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Blog politico-juridique

Israel-Palestine-Communaute internationale (ONU/CPI): Vous avez dit " Peuple Elu de Dieu ou Peuple Elu du Diable ? (3)

Publié le 23 Juillet 2014 par Nick de Bessou

Israël-Palestine-Communauté internationale (ONU/CPI) : Quand le peuple « élu de Dieu » massacre impunément d’innocentes personnes (3).

 

L’origine de la crise palestinienne. Pourquoi la CPI est incapable de punir les soldats et politiques juifs ?

 

[Troisième partie]

 

(AMES SENSIBLES ET INTELLECTUELS PARESSEUX, S’ABSTENIR SVP)!

 

Le conflit palestinien vieux originellement de plusieurs siècles s’est réellement politisé vers la fin de la seconde guerre mondiale. L’holocauste des juifs dans les camps de concentration à travers l’Allemagne et la Pologne, a fini par convaincre les alliés occidentaux de la nécessité de créer un état juif afin que les juifs à travers le monde puissent avoir une identité commune, un patrimoine commun et enfin pour apporter sanctuaire et refuge aux victimes ou rescapés des camps de concentration. Certains juifs financièrement puissants ont contribué à l’effort de guerre, à la construction de nouveaux engins volants ou des chars très puissants et beaucoup plus mobiles, des bombes atomiques (bombes versées sur Nagasaki et Hiroshima, 6 Août 1945) afin de mettre un terme à la montée fasciste d’Hitler en Europe et du côté de l’Asie, le Japon devenu un allie de circonstance des Allemands dans le pacifique, menaçant les Etats Unis d’Amérique (l’attaque de Pearl Harbour, 7 Décembre 1941). De l’origine du conflit palestinien, la révolte des arabes en 1936 et la création de l’état d’Israël !

 

« [1920-1948: Mandat britannique sur la Palestine] : Les tensions entre communautés juives et arabes s'accroissent à partir de 1920, à la suite de l'augmentation de l'immigration juive et arabe. À partir de 1921, cette opposition arabe est incarnée par le Grand Mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini. Les premières émeutes anti-juives se produisent aux mois de mars et avril 1920 à Jérusalem, puis en mai 1921 à Jaffa et contre des établissements agricoles. Ces émeutes font plus d'une centaine de morts juifs et sont attribuées par la commission Haycraft nommée par les Britanniques à la colère arabe contre l'immigration juive. Cela débouche sur la publication du premier Livre blanc, dit le livre blanc Churchill, visant à rassurer les Arabes, en limitant l'immigration juive. Mais ces émeutes débouchent aussi sur la création des unités de défense juive, la Haganah, à partir des unités de l'organisation Hashomer. Des motivations religieuses sont à l'origine d'affrontements autour du Kotel à Jérusalem en 1929 et amène à l'aggravation brutale de la situation avec de violentes émeutes antijuives à Hébron, Jérusalem et Safed, qui font près de 150 victimes juives. Pour la première fois depuis l'époque des Croisés, les Juifs sont tués à Hébron, leur seconde ville sainte.

 

Le quartier juif de Hébron est détruit ! De nouveau, les Anglais nomment une commission d'enquête qui tend à dédouaner le grand mufti de Jérusalem de ses responsabilités et qui aboutit à un second livre blanc restreignant les acquisitions foncières et l'immigration juive. Chaïm Weizmann obtient dès 1931 la quasi-annulation de ce livre blanc, ce qui va entraîner la confrontation directe des Arabes et des Anglais. Pendant ce temps, la population arabe palestinienne s'organise. En 1928, on assiste à une institutionnalisation des revendications par des comités de grève (car une part importante de la population travaille dans des entreprises sionistes). Ils revendiquent l'indépendance de la Palestine. Les Arabes palestiniens constituent le 25 octobre 1936 le Haut Comité arabe, sous la direction du grand mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, pour faire face à l'agence juive.

 

En 1936, c'est la grande révolte arabe en Palestine, finalement écrasée en 1939 par les britanniques. Le développement du peuplement juif en est une des causes importantes. Alors qu'au début du XIXe, il y avait 1 Juif pour 10 musulmans, en 1947, il y en aura 1 pour 2.

 

[Grande révolte arabe de 1936-1939 en Palestine mandataire]

 

Les Anglais répondent militairement en augmentant le nombre de policiers et politiquement par une nouvelle commission d'enquête, sous la direction de Lord William Peel, qui propose un premier partage de la Palestine : une région juive (la Galilée et partie de la plaine côtière), une région arabe (Judée-Samarie et Néguev) et une région sous contrôle britannique (Jérusalem). Les Juifs espèrent l'améliorer. Le Haut Comité arabe le rejette totalement, mais l'émir Abdallah de Transjordanie l'accepte. Après l'assassinat du commissaire régional britannique en Galilée, la répression anti-arabe par les Anglais est très dure, le Haut Comité arabe dissous et Amin al-Husseini exilé. En 1939, devant les menaces de guerre avec l'Allemagne, les Anglais veulent éviter l'instabilité et que les Arabes ne rejoignent les forces de l'Axe. Ils ont également besoin de s'assurer le soutien du monde arabe (et de son pétrole), qui risque autrement de s'allier avec Hitler. Ils publient en mai 1939 un troisième Livre blanc qui réduit drastiquement l'immigration juive en Palestine (10 000 visas par an pendant 5 ans et 25 000 visas de réfugiés et, de fait, seuls 15 000 immigrants arrivent en Palestine de 1939 à 1945).

 

Ce livre blanc est refusé par les institutions sionistes. L’antisémitisme, de plus en plus manifeste en Europe, conduit à l'émergence d'une politique d'immigration illégale à partir de 1939. Cependant, la majorité des Juifs de Palestine se range loyalement aux côtés des Britanniques contre le IIIe Reich au cours de la guerre. Aussi, à la déclaration de guerre, Ben Gourion peut-il déclarer : « Nous ferons la guerre comme s'il n'y avait pas de Livre Blanc, et nous combattrons le Livre Blanc comme si la guerre n'existait pas ». De leur côté, les "Arabes" acceptent les termes de ce livre blanc. Le 28 novembre 1941, Hitler et le grand mufti de Jérusalem se rencontrent à Berlin. En mai 1942, le congrès sioniste de Baltimore adopte un programme qui revendique en vain la formation d'un État juif sur toute la Palestine, avec une immigration illimitée et la création d'une armée juive. Malgré les souhaits d'une commission d'enquête anglo-américaine d'accorder 100 000 visas pour la Palestine pour résoudre le problème des réfugiés, les Anglais interdisent toute immigration légale et la Haganah se consacre à favoriser l'immigration clandestine et 70 000 illégaux peuvent rejoindre, depuis l'Europe, la Palestine.

 

En 1944, des actions armées contre les Britanniques sont organisées par l'Irgoun et le Lehi. En 1945, la pression s'accentue, pour permettre l'accueil en Palestine mandataire des rescapés des camps de concentration nazis. Le Royaume-Uni s'y oppose. La Haganah lance à son tour des actions armées contre le Royaume-Uni. L'affaire de l'Exodus 1947, où 4 500 réfugiés se voient contraints de retourner en Allemagne avec des morts à son bord, bouleverse l'opinion mondiale.

 

[Le plan de partage de l'ONU].

 

En mai 1946, le Royaume-Uni abandonne sa tentative de trouver une solution, ne voulant pas imposer une solution aux 2 parties. La Grande-Bretagne confie alors le dossier à l'Organisation des Nations unies qui, avec le soutien conjoint des États-Unis et de l'Union soviétique (aux États-Unis, le Président Truman considère que le réservoir des votes juifs peut lui être politiquement utile; l'Union soviétique considère le sionisme comme un moyen de chasser le Royaume-Uni du Moyen-Orient) et malgré l'opposition de tous les pays arabes, votent le plan de partage de la Palestine, le 30 novembre 1947, ce qui provoque des manifestations de joie de la part des Juifs et de colère de la part des Arabes musulmans.

 

Ce plan de partage divise la Palestine en trois secteurs, l'un arabe, l'autre juif et le troisième, la ville de Jérusalem, international. Les dirigeants palestiniens et les pays arabes refusent ce Plan et annoncent qu'ils s'y opposeront par les armes. Le 14 mai 1948, David Ben Gourion proclame l'indépendance de l'État d'Israël, immédiatement attaqué par les États arabes voisins. [1948-1967: Conflit entre Israël et ses voisins] ! 1964 Fondation de l'OLP (Organisation de libération de la Palestine) qui décide l'intensification de la lutte des Palestiniens contre Israël. 1967 Guerre des Six Jours. « Réunification » de Jérusalem. L'Égypte obtient le retrait des troupes de l'ONU en mai 1967, remilitarise le Sinaï et ferme le détroit de Tiran, passage-clef du transport maritime israélien.

 

Le 15 mai 1967, les forces égyptiennes pénétrèrent dans le Sinaï, contrairement aux accords de démilitarisation de 1957. Le 5 juin 1967, devant l'imminence d'une attaque arabe préparée et les bombardements syriens réguliers depuis le plateau du Golan depuis début 1967, Israël lance une offensive préventive éclair contre l'Égypte, menée par le général Moshe Dayan (voir : Guerre des Six Jours) et appelle la Transjordanie à rester neutre. La Jordanie refuse et attaque Israël avec l'artillerie lourde sur Jérusalem-ouest et la région de Tel Aviv. Le 8 juin, Israël vainc l'armée jordanienne et conquiert la Cisjordanie. Les Syriens continuent de bombarder les habitations, les vergers et les silos agricoles israéliens depuis le plateau du Golan ; en réponse le 9 juin, Israël attaque les Syriens sur le Golan. Les aviations égyptiennes, jordaniennes et syriennes sont détruites en une journée. Au terme d'une guerre-éclair de six jours, Israël conquiert la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Golan (y compris la zone des fermes de Chebaa), la péninsule du Sinaï et Jérusalem-Est15.

 

Le 22 novembre 1967, adoption de la résolution 242 (1967) du Conseil de sécurité de l'ONU. Cette résolution stipule le retrait des forces armées israéliennes « des territoires occupés » (dans sa version en français) ou « from occupied territories » (c'est-à-dire « de territoires occupés », dans sa version en anglais) au cours du récent conflit. La fin de toute revendication ou de tout état de belligérance, respect et reconnaissance de la souveraineté, de l'intégrité territoriale et de l'indépendance politique de chaque État de la région et de leur droit de vivre en paix dans des frontières sûres et reconnues, dégagées de toute menace ou tout acte de violence. D'apporter une juste solution au problème des réfugiés. De garantir l'inviolabilité territoriale et l'indépendance politique de chaque État de la région, à travers diverses mesures telles que l'établissement de zones démilitarisées.

 

1967-1993: Conflit Israël/OLP 1969

 

Début de la guerre d'usure le long du canal de Suez. Yasser Arafat devient le leader de l'OLP. 1969-1972 Les passagers juifs et israéliens des lignes aériennes deviennent la cible des militants palestiniens. 1972 4 septembre : Voir l'article détaillé Prise d'otages des Jeux olympiques de Munich. Onze athlètes israéliens sont assassinés aux Jeux Olympiques de Munich. Les jeux ne s'arrêtent pas pour autant. 1973 Les troupes égyptiennes et syriennes attaquent Israël le 6 octobre, lors de la fête du Yom Kippour ou "jour du pardon". Leur objectif : reconquérir les territoires occupés. Le cessez-le-feu du 24 octobre consacre la victoire de l'armée israélienne. La résolution 338 réaffirme la nécessité d'une "paix juste et durable au Moyen-Orient". L'OLP est reconnue comme seule représentante du peuple palestinien lors du sommet arabe d'Alger qui se tient du 26 au 28 novembre. L'attitude de la Jordanie témoigne, après l'attaque conjointe de l'Égypte et de la Syrie, d'une désolidarisation progressive des pays arabes.

 

1976 26 juin - 4 juillet : opération Entebbe. 47 otages juifs et israéliens, capturés par un commando germano-palestinien à bord d'un avion et fait prisonniers en Ouganda, sont délivrés par un raid de l'Armée de l'Air israélienne. 1982 Depuis le Liban sud, des centaines d'obus sont lancés contre Israël, sur la Galilée. Le 6 juin 1982, Israël déclenche l'« opération Paix en Galilée » et envahit le Liban jusqu'à Beyrouth pour repousser les forces de l'OLP à plus de 40 km de la frontière israélienne. Le 20 juin, les États-Unis obtiennent un cessez-le-feu comportant l'évacuation de l'OLP en Tunisie. 1985 Raid de l'aviation israélienne sur le quartier général de l'OLP à Tunis. 1987 Les Palestiniens déclenchent la première Intifada ou « guerre des pierres », en réponse à l'occupation israélienne en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Ce conflit prendra fin avec les accords d'Oslo signés à Washington le 13 septembre 1993 par Yitzhak Rabin et Yasser Arafat.

 

Ces accords prévoient la création d'une Autorité palestinienne et une reconnaissance mutuelle de l'OLP et d'Israël. 1993-2000: Processus de paix d'Oslo ».- Source Wikipédia. Gaza: efforts diplomatiques pour un cessez-le-feu Le secrétaire d'Etat américain John Kerry est arrivé lundi 21 juillet au Caire où il a rencontré le chef de l'ONU Ban Ki-Moon pour tenter d'arracher un cessez-le-feu, deux semaines après le début d'une offensive menée par Israël dans la bande de Gaza au cours de laquelle 583 Palestiniens ont été tués. En l'absence d'une relation de confiance, difficile d'amener le Hamas à négocier, selon The Economist, qui estime à l'inverse que « les Israéliens ont tout intérêt à mettre le Hamas entre les mains de l'Egypte, sachant que le nouveau président, Abdel Fattah Al-Sissi, les déteste autant qu'eux ». Pour l'hebdomadaire britannique, « les termes actuels du cessez-le-feu proposé par l'Egypte correspondent virtuellement à une reddition » de Gaza. Pourtant, la presse israélienne semble encore croire à une médiation du Caire. Le quotidien Haaretz estime en effet que « l'Egypte détient toujours les clefs de la négociation du cessez-le-feu ».

 

Le quotidien britannique The Guardian, qui souligne que « le plan égyptien jouit d'un ample soutien », se révèle moins confiant : « Depuis que le plan de négociation a été proposé (...), les troupes israéliennes ont lancé une sanglante opération terrestre ». • L'Europe, grande absente des négociations « Avec l'accélération du bain de sang dans la bande de Gaza (...), trouver un accord rapide est vital », écrit The Independent. Mais « le secrétaire d'Etat américain ne pourra pas obtenir de cessez-le-feu tout seul », précise le journal britannique. La Deutsche Welle déplore de son côté que « les diplomates européens se rendent dans la région sans avoir de réelle influence sur le conflit ». En cause, l'Union européenne, qui « dans son ensemble a toujours essayé de garder la position officielle la plus neutre possible », ce qui l'empêche d'agir. Le constat est le même pour The Economist, qui remarque que « le fait que l'Union européenne refuse tout contact avec le Hamas, considéré comme organisation terroriste, l'empêche de prendre part à la médiation ». Pour The Independent, le silence européen est plus grave : « Il ne faudrait pas qu'Israël ait l'illusion que ses actions reçoivent un soutien massif de la communauté internationale ». •

 

« Le Qatar, un acteur stratégique » En l'absence d'interlocuteurs, les espoirs du Hamas se tournent vers une possible médiation du Qatar, où se sont réunis le week-end du 19 et 20 juillet divers acteurs du conflit pour évoquer un cessez-le-feu. Selon Al-Jazira, le petit Etat du Golfe « peut servir de canal de communication entre le Hamas et la communauté internationale ». La chaîne qatarie n'est pas la seule à voir dans la médiation de Doha une possible solution à l'arrêt des hostilités. « Les sources diplomatiques occidentales voient dans le Qatar un acteur stratégique pour atteindre un cessez-le-feu effectif étant donné que le riche Etat du Golfe a accueilli un grand nombre d'islamistes exilés (...), notamment le leader du Hamas Khaled Mechaal », raconte le quotidien israélien Yediot Aharonot. Dimanche, ce dernier y a rencontré Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne. En dépit de leurs désaccords, ils ont appelé conjointement à la « fin de l'agression contre la bande de Gaza et la levée du blocus en place depuis 2006 ».

 

Depuis plusieurs jours, des appels demandant la souplesse du gouvernement de l'Etat hébreu émanent de la presse israélienne. Des éditorialistes de Haaretz appellent, sans trop y croire, au cessez-le-feu. « La violente confrontation entre Israël et Gaza n'a pas commencé il y a deux semaines et elle ne prendra pas fin la semaine prochaine, écrit l'un d'entre eux. Elle fait partie intégrante du conflit israélo-palestinien, qui ne se résoudra pas par la découverte de tunnels et par la tuerie massive de civils. (...) Israël doit aider les médiateurs, en particulier l'Egypte, à trouver une solution et ne pas hésiter à atténuer les restrictions pour aider les Gazaouis. » Au vu de l'intensification des raids sur la bande de Gaza, la perspective d'un cessez-le-feu n'a jamais paru si lointaine. • Camille Drouet. Nabil al-Arabie a discuté avec le président Abbas des prochaines étapes de l'action politique arabe. Le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a appelé le président américain Barack Obama à agir pour mettre fin au conflit israélo-palestinien, à l'occasion d'une rare visite en Cisjordanie, siège de l'Autorité palestinienne. ´´Nous espérons que la nouvelle administration américaine adoptera une politique visant à un règlement de ce conflit´´ a dit M. Arabi, qui se trouvait à Ramallah, en Cisjordanie, en compagnie du chef de la diplomatie égyptienne Mohammed Kamel Amr. Il a déclaré que ses entretiens avec le président palestinien Mahmoud Abbas avaient porté sur le ´´filet de sécurité´´ de 100 millions de dollars promis par l'organisation panarabe en cas de sanctions financières israéliennes contre l'accession de la Palestine au statut d'Etat observateur à l'ONU le 29 novembre. Il n'a cependant pas précisé quand ces fonds allaient parvenir à l'Autorité palestinienne qui est enlisée depuis des mois dans une crise financière. Au début du mois, le gouvernement israélien avait annoncé le blocage pour décembre du transfert des taxes dues à l'Autorité palestinienne, à titre de sanction, considérant la démarche à l'ONU contraire aux accords signés. Israël a parallèlement multiplié les annonces de projets de colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem-Est annexée.

 

Le protocole de Paris de 1994 prévoit la rétrocession par Israël de ces taxes, qui représentent deux tiers des recettes budgétaires propres de l'Autorité palestinienne, sans lesquelles elle n'est pas en mesure de payer ses fonctionnaires. M. Arabi a d'autre part indiqué avoir discuté avec le président Abbas des ´´prochaines étapes de l'action politique arabe après que la Palestine eût obtenu le statut d'Etat observateur aux Nations Unies afin d'obtenir le retrait israélien des territoires occupés´´. Les pourparlers de paix israélo-palestiniens sont bloqués depuis septembre 2010. Les Palestiniens exigent l'arrêt de la colonisation pendant les négociations, mais Israël refuse toute condition préalable. Par ailleurs, une première cargaison de matériaux de construction, offerte par le Qatar, est arrivée samedi dans la bande de Gaza, via l'Egypte, selon des sources palestiniennes dans cette enclave. L'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, avait effectué en octobre une visite historique à Gaza, la première d'un chef d'Etat depuis que le Hamas a pris le contrôle de ce territoire palestinien en 2007. Cet émirat pétrolier avait alors promis d'augmenter à 400 millions de dollars ses investissements dans ce territoire.

 

L’EXPRESSION LE QUOTIDIEN Lundi 31 Décembre 2012. RELANCE DES DISCUSSIONS, RAPPROCHEMENT ENTRE LES DIFFERENTES AUTORITES PALESTINIENNES, LES ANCIENS ACCORDS DE PAIX ET LA RESSURGEANCE DES HOSTILITES DEPUIS FIN JUIN 2014 :

 

« Reprise des discussions entre Israël et l’Autorité palestinienne : pourquoi, cette fois-ci, ça pourrait être différent ! » titrait le New York Time le 29 Juillet 2013. Réel espoir ou vaine tentative ?

 

« Depuis lundi 29 juillet au soir, Israéliens et Palestiniens tentent de trouver un nouveau terrain d'entente en vue d'un accord de paix. Alors que le processus est à l'arrêt depuis trois ans, il semblerait que, cette fois-ci, un espoir puisse être envisagé, tenant à la convergence de certains intérêts majeurs entre les deux parties ».

 

Le Figaro.fr du 23 Avril 2014 : « Palestine : Hamas et OLP annoncent un accord de réconciliation ! ».

 

« Les habitants de la bande de Gaza, pourtant échaudés par plusieurs tentatives infructueuses de réconciliation entre le Hamas et l'OLP (Organisation de libération de la Palestine), ont célébré par milliers, mercredi soir, la signature inattendue d'un accord entre les deux factions rivales. Ce document prévoit la formation, d'ici à cinq semaines, d'un gouvernement d'union qui sera dirigé par Mahmoud Abbas et aura pour mission de «préparer des élections législatives et présidentielles». Un premier pas dans lequel Ismaël Haniyeh, premier ministre islamiste au pouvoir à Gaza, a voulu voir «la fin des divisions inter palestiniennes».

 

Si l'histoire récente incite à faire preuve de prudence, il est indéniable que les circonstances se prêtent à un rapprochement. Sept ans après leur divorce sanglant dans les rues de Gaza, les frères ennemis du nationalisme palestinien sont en mauvaise posture. Le Hamas, qui a pris le contrôle du petit territoire aux dépens de son rival après avoir remporté les législatives de 2006, est financièrement asphyxié et politiquement fragilisé depuis que l'Égypte a détruit, il y a neuf mois, les tunnels de contrebande le reliant au monde extérieur. Quant au Fatah (la principale composante de l'OLP) du président Mahmoud Abbas, il affronte une opinion palestinienne de plus en plus désabusée et perplexe sur l'intérêt d'un énième processus de paix engagé, l'été dernier, sous le patronage de John Kerry ».

 

Cependant, cette joie de revoir les belligérants arabes et juifs regagner la table de négociations pour une solution durable en Palestine, fut de courte durée. En effet, pendant que la communauté internationale multipliait les contacts et déclarations en faveur de la reprise des négociations, l’état d’Israël sabotait de l’intérieur tous les efforts en faveur de la paix dans l’unique but ou objectif de maintenir le statu quo. L’intention de l’état d’Israël, comme une véritable brute, fut d’imposer ses desideratas au monde entier, à savoir la reconnaissance de l’état d’Israël, la reconnaissance de Jérusalem-Est comme la Capitale juive et nier toute autonomie politique, économique et militaire aux autorités palestiniennes.#

 

Ce trouble jeu fut démasqué, provoquant à nouveau des foyers de tensions et souvent des affrontements ou altercations entre les autorités policières juives et les populations palestiniennes dans les différents camps. L’un de ces affrontements, affrontements de nos jours « normaux, car presque partie intégrante des rapports entre les juifs et palestiniens), provoqua la mort d’un palestinien en détention.

 

La troisième intifada 25 Février 2013.

 

« Israël : La mort d’un prisonnier palestinien pourrait entrainer la troisième intifada ! Selon l’Autorité Palestinienne, Arafat Jaradat serait mort en prison suite à des blessures infligées par la Police israélienne durant un interrogatoire. Ce pourrait être l’étincelle qui met le feu aux poudres. La mort samedi d’un palestinien dans les geôles israéliennes, a fait monter encore monter d’un cran la tension en Cisjordanie. Surtout qu’il pourrait avoir succombé des suites de tortures de la Police lors d’un interrogatoire. Résidant d’un village proche de Hébron, Arafat Veradat avait été arrêté lundi près de la colonie de Kiryat Arba pour avoir jeté des pierres contre des soldats et des civils israéliens.

 

Ayant reconnu les faits, il avait été incarcéré a la prison de Megiddo en attendant d’être jugé. Les autorités israéliennes et palestiniennes n’ont pas la même lecture de la suite des évènements, pour les premiers, le prisonnier est mort d’une crise cardiaque alors que les seconds, par la voix du ministre des Prisonniers, expliquent que l’autopsie révèle « des fractures sur tout le corps et sur le crâne ». Plusieurs milliers de détenus palestiniens ont annoncé qu’ils suivraient une journée de grève de faim en solidarité avec Jaradat ». – Source – Le Figaro.

 

La grande rupture : 24 Février 2014.

 

« Israël a décidé ce jeudi 24 avril 2014 de suspendre les négociations de paix avec les palestiniens, à la suite de l’accord de réconciliation inter palestinien, selon une source officielle. Le mouvement islamiste palestinien Hamas, bête noire d’Israël, qui le considère comme une organisation terroriste, a signé mercredi à Gaza un nouvel accord de réconciliation avec l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) du Président Mahmoud Abbas, qui prévoit la formation d’un gouvernement de « consensus national » et la tenue d’élections à la fin de l’année ».

 

Benyamin Netanyahou : « Le cabinet a décidé à l’unanimité que le gouvernement israélien ne négociera pas avec un gouvernement palestinien s’appuyant sur le Hamas, une organisation terroriste qui appelle à la destruction d’Israël, explique un communiqué du bureau du Premier Ministre Benyamin Netanyahou. « En outre, Israël va prendre un certain nombre de mesures en réponses aux gestes unilatéraux des palestiniens, ajoute le communiqué. Il n’y a, pour l’heure, pas de précisions sur le contenu de ces « mesures ».

« Au lieu de choisir la paix, Abu Mazen (le surnom de Mahmoud Abbas), accuse le communiqué, quoique choisit la terreur du Hamas ne veut pas la paix » insiste –t-il. Le Hamas est également considéré comme une « organisation terroriste » par les Etats Unis et l’Union Européenne.

 

Cet accord a été signé au moment où les négociations de paix entre Israël et l’autorité palestinienne de Mahmoud Abbas sont dans l’impasse, aucun résultat n’ayant été enregistré depuis leur reprise en juillet 2012 sous l’égide des états Unis ». –Source LIBERATION du 24 Février 2014.

 

« La déclaration, signée Benyamin Netanyahou, le Premier Ministre israélien, a le mérite d’être claire. « Cette question ne pourra être considérée que par des négociations directes ». Cette question, c’est la nouvelle directive prise par Bruxelles d’exclure les territoires occupés des accords de coopération entre l’Union Européenne et Israël.

Or, les conséquences sont loin d’être nulles, car les colonies ne pourront désormais plus bénéficier de nouveaux projets de coopération économique, financements, bourses, programmes de recherches ou prix, comme le précise le Figaro ».

 

Réaction musclée d’Israël à l’endroit de l’Union Européenne :

« Nous n’accepterons aucun diktat extérieur sur nos frontières » ! « Colère après une Directive de l’Union Européenne, 18 Juillet 2014 – Par Atlantico.fr ou http://www.atlantico.fr/pepites/israel-colere-apres-directive-union-europeenne-790062.htm#PMVjtHLmoCBdvoqz.99

 

Les accords de paix ou les tentatives de trouver des solutions politiques au conflit israélo-palestinien depuis 2010 à nos jours furent d’une manière ou une autre sabotées par l’état d’Israël, trouvant toujours et encore des prétextes afin d’éviter d’évacuer certains territoires arabes sous le chapitre des colonies illégales juives, ou la reconnaissance d’un état palestinien avec sa propre administration, ses propres autorités policières, militaires et diplomatiques et une autonomie complète, fonctionnant comme un état indépendant, voisin à l’état d’Israël. Ceci fut toujours le vœu le plus cher aux palestiniens depuis la déclaration ou le déclenchement de la première intifada (guerre des pierres en 1987) :

« Les Palestiniens déclenchent la première Intifada ou « guerre des pierres », en réponse à l'occupation israélienne en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Ce conflit prendra fin avec les accords d'Oslo signés à Washington le 13 septembre 1993 par Yitzhak Rabin et Yasser Arafat. Ces accords prévoient la création d'une Autorité palestinienne et une reconnaissance mutuelle de l'OLP et d'Israël ». – Source Wikipédia.

 

Le décès de Yasser Arafat (Mohammed Yasser Abdel Rahman Abdel Raouf Arafat al-Qudwa (Arabe: محمد ياسر عبد الرحمن عبد الرؤوف عرفات‎‎; 24 Août 1929 – 11 Novembre 2004), communement connu sous le nom de Yasser Arafat (Arabe: ياسر عرفات‎ , Yāsir `Arafāt) et le durcissement du ton des autorités du HAMAS ont fini par retarder l’avènement d’un accord de paix durable, accord de paix pouvant garantir la reconnaissance de l’état d’Israël, son existence et la reconnaissance de la ville de Jérusalem comme la capitale de l’état israélien.

 

Les occidentaux et alliés historiques partagent profondément le souhait des juifs de réclamer Jérusalem comme la véritable capitale de l’état d’Israël à l’instar de Tel Aviv. C’est d’ailleurs « Jérusalem », la discorde continuant de diviser les palestiniens et juifs, provoquant des conflits ou des affrontements armés ou des actes terroristes sur l’état israélien ou sur ses ressortissants. Depuis 2010, les pourparlers et autres négociations ou tentatives de régler politiquement le conflit israélo-palestinien ont connu des perturbations voire le refus de certains palestiniens de reconnaitre l’état d’Israël et aussi de lui faire la guerre (2e intifada des 2000) : « 2001 à aujourd'hui: Seconde Intifada.

 

« 2000 Septembre, début de la seconde Intifada ou Intifada al-Aqsa. Novembre 2000, Ehud Barak approuve un plan de construction d'une « barrière destinée à empêcher le passage de véhicules motorisés » depuis le Nord-Est de la Cisjordanie jusqu'à la région du Latrun. Les mouvements armés palestiniens : les organisations armées les plus actives sont le Hamas, les Brigades d'Al Aqsa et le Jihad islamiste qui sont localisés dans la bande de Gaza et la Cisjordanie. Certaines de ces organisations considèrent les morts civils, qui découlent ou non de certaines de leurs actions, comme étant des martyrs du jihad islamiste. Le Hamas a créé une infrastructure d'aide sociale, lui faisant gagner ainsi des milliers de soutiens. Ce mouvement politique et terroriste, très répandu et très populaire, a à sa tête Ramadan Abdallah Shalakh. Il est soutenu financièrement par de nombreuses organisations, particulièrement en Europe, ainsi que par des pays comme l'Iran et la Syrie. Le Jihad islamiste palestinien est moins populaire que le Hamas. Il est plus petit, et n'a pas d'activités sociales au programme ni aucune aspiration politique. Il est très actif à Jénine, Tulkarem et Naplouse (Schrem) en Cisjordanie. Il travaille en cellule et n'a pas d'infrastructure civile » - Source Wikipédia.

 

Dès Le 3 janvier 2009, « l'opération Plomb durci » connaît une nouvelle phase quand les autorités politiques Israéliennes envoient des troupes dans la bande de Gaza. L'opération fait selon les sources des autorités ou des représentants palestiniens plus de 1 300 morts à Gaza et 13 du côté israélien selon les sources israéliennes.

 

Le 18 janvier 2009, l’état d’Israël est contraint de proclamer le cessez-le-feu. Le même jour, le Hamas annonce une trêve et donne 7 jours à l'armée israélienne pour quitter Gaza, ce qui est fait dès le 21 janvier 2009. Pendant les semaines qui suivront, les Palestiniens de la bande de Gaza continuent d'envoyer quelques roquettes plusieurs fois par semaine sur certaines colonies de l’état d’Israël. La riposte ne se fait pas attendre, avec l’aviation militaire israélienne bombardant les tunnels palestiniens de contrebande avec l'Égypte. À la suite de ces opérations militaires, le blocus de la bande de Gaza est renforcé. Ce fut la, le début des hostilités grippant le processus de paix et surtout la manifestation de l’opposition aux constructions anarchiques des colons juifs sur certains territoires arabes ou palestiniens.

 

« Le 7 octobre 2000, le Conseil de sécurité de l'ONU adoptait la Résolution 1322 (2000) déplorant tout à la fois la provocation d'Ariel Sharon, le chef du Likoud, et les violences qui s'en sont suivies dès le lendemain avec le déclenchement de la Seconde Intifada ».

 

« Discussions de paix à Paris d'octobre 2000 : Madeleine Albright rencontre tour à tour Yasser Arafat et Ehud Barak dans la capitale française. Arafat serait sur le point d'accepter le compromis qui lui est proposé mais Jacques Chirac serait intervenu pour durcir la position d'Arafat. Sommet de Taba de 2001 : Les appels au calme et à la reprise des discussions se multiplièrent en vain. Bill Clinton proposa par écrit de nouveaux paramètres de négociations. Barak les accepta avec des réserves, Arafat retarda sa réponse par laquelle il accepta avec des questions et des réserves. Les initiatives du Président Clinton amenèrent Barak et Arafat à des discussions à Taba en janvier 2001 au cours desquelles les délégations confièrent n'avoir jamais été aussi près d'un accord. Mais Barak dut interrompre les discussions à la veille d'échéances électorales anticipées. Nouvelles tentatives : Un mois plus tard, les violences de la seconde Intifada et le sentiment d'insécurité entraîna une alternance politique au pouvoir en Israël, à l'issue du scrutin, amenant la droite et Ariel Sharon à la tête d'un nouveau gouvernement. Le nouveau gouvernement d'Ariel Sharon exige alors un arrêt des attentats terroristes avant toute reprise du dialogue. Les initiatives pour sortir de l'impasse furent multiples :

 

• Le Quartet pour le Moyen-Orient constitué du nouveau Président américain George Walker Bush, de l'Union européenne, de la Russie et de l'ONU élaborèrent la feuille de route pour la paix qui appelle à la création d'un État palestinien avant 2005, sous les conditions d'un arrêt du terrorisme, et du déroulement d'élections démocratiques dans les territoires palestiniens.

 

• La Ligue arabe réunie à Beyrouth au Liban fit également un plan de paix qui appelait au retour aux frontières de 1967 en échange d'une reconnaissance mutuelle et de la paix. Le gouvernement israélien salua cette proposition.

 

• En 2003, une assemblée non officielle de personnalités politiques modérées des deux parties se rencontra pour s'entendre sur les termes d'une proposition de paix connue sous le nom d'initiative de Genève. Arafat reçut favorablement ce document et Sharon le rejeta.

 

Sommet de Sharm el-Sheikh de 2005 : . Il est signé en 1999 entre YASSER ARAFAT et EHUD BARAK (premier ministre israélien). Par cet accord, il a été décidé la restitution de 11°/° de territoires supplémentaires à la Palestine avant 2000. Les palestiniens obtiennent l'ouverture de passages protégés entre Gaza et les territoires de la Cisjordanie et la libération de 350 prisonniers.

 

Plan de désengagement unilatéral de 2005 : Le gouvernement israélien prit des dispositions unilatérales pour assurer la sécurité de sa population. La construction d'une barrière, qui avait été pensée par un précédent gouvernement de coalition gauche-droite, commença. Son tracé, qui empiète largement sur les territoires de Cisjordanie annexés en 1967, provoque d'importantes contestations et des condamnations internationales. Le même gouvernement prit ensuite l'initiative du plan de désengagement concernant l'évacuation définitive et la destruction de toutes les colonies de la Bande de Gaza et de quatre implantations israéliennes dans le nord de la Cisjordanie. Projet de création d'un État palestinien : Depuis que, en 1988, l'État palestinien a été proclamé en novembre à Alger lors du dix-neuvième Conseil national d’Alger, la revendication d'un État palestinien autonome n'a cessé d'être portée par les Palestiniens, sous la direction de l'OLP et de Yasser Arafat, et n'a cessé d'avancer, un certain nombre d'États et d'instances internationales s'y ralliant au fil des années.

 

Le 19 janvier 1993, le Parlement israélien abroge la loi interdisant les contacts avec l'OLP. Et le 13 septembre 1993, les accords dits d'Oslo sur l'autonomie palestinienne, d'abord mis au point à Oslo puis signés à Washington, donnent lieu à une déclaration qui aboutit à la reconnaissance mutuelle de la Palestine et d'Israël. Le 4 mai 1994 est signé un accord israélo-palestinien, entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et l'État d'Israël : accord d'"Oslo I" signé au Caire (Égypte), prévoyant l’autonomie de la bande de Gaza et de la ville de Jéricho (Cisjordanie). Le 28 septembre 1995, Israël et l'OLP signent à Washington l’accord négocié à Taba ("Oslo II") étendant l'autonomie en Cisjordanie et prévoyant une série de retraits israéliens par étapes. Fin 1995, Israël se retire de six villes de Cisjordanie qui deviennent autonomes.

 

Le 20 janvier 1996, Yasser Arafat est élu président de l'Autorité palestinienne. Le CNP (parlement palestinien en exil), réuni pour la première fois en Palestine, élimine de sa charte les articles mettant en cause le droit à l'existence de l'État d'Israël. La création de l'État palestinien, aux termes des accords d’Oslo, aurait dû intervenir en décembre 1998 selon des modalités préparées en commun par le gouvernement israélien et l’Autorité palestinienne.

 

Le 25 mars 1999, l'Union européenne se prononce en faveur du droit à l’autodétermination des Palestiniens et à celui de créer un État : appui qui s'ajoute au projet de création du futur État palestinien. En mars 2002, c'est au tour de l'ONU de soutenir la revendication : le Conseil de sécurité adopte la résolution 1397 qui évoque pour la première fois un État palestinien aux côtés d’Israël. Ce pour quoi le président George W. Bush nouvellement élu se prononce également. Aujourd'hui l'Autorité palestinienne, sous la présidence de Mahmoud Abbas et à la suite de Yasser Arafat, son premier président élu en 1996, œuvre en vue de la création d'un État palestinien.

 

Le 25 mai 2006, Mahmoud Abbas annonce la tenue d'un référendum en ce sens. Toutefois, à la suite de violents affrontements inter palestiniens, les islamistes du Hamas ont pris le contrôle de la bande de Gaza le 14 juin 2007, tandis que Mahmoud Abbas, soutenu par le Fatah, annonçait la mise en place d'un "cabinet d'urgence" à Ramallah, en Cisjordanie. Ainsi, avant même d'avoir pu accéder à la souveraineté internationale, le futur État palestinien se trouve partagé de fait en deux entités rivales, l'une à Gaza et l'autre en Cisjordanie » - Source Wikipédia.

 

De l'Egypte au Qatar, les impossibles médiations dans le conflit israélo-palestinien Le Monde.fr | 22.07.2014 à 19h47 | Par Camille Drouet

 

John Kerry est arrivé au Caire (Egypte), lundi 21 juillet, pour tenter de négocier l'arrêt des combats qui font rage à Gaza depuis le 8 juillet et qui ont déjà coûté la vie à plus de 600 Palestiniens et 29 Israéliens. La mission s'annonce difficile pour le secrétaire d'Etat américain, dans un contexte de relations très dégradées entre Gaza et le pouvoir égyptien. Malgré la tentative de médiation de l'Egypte et de celle du Qatar, la presse internationale doute de la capacité à arriver rapidement à un accord, d'autant que les médias relèvent le silence de l'Europe.

 

• Le plan égyptien bloqué par l'absence de dialogue avec le Hamas En 2012, lors de l'opération « Pilier de défense », c'est une médiation conjointe des Etats-Unis et de l'Egypte qui avait conduit à un cessez-le-feu entre Israël et l'enclave palestinienne. L'objectif affiché aujourd'hui par la Maison Blanche est de « revenir à l'accord de cessez-le-feu signé en 2012 », rapporte le journal cairote Al-Ahram. Mais le 15 juillet, après une semaine de bombardements israéliens, le Hamas, furieux de ne pas avoir été consulté en amont, a rejeté la proposition égyptienne de cessez-le-feu, pourtant acceptée par le gouvernement israélien. Selon le quotidien Daily News Egypt, l'impasse actuelle de la médiation du Caire est en grande partie due à la détérioration des relations entre l'Egypte et le Hamas.

 

« Depuis deux ans, la situation a bien changé », explique laconiquement le journal. En 2012, « [Mohamed] Morsi, membre des Frères musulmans, entretenait des relations privilégiées avec le mouvement de résistance de Gaza », ce qui facilitait la négociation, rappelle le quotidien. Mais depuis la chute de l'ancien président égyptien en juillet 2013, l'Egypte a intensifié son blocus sur Gaza et interdit le Hamas sur son territoire. « La relation entre le gouvernement égyptien et le Hamas est passée de l'alliance à l'hostilité », résume la chaîne qatarie Al-Jazira.

 

Le Daily Telegraph souligne par ailleurs que « le cessez-le-feu accepté par le Hamas en 2012, dont les termes prévoyaient un assouplissement du blocus, n'a pas été respecté ».

 

Le conflit israélo-palestinien débuté cet été est un des plus meurtriers depuis le début du conflit. L’armée israélienne tire de façon désordonnée et souvent sans réellement de cibles en vues à part la destruction des édifices et monuments palestiniens, les temples d’adoration, les centres de santé et les habitations des civils, civils faisant le gros des victimes.

 

Parmi les victimes, se trouve un grand nombre d’enfants et d’adolescents, d’innocentes victimes, des victimes civiles donc non combattantes, des victimes de la politique hégémonique et militaire d’un état, prétendant tout se permettre dans notre univers, pour des supposés liens avec le créateur ou Dieu. Cet état, dictant au reste du monde sa vision hégémonique est celui-là même qui est la véritable source de l’instabilité de la paix et la sécurité internationales. Pour ces propres intérêts souvent égoïstes, des états, des institutions, tout un continent, le continent africain est devenu le plus grand laboratoire pour les dernières expériences militaires (Bombes à fragmentations), technologiques (Déchets Toxiques) et médicales (VIH/SIDA et EBOLA).

 

Comment pouvons-nous réellement et honnêtement soutenir que l’état d’Israël prétend être l’état sur terre selon la volonté de Dieu ?

Quel est ce Dieu qui crée des créatures pour plus tard les détruire sous de faux prétextes ? N’est-il pas vrai qu’un tel dieu est faible, incomplet, inachevé, méchant, sanguinaire, haineux, belligérant, violent etc. ?

Est-ce cela la description de Dieu le créateur ou celle du Dieu Mammon ou Lucifer ou le Satan ?

La réponse à ces questions est votre interprétation des faits et conséquences nuisibles de la crise en Palestine.

 

Faut-il sanctionner l’état d’Israël ou diplomatiquement l’isoler ?

 

Les crimes commis par cet état sont nombreux et les preuves de crimes contre l’humanité, crimes de guerre et autres crimes sont légions.

 

Cependant, l’ONU est encore et toujours incapable de se saisir du dossier palestinien avec diligence, responsabilités, honnêteté et impartialité politique. La nomination et les élections des Secrétaires Généraux dépendent essentiellement du Lobby Juif, un groupe secret d’hommes et de femmes d’affaires, du monde des finances, de la politique, des media, des industries d’armes etc., faisant les leaders ou Chefs d’état des grandes nations occidentales (Etats Unis, Royaume Uni et la France).

 

Curieusement, ces trois états occidentaux sont tous détenteurs du droit de veto au sein du Conseil de Sécurité. Ce sont donc ces états qui bloquent ou sabotent tous les efforts de paix afin d’imposer une certaine discipline à ce petit état entouré de nations ennemies. La CPI est elle aussi un pur produit du Lobby Juif avec siège social et financier à New York (Wall Street).

 

Pour distraire le monde et détourner l’attention des états occidentaux considérés comme des alliés et les états à dominer (Côte D’Ivoire, Centrafrique, Cameroun, Gabon, RDC et Zimbabwé, Mozambique et l’Afrique du Sud) ou détruire (Iraq, Iran, Corée du Nord, Syrie, Egypte, Libye, Soudan, Nigeria), les branches juives du Canada (Montréal et/ou Québec) se chargent d’exécuter les missions sensibles et délicates afin d’imposer subtilement la vision sioniste à travers le monde.

 

Le Canada est regardé ou considéré comme un état-continent occidental « neutre », mais en réalité le centre d’Operations et d’exécutions des stratégies sionistes pour la domination mondiale. Dans la crise post-électorale ivoirienne, le Canada fut le premier état occidental à reconnaitre le candidat-malheureux Ouattara, comme « le Président de la République de Côte D’Ivoire reconnu par la communauté internationale ».

 

Vous remarquerez que deux pays africains figurent sur la longue liste de pays participant à la commission du droit international, à savoir la Côte D’Ivoire et le Burkina Faso. Curieusement, la Côte D’Ivoire est la cible d’un complot international, avec pour base arrière de la rébellion nordiste, le Burkina Faso. L’actuel Chef d’état ivoirien, est d’origine burkinabè avec pour épouse une bonne juive, Dominique Nouvian Folloroux Ouattara, ayant des entrées dans les grands milieux juifs en Europe (France) et aux Etats Unis d’Amérique (New York). Le Premier Ministre Alassane Ouattara perd le pouvoir le 7 Décembre 1993 suite au décès du Président Houphouët, père-fondateur de la République de Côte D’Ivoire. Il lui faut un digne héritier, pas celui prévu par la Constitution ivoirienne d’Août 1960 en son article 11 (Henri Konan Bédié), mais plutôt un héritier naturel et historique (Alassane Dramane Ouattara), originellement de l’Ancienne Haute-Volta, au moment de la déclaration des indépendances des années 60.

 

Le Burkina Faso réclame la Côte D’Ivoire comme son territoire, car autrefois considéré comme un grand état, à savoir la partie sud (Basse Volta) et la partie nord (Haute Volta), sous l’autorité du Moro Nabab. En clair, l’actuel Moro Nabab est celui-là même qui réclame ses territoires perdus au profit de la Côte D’Ivoire. La colonisation de l’ouest de la Côte D’Ivoire, par des milliers de Burkinabès, répond uniquement à ce souci.

 

En clair la crise ivoirienne a réellement débuté le 7 Décembre 1993 (comme soutenu par le livre de Nick De Bessou sur la crise ivoirienne), avec pour unique objectif de positionner un héritier burkinabè, considéré comme le vrai et l’unique héritier selon les dires ou discrétions. Le Moro Nabab souhaite que le Burkina Faso et la Côte D’Ivoire, lui reviennent de plein droit ! Dans le milieu ésotérique, il est et demeure la porte d’entrée du Prince des Ténèbres ou de Satan.

 

En d’autres termes, il est réellement le véritable ambassadeur de Satan sur terre, usant des connaissances et anciennes pratiques égyptiennes, autrefois interdites afin de s’imposer même aux occidentaux. Il est très discret et souvent effacé, laissant ses collaborateurs et autres agents (Chefs d’état, ministres, juges, politiciens) prendre les décisions idoines pour l’unique intérêt de la cause commune (Empire Burkinabè) et exécuter militairement les stratégies s’imposant. La Commission de droit international est née entre le 7 et 21 Janvier 1993. C’est dire, bien avant le décès ou l’annonce officielle du décès du père de la nation, Felix Houphouët-Boigny (7 Décembre 1993), avec la tentative de confiscation du pouvoir par l’ex Premier Ministre et actuel Chef d’état ivoirien, Alassane Dramane Ouattara.

 

La Commission de droit international de 1993, est la résultante de la Commission Internationale d’Enquêtes sur les violations des droits de l’homme au Rwanda depuis le 1er Octobre 1990. Le rapport final contenu dans les textes du 7-21 Janvier 1993, facilitera l’embargo des armes sur le Rwanda en date du 8 Mars 1993 et plus tard la création du Tribunal Pénal International pour la Yougoslavie (TPIY en 1993) et pour le Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR en 1994).

 

Les travaux de ces commissions et les jugements passés, sans oublier l’expertise de juristes du droit international, favoriseront la rédaction des textes sanctionnant le Traité de Rome le 17 Juillet 1998, portant création de la Cour Pénale Internationale (CPI). Par 120 pays participant à la Conférence diplomatique des plénipotentiaires de l’ONU sur l’établissement d’une Cour Pénale Internationale (7 voix contre, 21 abstentions). Une fois le statut adopté, il fallut 60 états signataires afin de ratifier le nouveau statut avant sa mise en vigueur, prévue pour le 1er Juillet 2002.

 

Le quorum (60 états signataires) fut atteint le 11 Avril 2002.

 

Le 11 Avril 2011 fut la date de la chute du gouvernement Gbagbo.

 

Le 11 Avril 2013 fut la date à laquelle François Hollande reçut pour la seconde fois, le Chef d’état ivoirien, Alassane Dramane Ouattara. Simples coïncidences ou respect des lois cosmiques ou ésotériques ?

 

En réalité, l’assaut final contre le pouvoir Gbagbo fut longtemps prévu. Ils avaient le choix entre le 11 Avril 2011 ou le 1er Juillet 2011.

 

Le pouvoir du Président Gbagbo a vite cédé car infiltré de l’intérieur. Certains proches collaborateurs du Président Gbagbo souhaitaient sa chute en collaborant discrètement avec la rébellion et la France. Les incidents ou le bombardement du camp militaire français à Bouaké en Octobre/Novembre 2004 fut l’unique œuvre de ces collaborateurs, pensant la rébellion finie après le travail chirurgical de l’aviation ivoirienne. Il fallait à tout prix impliquer la France afin de sauver la face (rébellion nordiste et Ouattara) et maintenir la pression sur le gouvernement Gbagbo.

 

Composition de la Commission du droit international de 1993 :

 

Les pays représentés ou sélectionnés le sont uniquement sur la base de leurs activités satellitaires pour les grands maitres de l’ésotérisme à travers le monde. Ainsi, la plupart des représentants sont des grands disciples de la Franc-maçonnerie, Rose Croix, Les Illuminati, le Karbala etc., des purs produits pour le « MIND CONTROL » ou le lavage de cerveau des leaders ou futurs leaders de notre univers.#

 

Les deux pays africains au sein de la Commission sont le Burkina Faso et la Côte D’Ivoire.

 

Les grands hommes de la Commission du droit international de 1993 :

 

Afrique : Cote D’Ivoire : René Dégni-Segui, Doyen de la Faculté de Droit d’Abidjan, Président de la Ligue Ivoirienne des Droits de l’Homme (LIDHO).

 

Burkina Faso : Hamidou Ouédraogo, Président de l’Union Interafricaine des Droits de l’Homme, Juge de la Chambre Administrative, Cour Suprême du Burkina Faso.

 

Europe: Belgique: Pol Dodinval (Liège), médecin légiste.

Belgique: Éric Gillet (Bruxelles), Fédération Internationale des Droits de l’Homme, Avocat au Barreau de Bruxelles.

France : Jean Carbonare (Paris), Délégué pour AGIR ENSEMBLE POUR LES DROITS DE L’HOMME.

Suisse : Philippe Dahinden (Lausanne), docteur en Droit, Journaliste.

Pays-Bas : Rein Odink (Amsterdam), Juriste.

 

USA & Canada: USA:

 

Alison Des Forges (New York), Africa Watch & State University of New York (Buffalo)

Canada: André Paradis (Montréal), Directeur-Général de la Ligue des Droits et Libertés. Canada : Williams Schabas (Montréal), Professeur de Droit, Université de Québec à Montréal, Avocat au Barreau de Montréal.

 

Vous avez dit complot international ou ésotérisme béat ou naïveté légendaire des africains ?

 

La réponse à ces questions dépendra de votre entendement c’est-à-dire du bon usage de votre libre arbitre à rationaliser et anticiper sur les évènements.

 

Il n’est point question de diplômes ou d’éducation, mais plutôt du pouvoir divin résidant en nous d’apprécier à sa juste valeur les méfaits et crimes contre l’humanité de l’état d’Israël, un peuple soutenant bec et ongles depuis la Shoa, être des descendants directs de Jésus-Christ et donc de la lignée divine.

 

Pouvons-nous soutenir sans ambages être en de bonnes mains avec l’état d’Israël dans sa forme actuelle ou sans un tel état, état qui nécessité la délivrance spirituelle mondiale mais et surtout du créateur Amon lui-même ?

 

Nous avons tous le devoir et la lourde responsabilité de protéger notre univers, les vies humaines et la nature. Nous respectons un code naturel, code établi par Dieu lui-même.

 

Ce code communautaire ne peut être appliqué si et seulement si les états membres de l’ONU se désengagent tous de cette façade ou mascarade baptisée ORGANISATION DES NATIONS UNIES, qui n’est rien d’autre que l’expression manifeste d’un peuple égoïste, ayant subi des atrocités aux mains d’un autre dictateur occidental (HITLER).

 

L’ONU est la nouvelle arme légale de l’Etat d’Israël afin d’imposer sa vision sioniste, vision qui fut retardée par le 3e Reich d’un HITLER, incapable de faire la part des choses entre pouvoir étatique et pouvoir ésotérique.

 

Le pouvoir est divin ! Le pouvoir étatique est ésotérique !

 

C’est notre façon, selon la vision de Mammon ou Lucifer, de copier ou singer le créateur, Amon ou Dieu. En d’autres termes, détenir des pouvoirs exécutifs, c’est aussi être un Dieu sur terre, car ayant le pouvoir de Vie et de Mort sur les populations. Ainsi va la politique, comme ce fut sévèrement critiqué par Michée.

 

De nos jours, la politique, la religion, l’ésotérisme et les finances vont de pairs. Tout ceci contribue à la réalisation des doctrines capitalistes, fortune et prestiges.

 

En d’autres termes, nous nous massacrons pour des miettes afin d’être vus et/ou acceptés par nos semblables dans la communauté.

 

Le capitalisme est l’œuvre du diable et c’est cela la véritable source de l’instabilité et la sécurité internationales.

 

Le capitalisme est pour le gain facile à moindres efforts, les raccourcis politiques, les coups d’état, les rébellions, les guerres civiles et guerres mondiales. Le capitalisme est en train de tuer silencieusement ses propres créateurs, les occidentaux, confrontés à de graves crises financières, crises morales, crises armées, crises psychologiques, crises spirituelles, etc., faisant des millions de victimes à travers le monde.

 

Peut-on soutenir sans ambages mieux vivre dans un univers capitaliste, sans violence, crimes, guerres, coups d’état, rébellions, assassinats, maladies mentales, maladies incurables etc. ou dans un système communautaire codifié, respectant la stricte discipline de la division du travail selon l’unique volonté du créateur, système communautaire ayant les intérêts supérieurs des créatures (hommes, nature, animaux) au centre des débats ?

 

N’est-ce pas là, la volonté de Dieu ou d’Amon de faire de notre univers, un paradis sur terre ?

 

[Fin de la Troisième partie]

 

ENSEMBLE POUR UNE AFRIQUE FORTE !

 

Fait à Londres le 23 Juillet 2014.

Nick De Bessou Juriste & Anthropologue Politique.

Président du FDRC. [Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises]

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Les innocentes victimes d'un conflit idiot par la faute d'un etat orgueilleux (ISRAEL): Peuple de Dieu (AMON) ou du Diable (MAMMON)?
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