CPI-HOLLANDE-CÔTE D’IVOIRE : CHARLES BLÉ GOUDÉ / LE PROCÈS DE LA HONTE [3] [2e]!
[EXCLUSIVITÉ DU FDRC !]
FAUT-IL ENCORE RETENIR LA CPI COMME UNE JURIDICTION INDÉPENDANTE ET CRÉDIBLE ?
[DOSSIER SPÉCIAL SUR LA COUR PUNITIVE INTERNATIONALE (CPI)].
(Ames sensibles et paresseux intellectuels, s’abstenir svp).
Pour le camp Ouattara, l’alliance était l’aubaine rêvée de confirmer sa citoyenneté ivoirienne et son droit naturel en qualité de fils de la nation afin de prendre part aux échéances électorales de 2000.
L’attitude du Secrétaire Général du FPI fut très mal reçue et très mal digérée du côté de la Rue L’épic. Dans un souci de salir l’image et la réputation de son ex allié politique, la machine nordiste et françafricaine à broyer les adversaires politiques, s’est remise en fonction afin de taxer le Président Laurent Gbagbo de « boulanger », un terme dérogatoire , signifiant, « Personne de peu de foi ni loi, sans aucune conviction, sans loyauté, un farceur et une personne ne respectant point les engagements ou traités/accords passés entre lui et les autres ». En d’autres termes, un « menteur ou un manipulateur ! ».
· Ouattara créa un personnage fictif de toutes pièces, « le boulanger » afin d’isoler par tous les moyens son redoutable adversaire politique, Laurent Gbagbo, car lui Ouattara n’avait aucune expérience de syndicalisme et de formation politique. Le Président Gbagbo avait une expertise politique très riche et un charisme qui lui valurent respect, admiration et popularité. Ouattara comptait exploiter les bonnes fortunes de son allié politique afin de régler ses déboires avec son rival et ennemi politique, le nouvel homme fort d’Abidjan, le Président Henri Konan Bédié, taxé ou accusé d’avoir publiquement humilié Ouattara, le tout premier homme d’état sans formation politique ou expertise politique à occuper la Primature, le 7 Décembre 1993, lorsqu’il tenta de confisquer le pouvoir exécutif en violation flagrante des règles ou codes de la succession au sommet de l’état comme prévus par l’Article 11 ancien de la Constitution d’Août 1960.
En clair, Ouattara reproche au Président Laurent Gbagbo de l’avoir totalement abandonné à résoudre son problème d’éligibilité ou démontrer sa citoyenneté par les canaux officiels. Ceci fut le second affront ou humiliation subie par le tyran Ouattara, problèmes ou injustices ou discriminations qu’il attribue malicieusement et sans honte bue aux autres, particulièrement pour le cas d’espèce, depuis Octobre 2000 au Président Laurent Gbagbo.
· En ce qui concerne l’héritage des « enfants du père de la Nation », à savoir l’ex-Président de l’Assemblée Nationale, le PAN Aimé Henri Konan Bédié, dauphin constitutionnel du Président Houphouët-Boigny selon l’Article 11 ancien, du Premier Ministre d’origine Voltaïque, Alassane Dramane Ouattara et du Général de Brigade, Chef d’Etat-major (CEMA), Robert Guéi, ce sont ces enfants ou héritiers qui se disputaient la succession du père de la nation. Le Secrétaire Général du FPI, Laurent Gbagbo, fut considéré comme un Outsider, un inconnu, un trouble-fête.
· Dès l’annonce de la victoire du Président Laurent Gbagbo en Octobre 2000, Ouattara lui colla déjà ses propres crimes, le charnier de Yopougon, une des 10 communes de la capitale Abidjanaise et bastion du Président Laurent Gbagbo.
· Le Charnier de Yopougon fut découvert par…Ouattara lui-même, un individu résidant à une vingtaine de kilomètres du lieu des crimes. Ce fut encore le même Ouattara qui invita la presse étrangère à filmer le charnier, bien avant l’arrivée de la Police et de certains médecins légistes. Ouattara n’a jamais contacté la Police ou les agents de Police de ladite localité où le charnier fut découvert. Les riverains n’ont appris l’existence du charnier que le lendemain à la télévision nationale et sur les antennes étrangères.
· Le charnier de Yopougon, découvert par Ouattara, dont toutes les victimes furent rapidement identifiées comme des militants de son parti, bien avant les travaux d’experts légistes et de la Police, n’interpella personne même pas la Presse ivoirienne ou les autorités ivoiriennes, en l’absence d’un Chef d’état investi, car, il existait un vide ou une vacance de pouvoir au sommet de l’exécutif. Comment le savait-il ? Justement parce qu’il fallait embarrasser la présidence du du socialiste Gbagbo, l’Outsider, venu « occuper illégalement leur héritage de famille », d’où son statut de « trouble-fête, d’usurpateur et surtout de génocidaire ».
· Comme il fallait s’y attendre, Ouattara, l’inculte politique, n’avait même pas encore réalisé que seul le Président investi par le Conseil Constitutionnel peut donner des ordres aux forces de l’ordre d’intervenir militairement ou d’ouvrir le feu sur des manifestants ou des ennemis.
· L’intervention des Gendarmes lors des affrontements armés entre les militants et chiens de guerre du RDR, lesquels furent instrumentalisés par leur mythomane de mentor et mégalomane à deux balles, leur intimant l’ordre de prendre le pouvoir par tous les moyens car, comme il le soutenait lui-même « le pouvoir est dans la rue », fut l’entière responsabilité criminelle d’un individu constitutionnellement écarté de la course présidentielle pour « nationalité douteuse », donc un individu n’ayant point participé aux échéances électorales donc point autorisé à réclamer quoi que ce soit concernant la bonne ou mauvaise tenue des élections. C’est l’image d’un lycéen de la classe de Première, tentant de passer le Baccalauréat en l’absence de connaissance académique requise pour les participants au Bac, et qui refuse de reconnaitre les résultats du Ministère de l’éducation concernant les admis de l’année. Ouattara s’opposait à la victoire du Président Gbagbo, alors qu’il n’était même pas un des candidats. Et si un candidat devait s’y opposer, cela aurait été le Général Robert Guéi lui-même, car ayant été retenu par le Conseil Constitutionnel ivoirien, dirigé en son temps par M. Tia Koné. Ce fut un remake que l’on eut l’opportunité d’apprécier en Novembre 2010, lorsque pour la seconde fois, Ouattara s’opposa à la décision du Conseil Constitutionnel.
Cet homme se comporte comme un enfant gâté, pleurant à tue-tête parce qu’il n’aurait pas eu satisfaction quant à son choix de jouets. N’est-ce pas là, la preuve palpable que cet individu est d’une inculture politique déconcertante, car intellectuellement incapable de comprendre les articles de la Constitution et les décisions du Conseil Constitutionnel.
Comment un tel idiot peut-il prétendre diriger un pays, pays dont les règles et codes sont contenus dans la Constitution ?
La preuve est que l’actuelle Constitution ivoirienne n’existe que de nom ou est momentanément utilisée par les barons et tenants du pouvoir lorsque cela leur sied ou les arrange !
La Constitution ivoirienne du 23 Juillet 2000 est constamment violée en 19 points ou articles. Cela était à prévoir, dès l’instant où un charbonnier s’installe au pouvoir !
La Côte D’Ivoire n’échappe pas non plus à cette règle depuis le 11 Avril 2011 !
A qui la faute ? A Ouattara ou aux Ivoiriens tentant d’être politiquement corrects en évitant d’être taxés de xénophobes et laisser la souveraineté de leur pays bafouée et foulée aux pieds ? Un ivoirien peut-il prétendre occuper la magistrature suprême d’un pays tel le Burkina Faso, la Guinée, le Mali, le Niger ou la France ou Les Etats Unis d’Amérique ou le Royaume Uni, si cet ivoirien ne répond pas ou ne satisfait point les critères d’éligibilités ?
Pourquoi Ouattara ne rentre-t-il pas au Burkina Faso afin de prendre les rênes de son pays natal, lui l’enfant providentiel ?
Il le sait très bien qu’il ne passera jamais la seconde nuit en vie. Il aurait été purement et simplement assassiné !
Alors pourquoi donc en Côte D’Ivoire ? Est-ce un dépotoir pour la pire de la racaille humaine ou un protectorat français ?
· D’ailleurs, tout le long de la vie politique de l’Administration Gbagbo, d’Octobre 2000 au 11 Avril 2011, Ouattara n’avait jamais accepté de reconnaitre la victoire du Président Gbagbo et il avait coutume de répéter les propos du concerné quant aux situations tragiques et calamiteuses entourant les élections de 2000, comme pour justifier son hostilité à l’ endroit du Premier Citoyen du pays. Ce même Ouattara, ne manquait aucune occasion de multiplier des propos et actes séditieux, multiplier les coups de force contre le pouvoir du Président Gbagbo (4 tentatives de coups d’état dont le premier fut en 2001).
Ouattara avait toujours nié aux yeux du monde entier son implication politique et financière quant à l’organisation et l’exécution de leur plan commun : Prendre le pouvoir par tous les moyens !
C’est chose faite depuis le 11 Avril 2011, après une rébellion de plus de 10 ans, une guerre civile de 12 jours et un cortège de victimes civiles avoisinant 14 000 décès et victimes de toutes sortes à son effectif ou par son entêtement à prendre vaille que vaille le pouvoir.
Chose curieuse est que ce tyran prétendant avoir remporté les élections à hauteur de 54.09% est l’individu même, faisant mains et pieds afin que le Président Laurent Gbagbo, détenu à la Haye et ses ministres ou collaborateurs, afin qu’ils le reconnaissent comme tel en échange de leur liberté.
Où aviez-vous vu un leader politique au pouvoir après un plébiscite, exiger que les adversaires ou les perdants, lui fassent une allégeance royale afin de continuer leurs activités politiques ?
Si sa victoire est comme il l’a décrite ainsi que ses soutiens occidentaux qui l’ont porte au pouvoir, pourquoi s’intéresser à l’opinion de son adversaire voire ennemi juré ? A quoi cela répond-il et à quelle fin ? Ne serait-il pas certain de « sa victoire spectaculaire » ? Là, se trouve toute la problématique à l’intérieur de l’équation Ouattara !
A-t-il OUI ou NON remporté les élections de Novembre 2010 ? Peut-il le prouver aux yeux du monde entier ?
Pourquoi déverser toute sa frustration, haine viscérale, foudre maladive et génocidaire sur les pro-Gbagbo, qu’il ne manque jamais de criminaliser et dédouaner ses propres criminels tant au sein de soin régime génocidaire et tyrannique qu’au sein de son armée tribale et gestapo, les FRCI ?
Si Ouattara souhaite tant s’entourer de pro-Gbagbo afin de se donner de la contenance, cela ne peut que signifier sa reconnaissance ou la confirmation pour propre sa défaite, son statut d’usurpateur et de fraudeur aux élections sans oublier sa trop grande part de responsabilités dans la crise ivoirienne débutée depuis le 7 Décembre 1993, de par son unique volonté.
N’est-il pas, Ouattara, celui qui introduisit la violence en politique et surtout en Côte D’Ivoire, divisant des communautés et des ethnies entières afin de les encourager à s’entretuer, lorsqu’il encourage tacitement la France et leurs faux prétextes de protéger les mines d’or et de diamants afin de les exploiter abusivement et en toute impunité ?
En d’autres termes, le caucasien se moque très bien de nous, et nous autres, naïfs et ignorants, ne ratons aucune opportunité de danser à ses commandes ou instructions.
Notre univers est tristement fondé sur du faux et en crise depuis des siècles ou encore depuis la plus grande crise de notre humanité, à savoir depuis la rébellion de Lucifer dans le Royaume céleste, tentant d’évincer le Créateur, Amon ou Dieu ou Jéhovah ou Zambé ou Allah ou Lagô ou Gnamien ou Gnonsia et ensuite occuper illégalement le poste qui ne lui est naturellement jamais destiné.
Nous occupons des postes qui ne sont pas les nôtres !
La Bible ou les livres saints font cas de cette thèse zougloutique, thèse selon laquelle nous occupons illégalement des postes qui ne sont pas les nôtres, soit naturellement ou par mérite ou selon l’unique volonté de Dieu lui-même.
Vous observerez les cas d’Ismaël (Ainé) et d’Isaac (Cadet). Aussi le cas Jacob (Cadet) et de Saül (Ainé).
Dans notre univers actuel, nous occupons également des postes qui ne sont pas les nôtres : Lucifer occupe illégalement la place d’Amon ou du moins prétend être Dieu lui-même.
Les Juifs Ashkénazes soutiennent qu’Isaac est l’héritier d’Abraham, même si ce dernier est le cadet de la famille. C’est cela l’explication de la crise et du conflit israélo-palestinien débuté depuis les temps bibliques et encore visible dans le Moyen-Orient ou entre les cousins et frères arabes et juifs dans la bande de Gaza ou entre l’Etat d’Israël et les états arabes, particulièrement la Palestine ou les Autorités militaires ou paramilitaires palestiniennes, à savoir le Hamas et l’OLP.
Sur le plan de la classification des races ou du classement des races, la race noire est réduite en esclavage, niée tout passé glorieux, réduite à la mendicité, servitude, exploitation abusive de toutes sortes et victime du racisme et du fascisme par la race caucasienne. En réalité, la première communauté humaine et industrieuse, la première communauté humaine dirigeante et souveraine, selon la volonté unique d’Amon, est bel et bien noire et africaine.
Le blanchiment de l’Afrique du nord, Egypte, Algérie, Tunisie, Maroc, Mauritanie, Libye… ne fut possible qu’après l’invasion indo-européenne du VIIè siècle, poussant les « Madzaï » ou « Massaï » signifiant « Enfants de Dieu », vers le sud et les régions montagneuses ou forestières, comme c’est le cas des actuels camerounais, possédant encore tout le lexique ancien de la langue égyptienne au sein de la langue Bamiléké.
En Côte D’Ivoire, le Chef d’état Ouattara, un voltaïque d’origine, occupe illégalement l’exécutif ivoirien sans réellement avoir remporté les élections de Novembre 2010 ou sans avoir remporté la guerre civile de Mars/Avril 2011.
Ainsi va notre univers !
Le charbonnier joue le rôle du médecin ! Le médecin est réduit à la mendicité !
Par conséquent, notre univers est en crise permanente : crise morale, crise psychologique, crise spirituelle, crise d’identités ou identitaire, crise de personnalités, crise financière et économique et crise armée.
Notre univers est fondé sur le contre-nature ou évoluant en dehors de la volonté unique d’Amon ou de Dieu, d’où l’instabilité universelle ou les guerres mondiales, civiles, les rébellions, les coups d’état, les génocides, les massacres, l’injustice, la corruption, faisant de nous des humanoïdes ou des gens sans état d’amé, vulgaires, criminels, violeurs, voleurs, corrompus, méchants, racistes, suprématistes, prétentieux, vaniteux, orgueilleux, vantards, hypocrites, description d’une fausse divinité, SATAN, faisant de nous, « enfants de Dieu », ses esclaves, ses commodités jetables ou victimes de ces crimes, psychose permanente des crimes et de l’étranger, maladies mentales et maladies incurables en vue de la destruction de notre environnement ou univers et de l’extinction de notre espèce humaine, comme prophétisé dans les Livres Saints ou dans le Livre de Révélations.
Heureusement qu’Amon avait prédit cette tragédie humaine en prenant les dispositions nécessaires et appropriées afin de sauver ses « Massai ». Ceci sera traduit par la guerre de Gog et Magog, avec la victoire certaine de la Justice et de la vie éternelle divine, transformant ce purgatoire ou notre univers en un Royaume où la mort ne sera plus, ou les pleurs ne seront plus, ou les maladies ne seront plus, un Royaume identique au sien, un Royaume parfait ou le Paradis.
Notre univers est la copie conforme du Royaume céleste, fonctionnant sur la base de la division du travail au sein de la communauté. Il y a la communauté des Archanges et Anges avec leurs différentes fonctions ou spécialités. Vous connaissez certains de ces Archanges tels Gabriel et Michel, dépeints dans les livres saints et leurs différents rôles.
La différence entre la division du travail dans les cieux et celle au sein de nos communautés, est le manque criard de discipline ou du respect des lois, règles et codes communautaires établis par les communautés elles-mêmes. Nous ne respectons absolument rien !
Par pur orgueil ou frustration personnelle, nous décidons de renverser l’ordre naturel des choses au sein de nos communautés. Le Policier devient Chef d’état, délaissant la sécurité des biens et des personnes aux mains des bandes armées et criminelles. C’est cela crise dont nous sommes malheureusement victimes et cela de par notre propre ignorance, naïveté ou volonté uniquement animée d’un orgueil débordant, d’égoïsme et de vanité afin d’en mettre plein les yeux aux autres ou ceux qui nous ont frustrés par le passé.
Tel est réellement le fonctionnement dysfonctionnel ou contre-nature de notre univers, aux antipodes de la décence, des lois divines ou Moadim ou encore un univers dans lequel nous glamourisons la violence inouïe, l’injustice, l’inégalité, les abus des droits de l’homme, les massacres et génocides, les guerres mondiales, civiles, fratricides, la prolifération des armes de destruction massive, le racisme, le fascisme, l’individualisme, le nationalisme beat, le terrorisme sous toutes ses formes et de toutes les origines, la fortune mal acquise, la corruption, la division au sein de nos communautés sur la base de l’appartenance religieuse, ethnique, sociale, politique et raciale…faisant de nous des disciples et adeptes des raccourcis politiques, de la facilité, de la paresse intellectuelle et physique, du gain facile, de l’exploitation abusive des autres ou des états, créant par la suite des conflits armés inutiles et à durée illimitée, l’injustice, le racisme, le fascisme, le terrorisme, la course à l’armement, la violation des souverainetés étatiques et finalement la servitude, l’esclavage, l’exploitation abusive, la déshumanisation, dénaturation et/ou l’élimination physique d’autres races, faisant de nous des humanoïdes et dans le cas particulier des noirs, des caucasoïdes.
Les caucasiens furent les premiers à connaitre SATAN et à lui faire allégeances afin de dominer notre univers. Ce peuple, très faible, désarticulé, semi-sauvage, barbare et autrefois esclave des souverains noirs, furent les candidats à vouloir renverser l’ordre naturel ou divin établi selon l’unique volonté d’Amon ou de Dieu. #
L’Europe, source anthropologique primaire de la société ou civilisation occidentale, pour avoir conquis le reste des territoires, imposé sa culture, ses langues, son système éducatif, ses religions, ses institutions et lois, n’a jamais réellement connu Amon ou Dieu.
Les européens n’avaient aucune culture ou repère religieux sauf pour leurs pratiques sataniques, démoniaques, fétichistes, kéfir ou animistes comme le cas du grand sorcier Merlin et autres apprenti-sorciers tels décrits dans le livre épique de J K Rowling « Harry Potter ». D’ailleurs les occidentaux sont les seuls peuples ainsi que leurs descendants ou anciens peuples colonisés à fêter la Mort ou Halloween ou encore la Noël, une fête païenne.
Comment un tel peuple peut-il prétendre nous apporter la religion révélée, le Christianisme, le Protestantisme, l’Anglicanisme etc., lorsqu’ils n’ont aucune culture religieuse, malgré la présence du Vatican en Europe ?
Ce peuple, comme le Dieu qu’ils vénèrent, est passé maitre dans la déception, mensonges, contre-vérités, satanisme, violence inouïe, sadisme, intimidations, l’inceste institutionnalise, la pédophilie, la bestialité, l’homosexualité, la pendaison ou les exécutions sommaires, les guerres saintes, guerres civiles, guerres mondiales, coups d’état, chantages, l’injustice institutionnalisée, le racisme, le fascisme, le terrorisme, la belligérance, l’exploitation abusive des autres peuples etc.
Comment un tel peuple peut-il prétendre apporter la civilisation aux autres peuples, lorsque leur soit disant civilisation est défaillante, fausse, injuste, arbitraire, suprématiste, meurtrière, génocidaire, barbare et inhumaine donc contre les valeurs cardinales du Créateur, lui qui Amour, Partage, Générosité, Tolérance, Prospérité, Paix et Harmonie ou Cohésion sociale ou Cohésion raciale ?
Lucifer, devenu, démon ou SATAN, prétendant être une divinité aux pouvoirs illimités, choisit les caucasiens, après les avoir instrumentalisés ou induits en erreur à travers ses mensonges, illusions optiques et autres fausse magie ou « miracles », pour en faire son armée sur terre.
Dès le VIIè siècle, « le plan commun » fut mis à exécution, avec l’invasion même de la fondation divine traduite par le règne des pharaons noirs africains ou des anciens égyptiens, détruisant tout sur leur passage, désacralisant, souillant les temples d’adoration, pillant toutes les richesses et connaissances (papyrus ou ancêtre des livres saints) et les dispersant à travers le monde, aux quatre coins de notre univers, faisant des autres races des peuples dominants et des anciens dominants, les noirs, des peuples dominés et des esclaves, comme c’est le cas de nos jours depuis également la Traite Négrière, la Conférence de la honte de 1884-1885 ou la Conférence de Berlin, la Colonisation et la soit disant Mondialisation de nos jours.
Satan a créé un grand nombre d’outils afin de nous maintenir captifs et esclaves. Il a créé le Capitalisme dont les objectifs sont la course effrénée pour le profit à tout prix quel que soit les risques ou la menace que cela puisse poser pour nos communautés.
Il a aussi créé le système éducatif occidental, un système très défaillant, truffé de contre-vérités, falsification des faits historiques et de préjuges suprématistes.
Il a également créé des livres saints, se servant des papyrus empruntés ou pillés en Egypte afin de créer des religions dite révélées, afin de le servir, lui et lui seul, mais également de donner l’impression aux « enfants de Dieu » de servir Amon ou leur Créateur, en réalité une véritable illusion optique et d’appréciations.
Il aussi créé des outils financiers afin de maintenir les états dans la servitude et pauvreté ou dettes permanentes à savoir la Banque Mondiale (BM), le Fonds Monétaire International (FMI), la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), la Banque Centrale des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC), la Banque Africaine de Développement (BAD)…Sans oublier des organisations régionales et/ou continentales ou universelles, telles la CEDEAO, la CEMAC, l’UA, l’UE, l’OTAN, l’ONU et la CPI.
Pour finir, il a aussi créé une organisation universelle afin de saboter notre santé physique et médicale ou réduire la population humaine, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Toutes ces organisations sont subtilement contrôlées par des centres satellitaires telles le Vatican, la Mecque ou d’autres opérateurs religieux ou ésotériques tels les rosicruciens, les disciples de Kabala, les Francs-maçons, les Illuminati… servant de Troisième œil pour le Maitre de notre univers. Les media occidentaux viennent renforcer le sentiment de supériorité en falsifiant les informations, les nouvelles, les faits, l’histoire, l’anthropologie…
Voilà succinctement présenté notre univers et les causes de notre crise commune ou deshumanisation ou division raciale ou sociale ou ethnique ou religieuse.
Il est alors impératif de couper le cordon ombilical (Tous les outils de Satan) afin que les enfants que nous sommes, puissions évoluer indépendamment de la mère (Péché originel/Crise Primaire). La séparation de l’enfant de la mère, n’est point une politique ségrégationniste à l’image des suprématistes occidentaux ou des membres de la communauté religieuse, la Nation de l’Islam ou Nation of Islam, mais plutôt une politique communautaire, car l’enfant et la mère sont contraints ou forcés de vivre ensemble au sein de la même communauté, tel que prévu par la volonté d’Amon ou l’Amant de l’Humanité.
Le procès du panafricain Charles Blé Goudé, n’échappe pas non plus aux résidus de la crise primaire ou de l’injustice glamourisée et institutionnalisée par un groupe ethnique ou une race prétendant être la maitresse de notre univers.
CPI : JUSTICE DE FACADE OU INJUSTICE NEGRIERE ?
Le Bureau du Procureur, dirigé de mains de Maitre ce jour-là, Jeudi 02 Octobre 2014, par le Maitre- négrier, McDonald, lui-même, en lieu et place de la négresse de service, la Procureure Fatou Bensouda, absente sans aucune justification à son propre procès-clé, celui de condamner par tous les moyens, comme instruite par ses maitres mafieux, « l’indélicat, l’imprudent, l’insolent, l’anti-français, le xénophobe et bourreau des militants du RDR, grand concepteur de l’Article 125 et du Plan Commun, l’ennemi numéro un de la Communauté dite Internationale, le jeune leader de la Galaxie Patriotique et farouche opposant de la France, l’ONU et des rebelles nordistes, Charles Blé Goudé », Ministre en exercice de la Jeunesse, de l’emploi et la formation de la République de Côte D’Ivoire, selon la décision du Conseil Constitutionnel ivoirien en date du 4 Décembre 2010, procès ou audience de confirmation ou infirmation des charges, qui fut en réalité, une vraie farce ou une comédie juridico-politique voire une foire juridique afin d’amuser la gallérie publique et les nombreux journalistes occidentaux ayant fait massivement le déplacement pour l’exécution de la peine capitale du jour. Ce fut tout sauf des charges en bonne et due forme ! Curieux, vous diriez !
Comment comprendre que le Bureau du Procureur bénéficiant des largesses de la CPI en termes de moyens financiers au détriment de la défense des accusés, (fait exprès) afin de limiter la défense et condamner et sévèrement punir par faute de moyens ou faute de documents, témoignages ou témoins-clés, tous les accusés africains, transférés manu militari à la Haye.
La CPI n’accorde point d’intérêts particuliers à la défense des accusés riches ou indigents. Les moyens financiers mis à leur disposition est infime, minime et incapable de soutenir toutes les dépenses des juristes et autres agents commis pour la collecte des témoignages, photos, films ou vidéos, journaux ou pour encadrer les témoins-clés, leur offrant le transport, un gite et un anonymat ou sécurité personnelle ou un sanctuaire.
Tout ceci exige des moyens colossaux, lesquels moyens sont uniquement disponibles pour le Bureau du Procureur.
Cependant, au lieu de faire un très bon usage de ces fonds, le Bureau du Procureur se contente de collecter des pans d’informations ou des allégations contenues dans les journaux de leur choix, de collecter des rapports erronés de certaines organisations internationales chargées de la défense et protection des droits de l’Homme ou encore des rapports de la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI, dans le cas particulier des pro-Gbagbo, privés injustement de toutes libertés.
Les juristes et enquêteurs du Bureau du Procureur ne font jamais le déplacement afin de rencontrer les victimes et leurs parents, cas de la Représentante des Victimes, afin de les interviewer, de déterminer si oui ou non elles sont des véritables victimes et par-dessus tout, des victimes crédibles. Pour cela, les juristes ont à leurs arcs, des cordes ou outils afin d’enregistrer ou de filmer les victimes, les écouter, les évaluer en termes de trauma subi ou expression faciale pouvant oui ou non confirmer la victimisation ou confirmer le manque de sérieux ou les allégations de personnes prétendant être des victimes, alors qu’elles ne le sont point.
Aussi, l’interview doit être enregistrée, filmée et documentée afin que la défense, à huis clos, puisse apporter des commentaires ou des objections quant à la qualité du son ou du film ou de la véracité des propos ou du témoignage ou la nature réelle des expressions faciales et autres signes ou éléments particuliers.
C’est fort de cela, après consultation ou visite des sites à palabres ou lieux des crimes, interviews des riverains, des témoins encore hésitants, des découvertes et du rapport des médecins légistes, du rapport du Garde des sceaux, de l’état, dans lequel les crimes furent commis, que le Bureau du Procureur décide oui ou non de lancer un mandat d’arrêt international dans le but d’avoir un procès en bonne et due forme.
Le Bureau du Procureur est soumis de partager toutes les informations en sa possession avec la défense de l’accusé afin que celle-ci puisse apporter une défense solide.
Cependant, le Procureur n’est pas forcé à toujours condamner les accusés si il/elle se rend compte de la faiblesse ou absence des preuves ou des charges. Il/elle peut et doit exonérer de tels accusés, car le rôle du Procureur est de rechercher la vérité et condamner en notre nom (communauté internationale), les personnes violant les lois internationales et exposant les populations et les états à un grave danger de guerre civile ou mondiale ou instabilité politique ou la menace de la paix internationale. Le Procureur devra observer des règles précises à savoir si l’accusé représente un danger permanent pour sa communauté ou pour le monde entier. Pour cela, une enquête minutieuse et indépendante voire objective, devra être conduite afin de présenter tous les aspects de la vie de l’accusé et non ou jamais se contenter de tout ce qui pourrait uniquement le nuire, l’incriminer ou le condamner.
#
L’accusé est une personne bénéficiant du doute et il revient au Bureau du Procureur de le condamner en présentant des éléments ne souffrant d’aucun doute ou au-dessus de tout doute.
L’accusé est uniquement un suspect et non un coupable !
Or, le Bureau du Procureur considérait le Ministre Charles Blé Goudé comme un coupable et non un suspect. Il était déjà condamné (coupable), bien avant même que lui et son conseil juridique ne puissent apporter une défense quelconque.
Une telle attitude démontre uniquement le caractère arbitraire du procès. Tout ce qui est arbitraire, ne respecte point les règles et codes établis ou en place. Par conséquent, l’arbitraire favorise toutes sortes d’abus, d’allégations non fondées, de diabolisation et dénigrements voire dénaturation du caractère de l’accusé, devenu sous nos yeux, un véritable monstre, une peste, un paria et danger permanent, méritant une condamnation pure et simple pour une punition illimitée. Ce fut exactement le cas des deux procès ou audiences de confirmation ou infirmation des charges du Président Gbagbo et du Ministre Charles Blé Goudé.
Avions-nous eu affaire à la lecture et l’application stricte des articles du Traité de Rome ou à la lecture des lois et codes de la communauté internationale, codes secrets comme le Code noir ? Telle est la question sur les lèvres des juristes et autres observateurs suivant la saga ou la foire de la soudeuse de Fatou.
Que disent les articles en question ?
Nous vous proposerons dans notre prochaine Edition la suite et fin de ce dossier spécial sur les procès des pro-Gbagbo et le manque de professionnalisme des juristes et autres fonctionnaires internationaux constituant le gros de l’effectif du Bureau du Procureur !
Zoro Bi Epiphane est-il un expert indépendant ou un nègre de salon, aux ordres et suivant uniquement les consignes de ses maitres ? Etait-il présent en sa qualité de juge corrompu ou de procureur-bis ?
Nous tenterons dans la mesure du possible de vous apporter des éclairages sur la farce ou l’exécution de la peine capitale pour les pro-Gbagbo, retenus et privés de toutes libertés au sein de la prison de Scheveningen.
[Fin de la Troisième partie].
« L’IGNORANCE MÈNE A LA PEUR,
LA PEUR MÈNE A LA HAINE,
LA HAINE CONDUIT A LA VIOLENCE,
VOILA L’ÉQUATION ! » - IBN ROCHID (AVERROÈS)
ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE !
TEAM G.O.D THE LIGHT!
Fait à Londres le 07 Octobre 2014.
Nick De Bessou
Juriste & Anthropologue Politique.
Président du FDRC.
[Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises].
Suivez-nous sur Facebook : Nick De Bessou et Nick De Bessou Officiel.
Suivez-nous sur Twitter : @nickdeBessou1
Suivez-nous sur le Blog : nickdebessou.over-com.
Suivez-nous sur le site internet : www.nickdebessou-info.com
Suivez-nous sur : www. fdrc-democratie.info
COUR PUNITIVE INTERNATIONALE (CPI) : VOICI LES PHOTOS DES OFFICIERS ET HOMMES POLITIQUES DE LA MILICE AU FAMEUX "PLAN COMMUN"! ILS SONT ENCORE EN LIBERTE LORSQUE LEURS VICTIMES SONT EN PRISON!