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Blog politico-juridique

Afrique: Mysticisme, fetichisme, satanisme, religion et Zougloutique! [3e Partie]

Publié le 19 Juin 2014 par Nick de Bessou

Afrique : Mysticisme, fétichisme, satanisme, religion et Zougloutique !

Pourquoi les africains sont-ils tant attachés au mysticisme et au fétichisme ?

 

[Dossier exclusif du FDRC]

[Troisième partie]

(Ames sensibles, s’abstenir) !

 

L’Afrique, ce continent de mystères et mystérieux ne finit pas de nous dévoiler les secrets de sa création, la création des hommes, la religion divine et le mysticisme. L’on a coutume de dire que l’Afrique est le berceau de l’humanité. Ceci n’est pas du tout faux !

L’Afrique est réellement le berceau de l’humanité, non pas à cause des fossiles trouvés sur le continent, mais surtout à cause de la découverte de nos jours de travaux d’anthropologues et autres chercheurs ou universitaires. Les annales et autres livres d’histoire ou les encyclopédies, nous ont longtemps distrait voire induit en erreur, nous maintenant dans l’ignorance la plus absolue.

Le système éducatif dans lequel évolue l’africain moderne est essentiellement orienté vers la suprématie de la race caucasienne ou blanche et leur prétendue civilisation. En termes de civilisation, l’apport de l’occident a fini par étaler ses limites en tout.

 

 

 

Les africains furent les premiers à dominer notre univers. Ils furent les premiers souverains, les rois, reines, pharaons à régner sur terre, longtemps avant la domination occidentale. La domination occidentale date plus ou moins de 2000 ans, si l’on s’en tient plus ou moins à la création de la première bible sous la direction de Constantin.

Cependant, les noirs ou les africains avaient déjà occupé plus de la moitié de notre univers entre 50 000 et 70 000 ans avant la naissance de Jésus-Christ. Il s’agit de l’Europe, de l’Asie, de l’Australie et de l’Afrique. Nous vous présentons l’un des vieux peuples africains vivant au Sud-est asiatique (Les Philippines), appelé les « Négritos » ou « petits nègres » en Espagnol.

« Le terme Négritos désigne des populations de petite taille, à peau noire et aux cheveux crépus, vivant dans trois zones géographiques du sud-est asiatique : les îles Andaman, la péninsule Malaise (laquelle est partagée entre la Malaisie, la Thaïlande et la Birmanie) et les Philippines.

Ces populations descendent des premiers humains modernes arrivés dans la région voilà plus de 50 000 à 70 000 ans.

Les analyses génétiques montrent qu'au-delà de leur ressemblance physique, les différents groupes ne sont apparentés que de façon très vague et ancienne, indice probable de vagues de migrations distinctes. Cependant chaque groupe possède un ensemble génétique très homogène d'ADN mitochondrial (mtDNA), indice d'un isolement de longue date. Leur ADN mitochondrial sert donc de base pour l'étude des dérives génétiques.

Ces groupes, vivant initialement en chasseurs-cueilleurs, ont été en partie acculturés par les populations austronésiennes ou môn-khmer arrivées bien plus tardivement dans la région, certaines populations devenant agricultrices et adoptant les langues des nouveaux arrivants ». –Source Wikipédia.

Les négritos sont aussi localisés en Amérique du Sud (Mexique) dans la ville mexicaine de Jiquilpan.

 

Le triste sort des Négritos :

http://www.courrierinternational.com/article/2007/12/06/squatters-dans-leur-propre-pays

Le Monde.fr – Courrier International

Hebdo N0 892 >Asie>Philippines.

Philippines Center For Investigative Journalism (PCIJ)/ Rorie R. Fajardo.

6 Décembre 2007.

 

Dix ans après l’adoption d’une loi progressiste visant à protéger le droit des 110 ethnies de l’archipel philippin, le bilan est maigre. Ces peuples indigènes vivent dans un profond dénuement loin du reste de la population.

Plusieurs semaines avant la rentrée de Septembre, Myrna Verde emballe quelques vêtements, réunit ses quatre enfants d’âge scolaire et monte dans un car à destination de Manille, à 138 kilomètres de son village de Zambales. A 57 ans, c’est la première fois qu’elle se rend aussi loin de chez elle, mais elle a une mission : trouver des gens bien veillant pour lui donner de l’argent ou n’importe quoi pour ses enfants – tous aveugles de naissance – puissent continuer à aller à l’école.

Mme Verde sait cependant qu’elle a peu de chance d’y parvenir. D’ethnie Aeta, elle a entendu de la bouche des membres de sa famille et des villageois plus d’une histoire parlant de la discrimination et du mépris qui frappent à la ville les gens ayant sa couleur et son aspect.

Les Aetas sont l’une des 110 ethnies que compte l’archipel des Philippines. Premiers occupants de l’archipel, ils sont mélanésiens et ils sont appelés « Négritos » par leurs concitoyens arrivés plus tardivement.

Habitant en général des zones forestières difficilement accessibles du centre et du sud-est de Luçon, les Aetas vivent de la chasse, de la cueillette, de l’agriculture ou du commerce. Depuis quelques années, ils ont ajouté à cela la mendicité.

« Cela me dérange pas ! Je préfère mendier que voir mes enfants manquer l’école ou avoir faim », confie Mme Verde.

Une loi protège les 11, 8 millions de personnes appartenant à des peuples indigènes et on ne devait plus  voir des gens comme Mme Verde mendier dans les grandes villes ou ailleurs. La loi sur les droits des peuples indigènes (IPRA), de fait la seule de ce genre en Asie du sud-est, est considérée comme extrêmement progressiste. Mais, à l’heure de son dixième anniversaire, le gouvernement comme les associations reconnaissent que ceux que le texte est supposé protéger sont de plus en plus marginalisés et privés de droits dans leur propre pays.

Pierre angulaire d’une politique volontariste d’appui aux minorités, la loi a certes permis à des milliers de personnes d’obtenir des titres de propriété sur  leur domaine ancestral. Néanmoins, la plupart d’entre elles demeurent  isolées des services de base et coupées du reste de la société. Comme le dit Nestor Castro, Professeur d’Anthropologie à l’Université des Philippines, « Les membres de ces minorités ne peuvent toujours pas se reconnaitre dans ce qu’on appelle la société ou la culture majoritaire ».

Si on regarde certains chiffres, on peut croire que des changements significatifs ont eu lieu. La commission nationale sur les peuples indigènes (CNPI), l’organe gouvernemental chargé de veiller à l’application de l’IPRA, déclare avoir délivré 57 certificats de titre de domaine ancestral (CTDA), couvrant 19% des 6 millions d’hectares de domaine ancestraux. Cela représente environ 1,6 million d’hectares et 300 000 familles, selon la CNPI. Sont actuellement en cours d’examen 280 demandes supplémentaires de CTDA. La commission déclare avoir en outre délivré 172 certificats de titre de terre ancestrale (CTTA), couvrant au total 4 838 hectares pour l’essentiel dans les villes de Baguio [à Luçon] et de General Santos [sur l’ile de Mindanao].

Selon Jocelyn Villanueva, la directrice de l’ONG Legal Rights And Natural Ressource Center – Kasama sa kalikasan (LRC-KSK), il faut pour mesurer la réussite de l’IPRA, aller au-delà des chiffres et  examiner attentivement la situation de ces populations dans leur domaine ancestral. Or, Myrna Verde pourrait en témoigner, celle-ci est loin d’être parfaite.

Bien entendu, nul ne s’attendait à ce que l’IPRA règle comme par magie tous les problèmes qui frappent les peuples autochtones depuis des générations. Mais beaucoup espéraient qu’elle leur permette au moins d’accéder au respect et à l’intention qu’ils méritent c’est loin d’être le cas.

 

Résultats de débats entre législateurs, associations et représentants des villageois eux-mêmes, l’IPRA entendait protéger les droits des intéressés à conserver l’accès au développement, à la justice sociale et aux droits de l’homme. Or, elle ne semble pas assez forte pour contraindre le gouvernement à prendre en compte les besoins sociaux de base de cette population, dont beaucoup des membres vivent – et meurent – sans l’aide qui leur permettrait de venir à bout des maladies, de la faim, de l’illettrisme ou des problèmes de logement. Mangyan Tony Calbayog, 44 ans, par exemple, évoque la mort de sa femme Julie, en Novembre 2006,  au plus fort du typhon Reming, quand les pluies violentes ont emporté leur maison de la commune Mangangan Uno, à Baco, dans l’est de l’ile de Mindoro.

«  Je n’ai pas pu l’amener à l’hôpital le plus proche ! »-explique-t-il. Cet hôpital était à deux heures de marche de leur maison, dans une zone sans route ni électricité. Julie est morte le lendemain, le laissant avec 6 enfants à nourrir.

Calbayog s’est récemment rendu à Manille pour participer à la Conférence Œcuménique Nationale des peuples ruraux, un évènement organisé par l’Eglise catholique et plusieurs associations communautaires pour discuter du droit à la terre des paysans pauvres, parmi lesquels on retrouve de nombreux membres des communautés autochtones.

Calbayog confie que  le manque de services publics de base n’est que trop familier pour  les quelque 390 000 Mangyans [une des 110 ethnies] du Mindoro occidental et oriental. Les professionnels de la santé ne se rendent que rarement dans leurs villages, distants de nombreuses heures de marche. Les Mangyans font donc appel à l’arbularyo (guérisseur), pour se soigner, explique Calbayog. Hommes politiques ou  représentants du gouvernement ne viennent jusqu’aux villages que lorsqu’ils sont en campagne électorale ou  qu’ils lorgnent des terres dont ils veulent exploiter le bois et ou les ressources naturelles.

Nelson Mallari, 33 ans, Secrétaire Général de la Central Luçon Aeta Association, qui habite le village aeta de Florida, dans la province de Pampanga, confie que le manque d’instituteurs contraint les enfants à n’aller à l’école que trois fois par semaine. Le village se trouve à environ à 15 kilomètres du mont Pinatubo, et il faut deux heures de marche pour y accéder.

Le plus gros souci pour les cueilleurs et les commerçants aetas, c’est que le prix qu’ils reçoivent pour leurs produits – bananes, taros et  autres – est plus faible que celui  proposé aux commerçants non aetas, ce qui explique en partie pourquoi des gens comme Myrna Verde recourent aujourd’hui à la mendicité.

«  Les intermédiaires nous exploitent parce qu’ils pensent que nous sommes illettrés et  idiots », soupire Mallari.

Himpad Mangumalas, porte-parole de la Kalipunan ng mga katatubong mamamayan ng pilipinas (KAMP, Fédération Des Peuples Indigènes Des Philippines) et d’ethnie Higaonon, estime que ses compatriotes sont comme des squatters dans leur propre pays. Il a passé la plus grande partie de sa vie loin de sa maison d’Agusan Del Norte, dans le sud du pays, à cause d’opérations militaires et des conflits avec de gros exploitants forestiers.

« Nous ne sommes pas en sécurité sur notre terre ancestrale et nous n’avons pas les mêmes chances que les autres ». Commente –t-il.

L’inégalité dans l’accès aux services, ajoutée à une longue histoire de discrimination et de préjugés a enraciné la pauvreté dans les communautés autochtones.

Selon le « Philippine Human Development Report 2005 », huit des dix provinces les plus pauvres – Apayao, Ifugao et Batanes dans le nord, Basilan, Maguidanao, Sulu, Tawi-Tawi et Saranggani dans  le sud – sont habités en majorité par des peuples ou des communautés descendant des premiers habitants de l’archipel. On y constate une prévalence élevée de la malnutrition chez les femmes et les enfants, de l’illettrisme, des problèmes de logement et  un manque de source de revenus.

Faible consolation pour les gens comme Mallari et Calbayog, la situation des Philippines n’est que le reflet d’une réalité qui touche 250 millions de personnes issues des peuples autochtones à travers le monde : la corrélation entre l’ethnie et la pauvreté.

Les Nations Unies ont reconnu qu’on avait peu progressé dans la lutte contre la pauvreté de ces peuples pendant la première décennie qui leur était consacrée, de 1994 à 2004.

Une deuxième, de 2005 à 2015, doit s’attacher davantage à améliorer leur situation. Les Philippines se sont associées à ces initiatives internationales. La Présidente Gloria Arroyo a  souligné que ces communautés faisaient « partie de la  société nationale et ne devraient pas fonctionner isolées du reste des citoyens philippins ». Pourtant, les descendants des premiers habitants semblent toujours confinés aux marges. Nestor Castro est même convaincu qu’ils sont  pratiquement des étrangers sur leur terre natale. Pour eux, être philippin n’est qu’accessoire, estime le chercheur. Il constate une fracture au sein de la  société. Les 2 groupes vivent côte à côte mais sépares. Les membres des communautés  ethniques peuvent rarement comprendre les politiques du gouvernement de Manille destinés à améliorer leur situation, dit-il. ».

Telle est  la triste réalité du noir ou de ses descendants à travers le monde, monde dominé par la race blanche et couleurs assimilées. Ceci est en grande partie dû à la classification des races selon la civilisation occidentale. Une classification erronée et pleine de préjugés.

La situation des Négritos, descendants et parents des pygmées du Gabon, n’est pas différente des populations africaines, elles aussi marginalisées et soumises sur leur propre terre ou continent. L’expérience des Négritos, sortie des laboratoires occidentaux fut réaménagée et en cours d’application en Afrique, suite à la publication du Rapport Hubert Védrine (ex-ministre des finances de la France) en Novembre 2013.

L’Afrique est sur le point d’être recolonisée et repeuplée par des chômeurs occidentaux, abusivement présentés comme des expatriés ou investisseurs ou coopérants. Ces derniers prendront leur quartier dans les zones riches en ressources naturelles, repoussant ou massacrant les autochtones. Les autochtones deviendront sous peu des étrangers ou des squatters sur leur terre ancestrale, tout comme les Négritos.

Cette politique d’occupation et de repeuplement se passe actuellement sous nos yeux avec les différentes interventions militaires de l’armée française en Afrique (Libye, Mali, Côte D’Ivoire, Centrafrique et bientôt le Cameroun) et l’installation des bases militaires sous les fallacieux prétextes de la lutte contre le terrorisme islamiste ou la restauration de la démocratie.

En réalité, ces bases serviront de moyens de répressions, intimidations et pressions sur les états africains et leurs populations et aussi pour la protection des diplomates, des installations militaires, diplomatiques et autres structures financières sans oublier les expatriés dans les zones à palabres.

Dans le cas de la Côte D’Ivoire, l’ouest montagneux est repeuplé par des colonies de burkinabés. Ces derniers furent les nouveaux bénéficiaires des titres de propriété et du droit à la citoyenneté depuis Août 2013, grâce aux soins du régime françafricain de M. Ouattara.

La stratégie françafricaine est d’attribuer les terres aux nouveaux colons qui les (ré) vendront plus tard aux multinationales occidentales. Ces colons burkinabés devenus entre-temps des citoyens ivoiriens, serviront de main-d’œuvre dans les nouvelles plantations des multinationales. Les plantations devenues propriétés privées des multinationales, les occidentaux s’aventureront dans les zones forestières exploitant abusivement les ressources naturelles ou pour la  production à grande échelle de l’agriculture, principalement le cacao et le café. Se faisant, les plantations des multinationales deviendront des compétiteurs directs de petits planteurs, planteurs dont la production agricole fait la richesse de l’état ivoirien.

En clair, les multinationales saboteront de l’intérieur l’économie ivoirienne, à travers une forte surproduction des produits agricoles faisant la fierté de ce pays.

Par le passé,  feu Houphouët-Boigny avait fait de la rétention sur la vente du cacao sur les marchés internationaux, provoquant une crise ou pénurie de cacao dans les années 80. Afin d’éviter de devenir des victimes de chantage ou se voir imposer un marchandage quelconque, les occidentaux ont décidé d’investir dans la production agricole à grande échelle, réduisant  le pouvoir ou les recettes des états africains. En d’autres termes, la Côte D’Ivoire perdra son rang de leader de cacao et de café.

En clair, les multinationales imposeront sous peu les prix des produits agricoles sur le marché, appauvrissant ces états africains producteurs de cacao et de café, commodités très prisées en occident. En d’autres termes, le profit des occidentaux sera évalué  à plus de trois fois le profit habituel, car les produits agricoles proviendront des grandes plantations occidentales et non des petits planteurs. C’est aussi cela l’un des aspects de la présence trop visible et nocive des occidentaux en Afrique. Cette politique est très loin d’être salutaire ou philanthropique  à l’endroit des africains. Ceci répond plutôt aux desseins obscurs, mesquins, sataniques et autres des occidentaux.

Comment pouvons-nous être fiers d’une telle civilisation ou fiers d’appartenir à pareille civilisation ? 53 ans après les indépendances africaines, le continent noir, le plus riche des continents, demeure le plus pauvre par état et par habitant.

N’est-ce pas cette assertion contradictoire en elle-même ? Soit l’on est riche ou soit l’on est pauvre ! Cependant l’Afrique est riche sur papier et pauvre en réalité. Cette situation des plus délétères doit cesser d’exister afin que les africains puissent bénéficier les premiers, des fruits de leurs terres et ressources naturelles comme le font les autres populations ailleurs dans le monde.

Dans un souci de maintenir les africains dans la psychose et la servitude, la Bible et le fouet (armée française) sont constamment utilisés.

Quand l’Elite africaine se réveille, elle est aussitôt embrigadée ou distraite par des sectes et autres groupes ésotériques tels la Rose Croix, la Franc-maçonnerie, Kabala, les Illuminati etc.

La plupart des Chefs d’état africains sont des membres de ces sectes, les maintenant à la fois prisonniers et victimes de l’hypocrisie et la suprématie occidentale. Ceci explique en grande partie les véritables raisons de l’incapacité de nos leaders politiques de se défaire du Maitre blanc. C’est justement leur ignorance et naïveté qui les maintiennent dans la servitude perpétuelle.

Si les africains savaient un tant soit peu leur propre histoire, ils ne se seraient pas laissés distraire et humilier par des usurpateurs prétendant être « la lumière de notre monde ». Toutes leurs soit disant connaissances ésotériques, proviennent de l’Egypte ancienne ou du temps des pharaons noirs, une pratique autrefois interdite par les pharaons et grands prêtres de l’époque.

Le Dieu Mammon, car c’est de lui qu’il s’agit, fut celui qui développa cette connaissance ésotérique suite à la rébellion des anges avec comme leader Lucifer. Ils furent tous chassés des cieux et s’installèrent au deuxième ciel, retenant malicieusement toutes les bénédictions divines adressées aux enfants d’Amon ou de Dieu, comme ce fut le cas de Daniel dans la bible (Livre de Daniel Chap.10 Versets 1 à 21) :

« La troisième année de Cyrus, roi de Perse, une parole fut révélée à Daniel, qu'on nommait Beltschatsar. Cette parole, qui est véritable, annonce une grande calamité. Il fut attentif à cette parole, et il eut l'intelligence de la vision.

10.2

En ce temps-là, moi, Daniel, je fus trois semaines dans le deuil.

10.3

Je ne mangeai aucun mets délicat, il n'entra ni viande ni vin dans ma bouche, et je ne m'oignis point jusqu'à ce que les trois semaines fussent accomplies.

10.4

Le vingt-quatrième jour du premier mois, j'étais au bord du grand fleuve qui est Hiddékel.

10.5

Je levai les yeux, je regardai, et voici, il y avait un homme vêtu de lin, et ayant sur les reins une ceinture d'or d'Uphaz.

10.6

Son corps était comme de chrysolithe, son visage brillait comme l'éclair, ses yeux étaient comme des flammes de feu, ses bras et ses pieds ressemblaient à de l'airain poli, et le son de sa voix était comme le bruit d'une multitude.

10.7

Moi, Daniel, je vis seul la vision, et les hommes qui étaient avec moi ne la virent point, mais ils furent saisis d'une grande frayeur, et ils prirent la fuite pour se cacher.

10.8

Je restai seul, et je vis cette grande vision; les forces me manquèrent, mon visage changea de couleur et fut décomposé, et je perdis toute vigueur.

10.9

J'entendis le son de ses paroles; et comme j'entendais le son de ses paroles, je tombai frappé d'étourdissement, la face contre terre.

10.10

Et voici, une main me toucha, et secoua mes genoux et mes mains.

10.11

Puis il me dit: Daniel, homme bien-aimé, sois attentif aux paroles que je vais te dire, et tiens-toi debout à la place où tu es; car je suis maintenant envoyé vers toi. Lorsqu'il m'eut ainsi parlé, je me tins debout en tremblant.

10.12

Il me dit: Daniel, ne crains rien; car dès le premier jour où tu as eu à cœur de comprendre, et de t'humilier devant ton Dieu, tes paroles ont été entendues, et c'est à cause de tes paroles que je viens.

10.13

Le chef du royaume de Perse m'a résisté vingt et un jours; mais voici, Michaël, l'un des principaux chefs, est venu à mon secours, et je suis demeuré là auprès des rois de Perse.

10.14

Je viens maintenant pour te faire connaître ce qui doit arriver à ton peuple dans la suite des temps; car la vision concerne encore ces temps-là.

10.15

Tandis qu'il m'adressait ces paroles, je dirigeai mes regards vers la terre, et je gardai le silence.

10.16

Et voici, quelqu'un qui avait l'apparence des fils de l'homme toucha mes lèvres. J'ouvris la bouche, je parlai, et je dis à celui qui se tenait devant moi: Mon seigneur, la vision m'a rempli d'effroi, et j'ai perdu toute vigueur.

10.17

Comment le serviteur de mon seigneur pourrait-il parler à mon seigneur? Maintenant les forces me manquent, et je n'ai plus de souffle.

10.18

Alors celui qui avait l'apparence d'un homme me toucha de nouveau, et me fortifia.

10.19

Puis il me dit: Ne crains rien, homme bien-aimé, que la paix soit avec toi! Courage, courage! Et comme il me parlait, je repris des forces, et je dis: Que mon seigneur parle, car tu m'as fortifié.

10.20

Il me dit: Sais-tu pourquoi je suis venu vers toi? Maintenant je m'en retourne pour combattre le chef de la Perse; et quand je partirai, voici, le chef de Javan viendra.

10.21

Mais je veux te faire connaître ce qui est écrit dans le livre de la vérité. Personne ne m'aide contre ceux-là, excepté Michaël, votre chef ».

 

La triste réalité est celle du statut légendaire du noir ou de l’africain, statut qui fait de lui un ignorant, un être naïf, un éternel adolescent et un analphabète intellectuel.

Le noir déteste lire, situation qui fait de lui une éternelle victime et le maintenant dans l’ignorance, la naïveté abjecte, la soumission et la servitude.

Les occidentaux ont tendance à dire que pour séduire ou soumettre un noir, il faut lui tendre un livre. Il ne le lira jamais !

Cette assertion est tristement vraie, car nos lecteurs se plaignent souvent de la longueur des textes, articles et dossiers, pour disent-ils ne pas avoir suffisamment de temps de les lire compte tenu de leurs différentes activités.

La question est la suivante : Sélectionnent-ils les pages des livres à eux imposés à l’école ou à l’université ? Se plaignent-ils du volume des livres ou subissent-ils la dictature des professeurs et autres enseignants ?

C’est la paresse ou le manque de volonté de lire et de s’instruire qui serait la véritable cause de l’ignorance et la naïveté des africains, ignorance et naïveté abusivement exploitées par les occidentaux afin de leur imposer toutes les idioties et contre-vérités que notre univers n’aient jamais connu. Seuls les africains sont susceptibles d’avaler de telles couleuvres. Ailleurs, ces couleuvres passent  difficilement, faisant de ces races, des peuples totalement affranchis des mensonges grossiers des occidentaux. C’est le cas des asiatiques (Chine et Inde).

En d’’autres termes, les africains se font enseigner les pratiques anciennes de l’Egypte par des usurpateurs et étrangers prétendant être les maitres de ces connaissances ésotériques. Les africains comme des adolescents font la queue afin de se faire accepter au sein de ces sectes et autres groupes ésotériques pour la recherche du pouvoir mystique, la fortune et le prestige. Pour ces considérations, ils deviennent des esclaves et victimes des contre-vérités du Maitre blanc. C’est cela la triste réalité.

Nos leaders politiques ou les tenants du pouvoir des états africains sont pour la plupart des membres de ces sectes africaines aux couleurs et parfums occidentaux.

Comment peut-on être si idiot à telle enseigne de se faire instruire les enseignements de ses propres ancêtres ?

Et pourtant, ces Chefs d’état africains sont tous des hauts diplômés des grandes écoles et universités de notre univers. Cependant, ils sont incapables d’évoluer en dehors du système éducatif occidental et anticiper sur certains évènements pouvant leur apporter une éducation alternative, éducation alternative pouvant leur apporter les armes nécessaires de faire de l’opposition ou d’apporter la contradiction aux soit disant maitres de notre univers. Comme des éternels adolescents, ils se laissent berner par le colon, colon considéré comme un père, un bienfaiteur, un ange, un civilisé, un érudit, un maitre. En réalité, ce colon est  la crème de la médiocrité personnifiée. Pauvre Afrique et l’ignorance !

Pour votre propre éducation ésotérique, nous vous proposons un tant soit peu la véritable nature des forces en présence dans notre univers.

La description des forces maléfiques ou sataniques en présence est donnée par l’Apôtre Paul dans Ephésiens Chapitre 6, Versets 9-24. 

[Fin de la Troisième partie].

 

ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE !

 

Fait à Londres le 17 Juin 2014.

 

Nick De Bessou

Juriste & Anthropologue Politique.

Président du FDRC

Président du FDRC

[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises]

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Mysticisme: Le rapport des forces en presence (Croix du Roi David)!

Mysticisme: Le rapport des forces en presence (Croix du Roi David)!

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