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Blog politico-juridique

Royaume Uni: Finalement le COJEP de Charles Ble Goude devient un instrument du regime Ouattara!

Publié le 1 Juin 2014 par Nick de Bessou

Royaume Uni : Finalement le COJEP de Charles Blé Goudé devient un instrument d’Hamed Bakayoko.

Après le FPU de Zady Djédjé, bonne arrivée COJEP-UK version Ouattara !

[Dossier special du FDRC]

C’est désormais chose faite après plusieurs tractations, coups bas, dénonciations, dénigrements, infiltration, espionnage, double jeu de nombreux acteurs politiques de la résistance au Royaume Uni, acteurs dont les noms furent finalement communiqués par l’ex camarade Patrice Kouté, cet après-midi du 31 Mai 2014, à Peckham, au Sud de Londres.

En effet, depuis un certain temps, il fut annoncé l’investiture du nouveau nommé, le camarade Ferdinand Danon Gohou, deux fois démissionnaire au temps de la Vice-Présidence du camarade Nick De Bessou, pour les malversations et manque de culture politique de l’ex Président Patrice Kouté. La dernière démission en date du 24 Janvier 2013, dont nous avons encore copie, fut pour l’implication et la mauvaise gestion de l’affaire Blé Goudé, depuis son arrestation ou enlèvement à Tema (Accra, Ghana) et son extradition manu militari vers la capitale ivoirienne. Le Président Nick De Bessou a plutôt conseillé au jeune camarade Danon Gohou de présenter sa démission au camarade Kouté, car le Vice-Président étant démissionnaire.

Le camarade Danon Gohou fut le choix d’un autre vendu et collaborateur du pouvoir Ouattara, en la personne de Jean Claude Grébé, pour mieux contrôler l’individu et au-delà la structure qu’il est censé représenter après le 31 Mai 2014.

En réalité, le COJEP-UK fut la véritable plateforme de la résistance version Charles Blé Goudé, l’aile dure du COJEP National. Avoir cette représentation sous l’éteignoir, c’est d’une part endormir les militants et sympathisants du mouvement et tuer la résistance de l’intérieur. C’est à notre avis l’une des raisons du voyage solitaire de l’ex camarade Patrice Kouté à Abidjan, courant Février 2014. L’autre raison explique clairement le transfèrement de Charles Blé Goudé à la Haye afin de l’éloigner de son mouvement et le laisser à la discrétion des nouveaux rattrapés du pouvoir résidant à Londres.

Dans la forme et dans le fond, l’investiture du Président du COJEP-UK fut une travestie, une comédie politique, de la poudre aux yeux, de la distraction, un non-évènement cependant truffé d’irrégularités graves, de violations flagrantes des textes constitutifs du COJEP. Ce fut tout sauf une investiture en bonne et due forme.

Cependant, ce fut l’intention manifeste des leaders politiques présents de procéder ainsi, faisant d’une passation de charges, la passation de charges la plus médiocre en termes de qualité, d’application stricte des textes régissant le COJEP, lesquels textes furent écrits par Nick De Bessou puis proposés au Bureau National du COJEP pour adoption. Ce fut en réalité un passage en force des rattrapés du régime Ouattara au sein de la résistance au Royaume Uni.

A titre d’exemple, lorsqu’une passation de charges se fait, les invités sont conviés à savoir le bilan des activités du prédécesseur. Si ce dernier est appelé à d’autres fonctions, le bilan à lui-seul suffit.

Si le prédécesseur souffre d’une sanction disciplinaire, la table de séances doit situer le débat et les enjeux sinon expliquer leur démarche aboutissant dans un premier temps à la sanction, sa nature (suspension ou radiation) et enfin faire la passation des charges.

En ce qui concerne la suspension, elle peut être d’une durée limitée dans le temps et même renouvelable. Cependant, la suspension toujours intervient avant le processus disciplinaire, évitant par exemple que l’individu sanctionné n’aie accès à certains documents classifiés ou sensibles pouvant soit brouiller les pistes ou exercer des pressions de tous genres sur certaines personnes impliquées dans le manquement des textes.

Toutes fois, il est du devoir des responsables de situer les enjeux avant toute investiture.

Or, dans le cas précis de l’investiture du camarade Ferdinand Danon Gohou, la table de séances donnait l’impression que les invités savaient tous les raisons ou motivations de l’investiture. Ceci ne doit jamais se faire ainsi.

Une investiture est une cérémonie officielle et toute cérémonie officielle est souvent assistée par tous y compris des personnes n’ayant aucun lien ou fonction au sein de la structure. Pour cela, il est intéressant de faire le rappel des choses afin de mettre tout le monde sur la même longueur de compréhension. Il ne faut jamais assumer que les individus présents savent tous des activités de votre structure. Ceci fait partie de la formation politique. C’est une faute grave lorsque l’on se dit mandaté pour une investiture.

Aussi, le camarade Zap Krasso aurait dû associer à l’organisation pratique de l’investiture, les membres du bureau sortant et/ou démissionnaires car en réalité, le bilan est collectif et non individuel. Un second manquement grave aux textes.

Le choix des invités à la table de séances, à la cérémonie elle-même et l’absence non justifiée du Porte-Parole du Ministre Charles Blé Goudé, en la personne de Youssouf Diaby. Fut-il oui ou non consulté ? A-t-il donné son approbation ? A –t-il chargé le camarade Zap Krasso de présenter ses excuses pour son absence ? Ceci fut passé sous silence ! Un grave manquement au protocole.

La liste n’est pas exhaustive !

C’est donc en notre qualité de concepteur, de légaliste et de juge que nous intervenions afin d’interpeller la table de séances dirigée par le camarade Zap Krasso, de la Représentation de France, délégué selon lui, par le Président du Conseil Europe du COJEP, Jean Claude Gnahoua, présumé ou supposé être la victime d’un accident de la circulation le jour même de l’investiture. Un tel évènement se prépare d’avance et les invités à un tel évènement sont dans la ville, la veille et non le jour même de l’évènement.

Quelques fois pour soigner un patient, le chirurgien lui fait une incision, incision qui est en elle-même un mal salutaire. Pour arrêter la guerre, il faut faire la guerre ! Ce sont des maux salutaires. Tout bon politicien ou politologue doit savoir ces règles cardinales. Une crise peut être née afin de résoudre une autre. Ne jamais voir des crises pour des perturbations ou distractions ou sabotage. Si un politicien ou soit disant politicien soutient le contraire, un tel individu a besoin de se ressourcer dans les plus brefs délais, car il finira par exposer ses tares en public, comme ce fut le cas du camarade Madé Gueu à l’endroit du Président Nick De Bessou, tentant de l’accuser de sabotage. Tristement, nous nous proposons de lui rappeler ces règles cardinales en politique.

Nous soutenons ici même que le camarade Gnahoua a préféré éviter l’humiliation que les militants et sympathisants lui réservaient. Et pour cause !

Fin Janvier 2014, le camarade Youssouf Diaby, Porte-Parole du Ministre Charles Blé Goudé prit l’initiative de réunir tous les frustrés et tous ceux qui ont quitté le COJEP à cause du comportement du camarade Patrice Kouté dans la crise concernant le leader du mouvement sans oublier tous ceux qui siégeaient au sein des autres représentations aujourd’hui défuntes. La date du 26 Avril 2014 fut choisie afin de donner suffisamment de temps aux camarades d’Abidjan tels Patrice Saraka, Roselin Bly, Blé Sépé, Joël Poté et même Zady Djédjé se réclamant aussi de Charles Blé Goudé.

L’idée nous fut soumise pour appréciation car dans les faits, la grande assemblée prévue pour le 26 Avril 2014 avait deux volets à débattre en deux jours : Jour 1 : Les vérités crues et sans faux fuyants au camarade Patrice Kouté et sa gestion du COJEP-Europe, Jour 2 : Transformer le mouvement en parti politique puis officiellement organiser un voyage sur les bords de la Lagune Ebrié afin d’engager des négociations de hauts niveaux avec le pouvoir d’Abidjan, à l’image du FPI sous l’ex Président Intérimaire du parti, M. Miaka Ouretto. Les camarades d’Abidjan étaient tous partants.

Cependant, nous avions émis des réserves quant à la participation du camarade Patrice Kouté, qui verrait cette grande rencontre comme un tribunal et un procès en bonne et due forme. Nous soutenions que le camarade Patrice Kouté ne viendrait jamais à cette rencontre, lui qui est si friand des éloges et autres actes révélant sa nature de combattant hors-pair. Or, la grande assemblée serait vue comme un procès à son égard, donc à éviter à tout prix. Nous le disions au camarade Diaby, encore sceptique. Il contacta le camarade Kouté qui lui donna son accord de principe pour sa participation selon lui, pour le bonheur du COJEP.

Grande fut notre surprise, lorsque le camarade Kouté fut annoncé tout seul à Abidjan, afin de selon lui , « Libérer le camarade Charles Blé Goudé » sans avoir au préalable aviser le camarade Diaby, initiateur de l’idée, les camarades du Comité Central et même sa propre base de Londres. Selon les explications fournies cet après-midi devant un parterre d’ivoiriens venus nombreux le voir après une longue absence sur la scène et l’entendre donner sa version des faits dans l’affaire le concernant, le camarade Kouté soutint qu’il avait informé les camarades Jean Claude Grébé, Madé Gueu et Apollos Dan Té avant son départ pour Abidjan.

Chose curieuse, ces personnes citées-ci haut ne sont ni de près ni de loin des militants ou sympathisants du COJEP. D’ailleurs, ils l’ont toujours minimisé, Charles Blé Goudé, pour dit-on être des doyens ou des ainés de la FESCI. Recevoir des ordres d’un cadet de la FESCI, c’est en sorte une véritable gifle ou insulte à leur endroit. Par conséquent, l’on peut soutenir sans ambages qu’ils combattaient le leader du COJEP ici et même par personnes interposées au sein de la Galaxie Patriotique, faisant des clans au sein de cette résistance. Ce sont donc ces personnages que le camarade Patrice Kouté, selon ses propres dires, consulta avant son départ ou aventure solitaire pour Abidjan, omettant manifestement d’inclure les camarades du COJEP. Toujours, selon lui, son attitude fut d’épargner des représailles aux camarades encore au charbon en Côte D’Ivoire. Est-ce le cas du camarade Diaby, résidant en France, donc loin des représailles des FRCI ? Non ! Alors qu’on cesse de nous distraire !

Le camarade Patrice Kouté, usurpa l’idée des camarades du COJEP afin de se positionner pour des gains personnels. Cela répondait uniquement à son ambition de décapiter le COJEP, après avoir rendu la tête, comme JUDAH D’ISCARIOTE le fit à JESUS, et ensuite pervertir à souhait le mouvement dépendant de la résistance des membres de la Représentation du Royaume Uni.

En d’autres termes, il fallait écarter le Ministre Charles Blé Goudé afin d’avoir libre champ de livrer le mouvement au régime Ouattara. Sa sale besogne exigeait pour la circonstance, la participation de certains acteurs politiques du Royaume Uni afin de convaincre les ivoiriens à accepter comme ce fut cet après-midi du 31 Mai 2014, l’investiture d’une marionnette, malléable et influençable à souhait.

Pour la petite histoire, ce camarade fut associé à la Table Ronde sur le Ministre Charles Blé Goudé du 17 Mai 2014, organisée par le FDRC, dès le 26 Avril 2014, jour de l’Assemblée Générale de la Coordination des Ivoiriens du Royaume Uni, puis il a assisté sans aucune contrainte à des séances de travail au domicile du Président Nick De Bessou en compagnie d’autres ainés de la communauté.

Le Vendredi 16 Mai 2014, le camarade Gohou annonça son absence à la Table Ronde pour dit-il rencontrer des barons du RDR à Paris, en compagnie de son Président, le camarade Gnahoua Jean Claude.

Cependant, il insista à se faire représenter par une délégation de son bureau intérimaire et demanda si ses membres pouvaient prendre la parole pendant la Table Ronde. Ce que le Président du FDRC accepta comme la norme.

A notre grande surprise, à une heure de l’évènement, il laissa un post sur FACEBOOK annonçant ne pas être ni de près ni de loin associé à la Table Ronde. Trois jours après l’évènement, le même camarade demanda une audience au Président Nick De Bessou, afin de s’expliquer. Il demanda aussi aux camarades Richard Dakoury et Ulrich Eké d’intervenir auprès du Président Nick De Bessou afin que l’investiture ne soit point boycottée ou perturbée ou annulée. Ce fut donc le rôle assigné à nos camarades venus spécialement pour l’investiture de façade du Président du COJEP-UK.

En effet, des photos de Charles Blé Goudé, détenu à la DST, à moitié nu et couché à même le sol furent publiées sur FACEBOOK. Les soit disant proches de Charles Blé Goudé sont restés dans un mutisme inquiétant ou encore donnaient dans la polémique sur l’origine ou l’authenticité des photos, se réservant de critiquer ou dénoncer ses conditions inhumaines de détention. Ce fut le cas du camarade Zap Krasso et bien d’autres cyber activistes.

La réaction des cyber activistes écœurés et indignés, fut prompte et tapageuse, poussant le Ministre de l’Intérieur du régime Ouattara, M. Hamed Bakayoko, autrefois, prétendant détenir Charles Blé Goudé dans une résidence « protégée », à publier sur son propre site officiel et non celui du ministère de l’intérieur, de nouvelles photos d’un Charles Blé Goudé, bien coiffé, décemment vêtu et appréciant un minimum de confort à savoir un poste téléviseur tout neuf, dont le carton était encore visible et une tasse de jus d’oranges.

Sur certaines photos, l’on pouvait voir Charles Blé Goudé, sourire ou lire un bouquin, choses qu’il n’eut point l’occasion de faire en 14 mois de détention.

Il était alors impératif de convoquer une Table Ronde sur le Ministre Charles Blé Goudé, ce jeune homme qui sacrifia ses études et sa vie pour défendre les institutions de la République attaquée de toutes parts par la communauté internationale, avec en tête la France, et aussi son implication personnelle pour les Accords du Café de Versailles, mettant fin aux activités nocives et meurtrières des militants du RDR, encourageant les ivoiriens de la zone dite loyaliste à accepter nos frères égarés au sein de la rébellion, tels l’actuel PAN Soro Guillaume, ses commandants militaires et politiques et sans oublier le soldat Issiaka Ouattara alias Wattao, chez qui d’ailleurs, il passa la nuit en zone rebelle et finalement pour la caravane de la paix. Il s’agissait donc de comprendre pourquoi le régime Ouattara s’acharnait tant sur ce jeune homme.

En réalité, M. Ouattara avait tenté de corrompre le Ministre Charles Blé Goudé depuis son temps dans l’opposition, longtemps avant que l’actuel PAN Soro Guillaume et Doumbia Major n’introduisent les machettes sur les campus universitaires et tentant maladroitement de l’attribuer à Charles Blé Goudé.

Ce fut donc le début de la campagne de diabolisation et dénigrements afin de faire couler l’administration Gbagbo, administration soutenue par les jeunes patriotes du COJEP.

L’article 125 fut aussi une autre invention du RDR. La preuve, le RDR n’a jamais fourni le nombre et l’identité des victimes du soit disant article. Depuis bientôt une semaine, l’article 125 a refait surface en la personne de Dame Mandjara Ouattara, victime d’une immolation en public et ce devant le palais de la Présidence, le jour même de la date anniversaire de l’investiture du Chef d’état ivoirien, M. Ouattara.

Peuvent-ils soutenir que cette dernière est une autre victime de Charles Blé Goudé, même étant à la Haye ? Non !

Cependant, Ils renieront tous en chœur leur propre produit zélé pendant la crise pré et post-électorale, louant ses véhicules au RDR pour les tournées de leur mentor et récemment pour le transport des pro-Gbagbo à torturer, en lui collant des affinités politiques avec le FPI ou encore ses dettes remontant à l’administration Gbagbo. Si le ridicule tuait !

Ils tuent leurs propres militants et tentent de coller ces crimes aux pro-Gbagbo.

Ce fut aussi le cas des soit disant victimes du charnier de Yopougon en Octobre 2000. L’ironie ici est que ces victimes n’auront jamais justice, car le RDR étant au pouvoir, n’en parle même plus. Aucune arrestation ou enquête ne fut annoncée depuis la prise de pouvoir par les armes, installant le sieur Ouattara. Ces victimes ont disparu comme par enchantement. C’est aussi cela la politique Ouattarienne. Ne jamais prendre de responsabilités personnelles ou se remettre en cause mais plutôt pointer du doigt l’ancienne administration.

Les choses sont au point mort du côté de la Haye, en l’absence totale et flagrante de preuves accablantes contre le Président Gbagbo. Et pourtant, Fatou Bensouda, la Procureure de la CPI et ses collègues le retiennent contre sa volonté.

Ceci explique en grande partie le complot contre le Président Gbagbo, victime de la Françafrique. Ses partisans sont encore en prison tandis que les criminels du régime Ouattara, minutieusement identifiés par les ONG des droits de l’homme sont promus à des postes de responsabilités et libres de tous mouvements. Vraiment incompréhensible ! Et pourtant vraie comme bêtise humaine exercée sur des Chefs d’état ne partageant pas l’attitude négrière et hégémonique des occidentaux.

Charles Blé Goudé est donc une personnalité ivoirienne et non le leader du COJEP. Il s’adressait aux ivoiriens uniquement dans l’intérêt de la nation ivoirienne et non pour le compte de son propre mouvement.

Son mouvement servait de parapluie afin de prendre part aux activités politiques du pays.

Serait-il écouté si Charles Blé Goudé n’avait pas le COJEP ? Aurions-nous écouté le premier venu ou le citoyen lambda ? Non, nous écoutons et suivons des leaders.

Les leaders ont eux aussi une plateforme, faisant d’eux des leaders. Pour être un leader, il faut être la tête d’un groupe d’individus. C’était cela le COJEP, un billet afin d’avoir accès aux débats politiques. Ce n’était ni un instrument pour défendre le Président Gbagbo ou nuire aux activités déstabilisatrices des Ouattara. Le Cojep pouvait être l’équivalent d’une autre structure défendant soit les intérêts des handicapés ou des retraités ou des paysans etc. En clair, un mouvement luttant pour le bien-être des ivoiriens.

Si l’opposition de l’époque était douée d’une culture politique, elle n’aurait jamais combattu le Cojep ou du moins considéré le mouvement pour une cible à abattre à tout prix.

C’est donc dans cette logique que s’inscrivait l’enlèvement de Charles Blé Goudé à Tema, Accra, Ghana et son extradition en violation flagrante des textes de la CEDEAO dont il est un ressortissant et le traité de Rome portant sur la création de la Cour Pénale Internationale.

Charles Blé Goudé fut extradé en l’espace de 48 heures pour une procédure normale selon les compétences juridictionnelles d’une durée de 6 mois à 3 ans.

Le régime souhaitait vaille que vaille le détenir afin de le faire chanter.

Charles Blé Goudé subit toutes sortes de chantage, intimidations, humiliations et abus aux mains de ses geôliers. Jamais en l’espace de 14 mois de détention, il n’eut droit à un procès en bonne et due forme malgré, selon les autorités ivoiriennes, de son implication dans la chaine de commandement de l’armée loyaliste et les crimes commis sous le chapitre 125.

Comment peut-on détenir ou posséder des informations capitales sur un prévenu et ne pas le juger 14 mois durant, alors que le système judiciaire ivoirien fonctionne parfaitement, selon les textes de la CPI ?

Si le Ministre Charles Blé Goudé était en détention préventive, les autorités ivoiriennes l’auraient livré dès Février 2012.

Pourquoi l’avoir détenu au-delà des 48 heures de détention préventive et dans un lieu inapproprié pour la détention punitive et en violation des droits élémentaires dus à un prisonnier ?

La détention de Charles Blé Goudé fut plutôt pour du marchandage politique, tentant de le faire virer au RDR et enfoncer l’ennemi, selon Ouattara, en la personne du Président Gbagbo. Tout est bon pourvu que le Président Gbagbo ne revienne plus faire de la politique, laissant libre champ au Chef d’état ivoirien, installé par la France, de faire ses deux mandats et soutenir l’économie fragile de la France.

Le rôle joué selon nous, par le camarade Kouté, fut de livrer son leader aux autorités ivoiriennes en espérant discuter des modalités de coopération politique. Manque de pot, Charles Blé Goudé a refusé de manger de ce pain-là.

La pression étant énorme du côté de la Haye, impatiente d’écrouer « la peste ivoirienne » en la personne du Président Gbagbo, il fallait désormais menacer l’existence même du COJEP en prenant la tête du mouvement. Pour cela, il faut une nouvelle élite plus modérée, souhaitant de tout cœur la réconciliation entre ivoiriens, selon la version Ouattara pour en faire de nouveaux leaders. Ce fut donc le cas du FPU (Front Populaire Uni) avec Zady Djédjé et désormais du COJEP-UK version Danon Gohou.

Danon Gohou est lui-même redevable à Jean Claude Grébé, selon ses propos tenus ce jour-là, et Jean Claude Grébé est un nouveau pion ou une nouvelle recrue du RDR avec des entrées au sein de la rébellion.

Ainsi, la boucle est bouclée et les militants, sympathisants et ivoiriens résidant au Royaume Uni ne verront que du feu. Ils se seraient faits complices de la plus grande supercherie au sein du COJEP.

Comment comprendre que ces mêmes leaders politiques tels Anatole Ibo, Patrice Kouté, Jean Claude Grébé, Apollos Dan Té, Madé Gueu, Zap Krasso et bien entendu notre étranger du moment Richard Dakoury ne furent pas du tout présents à la première table ronde sur Charles Blé Goudé, n’en ont jamais fait la promotion, n’ont jamais félicité ou même encouragé l’initiateur de cet évènement, mais ils se sont massivement présentés à l’investiture du Président du Cojep en ce jour du 31 Mai 2014 ?

Est-ce dire que le Président Nick De Bessou, un ancien haut responsable du COJEP-Europe n’était point la personne appropriée ou la mieux indiquée pour un tel évènement ou s’agissait-il d’un autre Charles Blé Goudé ?

Pour notre part, il existe deux « Charles Blé Goudé », l’un très barbu, nu et couché à même le sol (FDRC) et l’autre Charles Blé Goudé, bien coiffé, décemment habillé, riant pour les caméras et appréciant les feuilletons français (Hamed Bakayoko et leaders politiques du Royaume Uni).

C’est en réalité ce Charles Blé Goudé que ces leaders tentaient de présenter aux ivoiriens cet après-midi. Ce Charles Blé Goudé est en réalité une fabrication ou une émanation photographique de M. Hamed Bakayoko. Ainsi, Hamed Bakayoko obtient le COJEP malgré l’opposition farouche de son leader. Pour le taire et l’effacer de la mémoire collective, les autorités ivoiriennes le transfèrent à la Haye afin qu’il ne puisse point saboter les activités subversives et électoralistes de M. Ouattara en 2015.

Tout ceci est une question de survie politique. Pour la survie politique d’un individu, nos frères sont extradés à la Haye et d’autres croupissent encore en prison, juste bons pour le marchandage politique en cours entre le régime et le FPI.

Le régime libérera le dernier pro-Gbagbo lorsque le Conseil Constitutionnel ivoirien déclarera le Chef d’état actuel, vainqueur des élections de 2015. C’est cela qu’il faut comprendre et rien d’autre.

Tout ceci est pour le compte d’un seul individu et sa survie politique. Ce fut cela nos interpellations à l’endroit du Président Affi.

Tristement, les faits sont en train de nous donner raison. Les caciques et farouches supporters du Président Affi finissent par partager nos vues et souvent sur la toile, n’hésitent même plus à interpeller leur leader politique.

Nous souhaitons apporter des éclaircies à certaines personnes tapies dans l’ombre prétendant être nos détracteurs.

Oui, le Président Nick De Bessou est un FOU de la Politique. Si cela s’apparente à un mal mental, alors il est grand temps d’assainir la politique en Afrique afin qu’il se porte mieux.

Oui, le Président Nick De Bessou est un DROGUÉ de la Politique. Si cela s’apparente à un stupéfiant quelconque, alors n’hésitez surtout pas à le dénoncer aux autorités. Aussi, si son état est de nature à intimider certaines personnes, n’hésitez surtout pas à lui imposer routinièrement des tests de dépistage de stupéfiants.

Nous devons apprendre à nous respecter plus que de donner dans les accusations gratuites ou les dénigrements ou la diabolisation. Etre marié à une Anglo-Jamaïcaine, ne fait pas de vous un drogué ou un malade mental.

Si tel était le cas, comment expliquez-vous les drogués qui ont ou avaient pour conjoints des Allemands ou Français ou Ivoiriens et eux- aussi sous l’emprise de la drogue ?

Ceci est faire montre de préjugés et rien d’autres. Le faisant, l’individu tenant de tels langages démontre ses limites et tares intellectuelles. Ceci ne peut en aucun cas être associé à un débat constructif mais plutôt destructif.

Est-ce dire qu’Hussain Bolt serait un grand drogué pour avoir remporté toutes ses compétitions ?

Si vous l’ignorez, les athlètes subissent des tests de routine afin de dépister le dopage. Jusqu’à nos jours, il ne fut jamais communiqué ici ou ailleurs un quelconque dopage de l’athlète jamaïcain.

C’est dire que tous les jamaïcains ne sont pas des drogués ou encore tous les français mangent uniquement que du fromage ou boivent du vin ou tous les italiens se nourrissent uniquement de Pasta et rien que de Pasta ou que les noirs sont des sous-hommes ou des singes etc. Le faisant, l’on n’est en réalité pas différent du raciste et ses préjugés !

De grâce, chers détracteurs, combattez-nous si vous le souhaitez sur le terrain politique ou juridique afin de nous apporter la contradiction ou l’enseignement.

Vos posts sur Facebook avec des sobriquets et des photos de profil fantoches, nous amusent beaucoup et nous apportent beaucoup de gaieté. C’est le cas de Ninoude Gbagbadêh, compte FACEBOOK créé le 27 Janvier 2013, soit deux jours après la démission solennelle du Président Nick De Bessou de son poste de Vice-Président du COJEP-Europe protestant contre les implications politiques et complices du sieur Patrice Kouté, dans l’enlèvement du leader charismatique du COJEP, le Ministre Charles Blé Goudé. Ce compte tenu par Patrice Kouté et consorts, a repris du service depuis le 31 Mai 2014, suite à la publication, du Mémorandum de la Table Ronde sur le Ministre Charles Blé Goudé, en date du 28 Mai 2014, sévèrement sanctionnant le sieur Patrice Kouté, publication du FDRC actuellement en ligne sur les réseaux sociaux.

Cet individu ne tarissait pas d’éloges et de compliments à l’endroit du Président Nick De Bessou, lors de l’investiture du Président du COJEP-UK, l’après-midi du 31 Mai 2014, et cela en présence des ivoiriens venus l’écouter ou être témoins de sa démise. En aucun cas, cet énergumène prétendant être d’une moralité au-dessus de tous soupçons ou doutes, fut capable de répéter en public ses accusations mensongères en présence du Président Nick De Bessou.

Ce fut aussi le même cas parmi le parterre de leaders politiques du Royaume Uni, racontant sous cap certaines contre-vérités et en public se privant d’apporter les mêmes remarques, critiques ou jugements voire préjugés. Tous pour autant qu’ils furent présents ne pouvaient même pas s’exprimer encore moins donner des semblants de preuves de leurs allégations gratuites.

Comment peut-on qualifier de tels individus sinon que les qualifier de lâches ou manquant gravement de personnalité ou de présence intellectuelle ?

Ainsi va donc la soit disant résistance ivoirienne, infiltrée et instrumentalisée au plus haut niveau, au Royaume Uni, une résistance faite d’ « omelettes » à l’opposé d’un homme de conviction politique et assumant pleinement ses dires et écrits comme le fait Nick De Bessou.

En réalité, la vraie et l’unique résistance est menée par ce monsieur au Royaume Uni, présence médiatique effaçant la présence des soit disant patriotes et résistants historiques de cette ile.

Ceci explique la véritable raison de leur haine pour Nick De Bessou et leur soit disant boycott des activités du FDRC, comme ce fut encore le cas de la Table Ronde sur Charles Blé Goudé en date du 17 Mai 2014.

C’est cela le vrai visage hideux et haineux de la résistance au Royaume Uni. Des lâches, hypocrites et autres poltrons à la tête des structures politiques.

Ceci explique le refus du Président Nick De Bessou à se lever et chanter le Joyeux Anniversaire Traditionnel pour le Président Laurent Gbagbo, fêtant ses 69 ans ce jour-là. L’appel fut lancé par le sieur Patrice Kouté, un individu travaillant pour le compte du régime Ouattara, donc contre les intérêts du Président Laurent Gbagbo. Ceci fut donc un geste hypocrite afin d’emballer les pro-Gbagbo et gagner leur confiance. Ce fut la manipulation pure version Kouté, un individu avec qui nous travaillions pendant plus d’une décennie, pour avoir été témoins oculaires de ses pratiques obscures.

S’attaquer à un drogué ou à un fou, c’est soit même être un drogué ou un fou ou encore le dealer ou le co-pensionnaire de l’hôpital psychiatrique.

Si un tel individu tient de telles informations, c’est bel et bien un complice en crimes ou un partenaire en crimes. Il serait alors intéressant qu’ils s’identifient clairement afin que la communauté nous juge tous. Se voilant la face, c’est faire preuve d’hypocrisie et de manque de courage ou d’honnêteté intellectuelle.

Comment pouvons-nous aisément prendre de tels énergumènes au sérieux ?

Des personnes ayant une double-vie, l’une de drogué ou de dealer ou malade mental en privé et de membre influent de la communauté et bien portant en public. De tels individus souffrent réellement d’un désordre de personnalités, une maladie mentale ou psychique. Ils nécessitent une assistance médicale dans les plus brefs délais.

Certainement nous sommes des fous car refusant de nous conformer à vos combines et raccourcis politiques. Au moins nous sommes des fous heureux, libres de toutes aliénations ou domination !

Certainement, nous sommes des drogués pour ne pas accepter les miettes qu’on nous jette comme des singes en cage. Au moins, nous sommes heureux. Libres de toutes aliénations ou domination.

De tels fous et drogués sont les personnes qui construiront la nouvelle Afrique. Ceci est soit même une grande fierté, car ce fou ou drogué laissera des traces pour sa progéniture et les générations futures, s’inspirant de sa drogue ou de sa maladie mentale afin de s’affranchir.

Que diront-ils de vous autres bien portants physiquement mais silencieusement très malades car corrompus jusqu’à la moelle épinière et incapables de tenir un débat cohérent ou de s’opposer à la misère que l’on s’est soi-même imposée de par notre naïveté, stupidité et ignorance ?

De tels individus traversent la vie sans traces et ne sont que des statistiques dans les livres d’histoire et autres annales. Si cela est une fierté pour de tels individus, nous craignons pour leurs progénitures.

Le drogué et fou que vous aimez tant laminer vous encourage à visiter ses sites web : www.nickdebessou-info.com et www.fdrc-democratie.com

Le premier site est actuellement à plus de 800 visiteurs connectés à travers le monde. Certainement des fous et des drogués à vos yeux ! Si le ridicule tuait !

Quand un individu n’a rien à dire ou apporter la contradiction ou élever le débat, un tel individu devrait avoir l’honnêteté intellectuelle d’apprendre ce qu’il ignore ou apprécier ceux qui leur apportent la connaissance ou le savoir.

Le plus grand handicap de l’africain, c’est l’analphabétisme et l’analphabétisme intellectuel ou la naïveté légendaire de l’africain.

Nous étalons cela dans nos comportements de tous les jours. Tristement nous nous desservons plutôt que de nous affranchir. 53 ans plus tard après les indépendances, nous demeurons la seule race encore sous domination.

Est-ce de la fatalité ou la malédiction selon la bible occidentale ?

Si nous avions un tant soit peu l’opportunité de nous affranchir intellectuellement, nous atteindrons tous les objectifs visés par nos ainés de la trempe des Kwamé Nkrumah et autres. C’est cela la vraie folie, celle de se défaire du maitre et s’affirmer comme un être humain plutôt qu’une commodité.

Selon la Zougloutique, l’on s’attaque uniquement aux fruits mûrs sur un arbre et jamais le contraire.

Vos attaques nous confortent dans nos positions selon lesquelles nous sommes réellement sur la bonne voie.

Pour finir, nous paraphraserons la Sainte Bible: “ Ne réponds pas à l’insensé selon sa stupidité, de peur que tu ne lui ressembles toi-même”. A bon entendeur ! Salut !

Nous le soutenions dans nos publications antérieures que la politique en Afrique est ingrate et meurtrière. Ceci n’est point faire de la politique, mais plutôt du banditisme politique. Sous d’autres cieux ou chez les illluminati, cela s’appelle le contrôle sélectif ou la sorcellerie en Afrique.

La politique et les pratiques ésotériques égyptiennes cohabitent en Afrique et font de nos leaders de véritables victimes et esclaves. Tristement, l’on s’attache encore à ces pratiques anciennes pour manifestement retarder l’essor de notre continent.

Nous sommes nos propres bourreaux ! Nous sommes si inconscients à tel point de laisser grande ouverte la porte de la bergerie. Le loup s’y trouve désormais et n’est pas prêt en ressortir. Au contraire, il s’installe fermement avec la complicité des nôtres par la construction des camps et bases militaires comme en Côte D’Ivoire d’ici Janvier 2015 (avant les échéances électorales de 2015) et AFRICOM à travers l’Afrique australe.

C’est vraiment dommage pour nos populations, nos états et mêmes nos politiques censés nous apporter un meilleur lendemain. Ils ont tous tourné le dos aux populations pour des gains çà et là lorsqu’ils pouvaient être de ceux-là qui font des autres nations, des nations redevables en tout. Ils préfèrent la posture de l’esclave, du dominé et de l’éternel assisté.

Est-ce de leur faute ou celle du système éducatif dans lequel ils évoluent ?

Pour notre part, le système éducatif est occidentalement orienté et moins pertinent pour les africains eux-mêmes. La religion quant à elle, vient les distraire et les endormir. Pareille combinaison ne peut que produire des leaders politiques corrompus, influençables, façonnés, modelés, instrumentalisés et des valets.

Il nous revient en tant qu’africains de nous poser cette question : Avons-nous réellement profité de la civilisation occidentale depuis 1884 à nos jours ? Le débat reste ainsi ouvert !

Fait à Londres le 31 Mai 2014.

Nick De Bessou

Juriste & Anthropologue Politique.

Président du FDRC

[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises]

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Le nouveau rattrape du regime Ouattara, installe a la tete du COJEP-UK: M. Ferdinan Danon Gohou. (en costume et en lunettes en arriere plan)

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Z
etre militant de la cojep n'ai pas donné a tout le monde car nous qui y avons intergre sommes bien conscient et capable de cette lutte qui sa annonce difficile mais pas impossible nous sommes et resterons fidel a notre lutte pour l'avancé de ce moment
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