de son univers ? Pourquoi mettre des esclaves sans formation militaire à l’épreuve en les envoyant à une conquête ou expédition ? Cela n’a aucun sens!

Cette terre n’était pas destinée aux juifs et ne l’a jamais été. Ce fut la volonté d’un individu poussé par son ambition démesurée. Ce ne fut jamais la volonté de Dieu. Dieu ne peut envoyer en pâtures tout un peuple « après l’avoir sauvé des griffes de l’oppresseur ».

Voilà un autre mystère que mes amis juifs évitent d’en parler. Les esclaves juifs furent des travailleurs de pierre et des domestiques. Ils n’avaient aucune formation militaire. Ils se savaient très faibles et n’étaient pas du tout partants pour une quelconque aventure militaire. Ils étaient riches et souhaitaient s’installer au pied de la montagne pour en faire une cité. C’est cette incompréhension entre Moïse et ses « parents »juifs qui les maintenu 40 ans durant dans le désert. Moïse ne vit jamais la terre promise car il fut dérouté par une opposition farouche.

Josué, l’ancêtre des tactiques d’espionnage de la Mossad, prit la tête du groupe à la mort de Moïse. Moïse est mort un homme très frustré. Ce sont donc les juifs sous Josué qui avancèrent à petit pas vers l’Israël actuel, avec la prétention d’être des héritiers directs d’Isaac. La terre était en ce moment occupée par des tribus arabes nomades. C’est ainsi que débuta la guerre fratricide entre les descendants d’Abraham.

Tout ou presque tout sur ce peuple n’est que contre-vérités, maquillées sous forme de parole divine. Ils ne sont pas le peuple élu de Dieu mais plutôt des imposteurs.

Remarquez aussi que chaque fois qu’un juif est persécuté, il trouve refuge en Egypte.

Comment comprendre qu’un peuple vous persécutant, puisse vous ouvrir grandes les portes et vous accorder refuge ?

Dans la bible, nombreux exemples font légions. Le plus célèbre est celui de Jésus.

Il est grand temps que les Juifs mettent fin à leur acte de vouloir jouer les éternelles victimes.

« Paul explique qu’un tel esprit « est inimitié contre Dieu, parce [qu’il] ne se soumet pas à la loi de Dieu, et [qu’il] ne le peut même pas » (Romains 8 :7).

Un esprit non converti essaie de philosopher – ou d’ignorer délibérément – les lois divines, même s’il prétend croire en Dieu et aimer le Seigneur. Satan est capable d’influencer et de séduire quiconque se trouve dans cet état d’esprit (2 Corinthiens 4 :3-4) ». – Source Douglas S. Winnail.

Selon la publication d’AFRIKHEPRI FONDATION du 28 Mars 2013 :

« Comparaison entre les versions égyptienne et biblique de l’Exode »,

« Manéthon, un prêtre égyptien cité par Flavius Josèphe, écrit vers -280 avant Jésus-Christ. Les hommes enfermés dans les carrières souffraient depuis assez longtemps, lorsque le roi, supplié par eux de leur accorder un séjour et un abri, consentit à leur céder l’ancienne ville des Pasteurs [Hyksos], Avaris, alors abandonnée. Cette ville, d’après la tradition théologique, est consacrée depuis l’origine à Typhon [Seth/Baal].

Ils allèrent et faisaient de ce lieu la base d’opération d’une révolte. Ils prirent pour Chef, un des prêtres d’Héliopolis nommé OSARSEPH et lui jurèrent d’obéir à tous ses ordres. Il leur prescrivit pour Première Loi « De Ne Point Adorer de Dieux », de ne s’abstenir de la chair d’aucun des animaux que la loi divine rend le plus sacrés en Egypte, de les immoler tous, de les consommer et de ne s’unir qu’à des hommes liés par le même serment. Après avoir édicté ces lois et un très grand nombre d’autres, en contradiction absolue avec les coutumes égyptiennes, il fit réparer par une multitude d’ouvriers les murailles de la ville et ordonna de se préparer à la guerre contre le roi Aménophis [ ?]. Lui-même s’associa quelques-uns des autres prêtres contaminés comme lui, envoya une ambassade vers les Pasteurs chassés par Touthmôsis [Ahmosis], dans la ville nommée Jérusalem, et, leur exposant sa situation et celle de ses compagnons outrages comme lui. Il les invita à se joindre à eux pour marcher tous ensemble sur l’Egypte. Il leur promit de les conduire d’abord à Avaris, patrie de leurs ancêtres, et de fournir sans compter le nécessaire à leur multitude, puis de combattre pour eux, le moment venu, et de leur soumettre facilement le pays. Les pasteurs, au comble de la joie, s’empressèrent de se mettre en marche tous ensemble au nombre de 200 000 hommes environ et peu après arrivèrent à Avaris.

Le roi d’Egypte, Aménophis, à la nouvelle de leur invasion, ne fut pas médiocrement troublé, car il se rappelait la prédication d’Aménophis, fils de Paapi. Il réunit d’abord une multitude d’Egyptiens, et après avoir délibéré avec leurs chefs, il se fit amener les animaux sacrés les plus vénérés dans les temples et recommanda aux prêtres de chaque district de cacher le plus surement possible les statues des Dieux (…). Lui-même passa le Nil avec les autres égyptiens, au nombre de 300 000 guerriers bien exercés, et rencontra l’ennemi sans livrer pourtant bataille ; mais pensant qu’il ne fallait pas combattre les Dieux, il rebroussa chemin vers Memphis, où il prit l’Apis et les autres animaux sacrés qu’il y avait fait venir, puis aussitôt, avec toute son armée et le peuple d’Egypte, il monta en Ethiopie ; car le roi d’Ethiopie lui était soumis par la reconnaissance. Celui-ci l’accueillit et entretint toute cette multitude à l’aide des produits du pays convenables à la nourriture des hommes, leur assigna des villes et des villages suffisants pour les 13 ans d’exil imposés par le destin d’Aménophis, loin de son royaume, et n’en fit pas moins camper une armée éthiopienne aux frontières de l’Egypte pour protéger le roi Aménophis et les siens. Les choses se passaient ainsi en Ethiopie.

Cependant les Solymites [ceux de Salem] firent une descente avec les égyptiens impurs et traitèrent les habitants d’une façon si sacrilège et si cruelle que la domination des Pasteurs paraissait un âge d’or à ceux qui assistèrent alors à leurs impiétés. Car non seulement ils incendièrent villes et villages, et ne se contentèrent pas de piller les temples et de mutiler les statues des Dieux, mais encore ils ne cessaient d’user des sanctuaires comme de cuisines pour rôtir les animaux sacrés qu’on adorait, et ils obligeaient les Prêtres et les Prophètes à les immoler et à les égorger, puis les dépouillant et les jetaient dehors.

On dit que le Prêtre d’origine héliopolitainne qui leur donna une constitution et des lois, appelé OSARSEPH [Aqousseré-Apopi] du nom du Dieu Osiris adoré à Héliopolis, en passant chez ce peuple changea de nom et prit celui de MOÏSE.

Etude comparative entre les versions égyptienne et biblique de l’Exode.

VERSION EGYPTIENNE VS VERSION ISRAELITE

Le Pharaon Séqenenrê est mort en Mai Ce Pharaon est mort vers le 1er Iyyar 1533, selon la chronologie égyptienne (10 Mai 1533), selon la chronologie datée par l’astronomie. Du texte massorétique. Les anciens égyptiens ont toujours refuse de mentionner les éclipses totales de soleil du 10 mai 1533, car présage de mort.

Le Pharaon est mort lors de l’éclipse totale de soleil (Ezéchiel 32 : 2, 7, 8 : Isaïe 51 : 9,10).

Séqenenrê est mort de façon violente, comme le prouve le piteux état de son corps mal momifié. Le Pharaon combattait avec les ennemis Kharoti (inscription du naos 2248)

Ce Pharaon est mort enseveli dans la Mer Rouge en voulant combattre les Israélites (Exode 14: 9 et Exode 14: 23).

Le Pharaon est mort à Pi-Hahirot dans l’eau de Yat-Desoui, lorsqu’il est englouti par la mer montée brutalement au ciel.

Après sa mort à Pi-Kharoti, le Pharaon prend la forme d'un crocodile (inscription du naos 2248).

Le Pharaon est symbolisé par un monstre marin aux mâchoires redoutables (Ezéchiel 29 : 3, 4).

La stèle de Kamosis est le relief d’Ahmosis et Abydos, illustrent le rôle important joué par les chars de guerre.

Pharaon fit atteler son char et emmena son armée. Il prit six cents des meilleurs chars (Exode 14 : 6,7).

Ahmès Sapaïr, le fils ainé de Séqenenrê, est mort à l’âge de 10 ans, selon la taille de sa statue commémorative la Pâque du 14 Nissan, soit le 24 avril 1533.

Les premiers-nés y compris celui du Pharaon peu de temps avant lui, sont morts la Pâque du 14 Nissan (Exode 11: 5, 12:12).

Comme vous le constatez, ces menteurs et usurpateurs nous ont vendu notre propre héritage, après avoir tripatouillé notre propre histoire ou légende.

La plaisanterie a assez duré !

Amon ou Yaweh ou Dieu est bel et bien noir comme l’atteste si bien les hiéroglyphes et autres parchemins (papyrus) découverts ensevelis ou chez certains grands collectionneurs, tentant de distraire ou voiler la véritable identité ou origine de Jésus.

La Zougloutique soutient ceci : L’on ne peut cacher le soleil d’une main !

En d’autres termes, la vérité finit toujours par rattraper le mensonge, comme c’est le cas actuellement !

Nous attendons impatiemment nos frères et amis juifs Ashkénazes ou sionistes de nous apporter la contradiction scientifique, anthropologique, historique et génétique de leurs contre-vérités et hypocrisies déversées dans leurs soit disant livres saints à savoir la torah et le Talmud !#

En attendant, nous leur proposons de se ressaisir et de se repentir pendant qu’il est encore temps !

Le faisant, c’est reconnaitre l’existence de Dieu, sa présence parmi nous et sa puissance à travers tout l’univers.

Amon ou Dieu est aussi Pardon en plus d’être Amour et Lumière !

Reconnaitre ses erreurs ou son égarement, c’est humain.

Reconnaitre ses erreurs, se confesser, se repentir et transformer ses pensées nocives en sagesse, c’est divin.

Le racisme est exprimé de plusieurs manières ou voies. Le racisme peut être ordinaire, subtile, écrit, violent, agaçant, frustrant, invisible mais présent, grossièrement visible et descriptible voire palpable.

Les suprématistes sont aussi des racistes mais eux par contre détestent la présence des noirs qu’ils considèrent comme des animaux ou des indésirables. Par conséquent, ils rejettent le noir car « l’on ne peut associer les humains (blancs) aux animaux (noirs) ». Pour régler ce problème « d’infection ou de surpeuplement », « il faut détruire les animaux et leur habitat afin qu’ils ne se reproduisent point et finir par envahir les quartiers habités et habitables par des humains ». Ceci explique le lynchage, les crimes raciaux, la violence racialement motivée ou les assassinats des noirs comme c’est tristement le cas aux Etats Unis d’Amérique.

Aussi à partir de cette attitude ou pratique inhumaine, se développe une nouvelle politique communautaire consistant à séparer ou ségréguer les différentes communautés ou groupes raciaux, communément appelés les ghettos. Par conséquent vous avez les ghettos pour noirs, pour latino-américains, les réserves pour les amérindiens ou les autochtones et finalement des quartiers à prédominance blanche, strictement interdits aux noirs.

Cette ségrégation officieuse inspire aussi d’autres communautés, particulièrement les afro-américains appartenant au groupe religieux The Nation of Islam (La Nation de l’Islam), se radicalisant en créant même au sein de la communauté afro-américaine, une autre sous-communauté religieuse avec leur propre administration, lois, règles, codes communautaires, mosquées ou temples d’adoration, écoles ou centres de formation et leurs propre business, en clair, une communauté qui se veut autonome tout en rejetant les autres, blancs et noirs y compris.

Cette politique raciale et séparatiste, n’est point faite pour faciliter l’harmonie, la fraternité et la cohésion au sein de la communauté afro-américaine en général.

En d’autres termes, les noirs se font coupables et complices de la politique suprématiste occidentale et de la ségrégation en rejetant certains parmi eux ne partageant point leur point de vue religieux ou idéologique. Ceci est en réalité la finalité tant souhaitée par le caucasien, « Divide to conquer » (Diviser pour mieux régner). En clair, les noirs en général ne répondront jamais d’une même voix un crime frappant un membre de leur propre communauté.

Par conséquent, les leaders religieux et politiques afro-américains réagiront diversement pour les crimes crapuleux commis sur certains d’entre eux.

Par exemple certains soit disant académiques soutiendront le crime commis sur un noir car pour eux ce noir ne fait point la fierté de la communauté car sans éducation, de famille très modeste ou de parents eux-mêmes criminels ou des proxénètes ou des prisonniers ou d’anciens prisonniers ou des « nègres » ou des « cafards ». D’autres par contre ne partagent pas les malheurs affectant les autres noirs si ce noir n’est pas un membre direct ou influent de leur propre communauté c’est-à-dire catholique ou baptiste ou musulman ou de la nation de l’islam ou de la communauté des artistes du rap/ hip hop etc.

En d’autres termes, le crime sur le noir est diversement apprécié ou interprété par les noirs eux-mêmes. Dans pareille situation, le racisme et ses crimes ne sont pas prêts de disparaitre de sitôt.

En clair, nous sommes nos propres bourreaux ! Le caucasien nous massacre et nous rions pour la misère de nos propres frères et sœurs noirs car pensant ne point être directement concernés car « des amis ou des partenaires des caucasiens » ou encore que ces victimes méritent leur triste sort. L’on ne fait point un bloc commun autour de notre propre race noire, mais plutôt nous opérons uniquement sur la base de nos intérêts égoïstes du moment.

Un noir quel que soit ses origines, demeure aux yeux de ces caucasiens suprématistes, un « nègre » même riche, puissant et célèbre !

Quand nous accepterons finalement, tous en notre qualité de noirs, cette triste réalité, nous serons réellement sur le point d’éradiquer le racisme, le fascisme et la fausse suprématie occidentale. Pour cela il nous faudra divorcer d’avec le système éducatif occidental dans lequel nous évoluons tous, immédiatement, pour une éducation ou un système éducatif plus pertinent, faisant plus d’ouvertures sur le monde, les contradictions et apportant rectifications, justifications et contradictions aux enseignements erronés distillés dans les plus prestigieuses universités de notre univers.

Pourquoi le racisme, fascisme et autres formes de suprématie erronée existent-ils dans nos sociétés ou au sein de nos communautés ? Pourquoi une race rejette-t-elle une autre et  sur quelle base ? Est-ce cette base ou raison réellement fondée, crédible, convaincante, objective ?

N’est-il pas vrai que le raciste lui-même est incapable de justifier son attitude vis-à-vis du noir et qu’il soutient mordicus que les choses sont ainsi ou que la religion le soutient donc Dieu lui-même est pour le racisme ?

Si nous décortiquons minutieusement tous ces tissus de mensonges, de contre-vérités et de préjugés, il se dégage un élément majeur : La peur de l’autre, particulièrement du noir !

Pourquoi les autres races ont–elles peur ou sont victimes d’une psychose congénitale quant à la présence du noir dans leur environnement, quartier, bureau, église, village, ville, pays etc. ? D’où vient-elle cette psychose et pourquoi ?

La psychose est le pur fruit d’une campagne de dénigrement et de diabolisation de la race noire dans l’unique but d’effacer son passé glorieux mais encore d’effacer le passé moins glorieux des leaders de ce monde, qui, tenez-vous bien, sont eux-mêmes des descendants de noirs ou comme ils le soutiennent des « nègres ». C’est exactement ce qu’ils tentent vaille que vaille de vous cacher !

C’est donc leur hypocrisie, malhonnêteté intellectuelle, orgueil, vanité, suffisance  qu’ils tentent vaille que vaille de voiler aux autres, car en réalité ils reconnaissent réellement le droit d’ainesse du noir, son statut de souverain des souverains parmi les souverains, premier habitant de notre univers, premier administrateur, premier bâtisseur, premier talent ou génie ou savant , tout ceci par l’unique volonté d’Amon ou de Dieu lui-même. C’est malheureusement le choix divin et il n’y a absolument rien que l’on puisse humainement faire pour l’en dissuader. C’est d’ailleurs cette option humaine que les caucasiens ont ou tentent d’adopter afin de forcer Dieu à reconnaitre leur talent de grands savants, bâtisseurs, homme de paix et de guerre, porteur et précurseur de la civilisation salvatrice et salutaire pour le reste des races encore considérées comme des indigènes.

Est-ce de la bêtise humaine ou de la pure ignorance, cette attitude consistant à vouloir démontrer à Dieu qu’il s’est trompé ou réellement trompé sur le compte des noirs et des blancs ? Là, se trouve la véritable question !

Les occidentaux souhaitent tant raisonner ou rationnaliser les choses qu’ils se perdent eux-mêmes en conjectures ou se ridiculisent dans le même processus. Ceci  démontre finalement leur manque criard de sagesse, d’humilité et de stoïcisme et par-dessus tout leur relation personnelle non existante avec Dieu.


Les juifs actuels ont encore les gènes du racisme depuis la période d’Hérode Antipas et du romain Ponce Pilate. Les choses n’ont pas réellement évolué depuis cette période-là. Ils furent aussi impliqués dans la rédaction du traité de la Conférence de Berlin (1884-1885). Bien avant, ils furent impliqués dans la traite négrière depuis le VIIIe siècle.

De nos jours, ils sont impliqués dans le colonialisme subtile ou néocolonialisme ou la mondialisation, des concepts vides de sens, ouvrant grandes les portes à toutes sortes d’exploitation abusive des ressources naturelles des petits pays et la guerre d’occupation en Afrique et au Moyen-Orient, particulièrement la Palestine. C’est un peuple qui menace la stabilité régionale dans le Moyen-Orient sous prétextes d’être la victime d’une guerre sainte ou d’occupation.

Le terme « Goya », féminin de « Goy », initialement est attribué aux peintres et artistes. Cependant, depuis l’époque talmudique, Goya est devenu un terme pour désigner une gentille ou prostituée ou encore une non-juive. Ceci fait allusion à la rencontre entre Jésus et Marie Magdeleine, la prostituée.

Les Juifs actuels soutiennent que Jésus fut sexuellement lié à cette prostituée. Ils lui retirent son action salvatrice quant à transformer la prostituée en une croyante. En d’autres termes, les juifs ne reconnaissent pas Jésus comme le fils de Dieu, mais un vulgaire individu s’accouplant avec des prostituées. Cela s’appelle du blasphème.

Dans la Bible, les juifs rejetteront Jésus en échange d’un criminel du nom de Barabbas, condamné à la prison à perpétuité et à la crucifixion.

Les juifs choisirent le criminel et envoyèrent Jésus à la croix, pour « avoir blasphémé et prétendant être le roi des Juifs et le fils de Dieu ».

Les juifs rejetèrent Jésus pour deux raisons. Ils s’attendaient à un messie de la stature d’un chef militaire comme le roi David, un général pour diriger l’armée contre l’occupation romaine sous Ponce Pilate. Jésus vint et leur dit être le fils de Dieu, le messie, fils de l’éternel des armées. Il était l’opposé de David car très philosophe et sage et partisan de la non-violence.

Enfin, il était noir car l’image de Dieu à cette époque-là fut d’un Dieu blanc. Pour ces raisons, Jésus fut livré en pâtures aux romains. Les juifs attendent toujours leur messie. Ils pensaient l’avoir en David Gourion, père-fondateur de l’Israël actuel.

Depuis lors, ils multiplient les prières et les sacrifices afin que Dieu exauce leurs prières. Depuis le temps d’Hérode à nos jours, les juifs continuent de sombrer religieusement même si l’apparence mondiale du juif est celui d’un homme riche et puissant. Ils sont encore persécutés depuis des centaines d’années en passant par l’holocauste et le sentiment antisémitisme ou antisioniste. Ils ne sont pas beaucoup aimés dans la région et constamment sous la menace d’attaques terroristes ou de guerres d’invasion. Malgré leurs efforts de jouer la carte de l’éternelle victime, ils peinent toujours à se faire accepter. Ils sont certes protégés par les grands de ce monde, puissances qu’ils ont installées à coup de millions de dollars et de lobbying. Ils ne furent jamais inquiétés par les résolutions onusiennes depuis la création d’Israël en 1948.

C’est en réalité un peuple marginalisé et qui se marginalise, tentant de se faire passer pour l’élu de Dieu. Cependant, tous leurs actes et leurs livres saints se démarquent drastiquement de l’enseignement divin. Ces Juifs de cette époque, les pharisiens de l’école de Shammaï, une secte satanique, dont les origines remontent à la Russie actuelle et au métissage entre arabes et pharisiens, les juifs ashkénazes de nos jours, sont ceux-là même qui ont et persécutent les chrétiens à travers le monde. Ils persécutent aussi les noirs comme l’article publié ci-dessus. Ce sont ces pharisiens que le messie combattait dans la Bible comme dans le livre de Matthieu où les deux écoles Beth Shammaï et Beth Hillel s’affrontaient souvent de façon tragique

En clair, ils ne connaissent point Dieu même si pendant des siècles, Dieu fut leur fonds de commerce pour l’annexion des territoires dans notre univers. La crise palestino-israélienne a fini par convaincre plus d’uns que les juifs actuels sont très loin d’être des Enfants de Dieu ou le peuple élu de Dieu, d’où la publication du livre  des frères Sabbah afin de glamouriser ce peuple de malfaiteurs pour une meilleure place dans nos cœurs et communautés.

Est-ce peine perdue ou encore ce livre-mensonges connaitra un succès éclatant grâce au génie du cinéaste Steven Spielberg ?

Certains diront ou soutiendront par l’affirmative et d’autres seront eux- par contre dans le doute ou la confusion. Pour notre part, nous soutenons que l’on ne peut cacher le soleil à toute une communauté en faisant usage de sa propre main. Vouloir le faire ou le faire réellement, fait montre du caractère semi-achevé de l’individu ou démontre son ignorance, ses tares intellectuelles etc.

Pourquoi l’établissement tente-t-il désespérément de vous voiler la vérité et entretient la psychose au sein de nos sociétés quant à la présence des noirs ? Que cache-t-il cet établissement ? Qu’est-ce qui est si embarrassant pour cette Elite mondiale ?

Vous le saurez sous peu suite aux recherches, travaux et découvertes anthropologiques, historiques et même génétiques.

« VOUS CONNAITREZ LA VÉRITÉ ET LA VÉRITÉ VOUS AFFRANCHIRA ! »

 

PHOTOS D’ILLUSTRATION :

  1. Portrait d’Akhenaton (Pharaon noir de l’Egypte ancienne), comparé à la photo du jeune Char-ma Arké de Djibouti (Somalie française), Région de Pount Antique.
  2. Portrait d’un ancien Pharaon noir (inconnu), comparé à la photo de l’acteur afro-américain Wesley Snipes.
  3. Buste d’un Pharaon noir d’avant l’invasion indo-européenne du VIIe siècle ou -545 avant J.C
  4. Portrait d’un autre Pharaon noir (non encore identifie) : Veuillez prêter une attention particulière aux traits physiologiques noirs ou négroïdes de ce Pharaon noir. Est-il semblable aux Juifs Ashkénazes ou Sionistes de nos jours, comme tentent de le faire croire les frères Sabbah ?
  5. La Reine Charlotte (Ancêtre de l’actuel Reine d’Angleterre et du Royaume Uni, Patronne du Commonwealth et Héritière-leader de l’Eglise Anglicane, la Reine Elisabeth II).
  6. Le Maure ou l’Africain Othello, personnage et caractère d’une pièce de théâtre du même nom, de Shakespeare.
  7. La Reine Pomaré, Reine de Tahiti, 1852.

 

« « L’IGNORANCE MÈNE A LA PEUR,

LA  PEUR MÈNE A LA HAINE,

LA HAINE CONDUIT A LA VIOLENCE,

VOILA L’ÉQUATION ! » - IBN ROCHID (AVERROÈS)



[Fin de la Troisième Partie].

 

ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE !

TEAM G.O.D THE LIGHT!

 

Fait à Londres le 19 Septembre 2014.

 

Nick De Bessou                                                  

Juriste & Anthropologue Politique.

Président du FDRC.

[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises].

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7 PHOTOS D'ILLUSTRATION DEMONTRANT LE PASSE GLORIEUX DES NOIRS, LEUR PRESENCE EN EUROPE MOYENNAGEUSE ET DANS LES ILES CARAIBES: PORTRAIT NO1 EST DU PHARAON AKHENATON, COMPARE A LA PHOTO D'UN DJIBOUTIEN; Y A T-IL UNE RESSEMBLANCES ENTRE CES PORTRAITS/PHOTOS ET LES JUIFS ASHEKAZES OU SIONISTES ACTUELS?
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